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dc.contributor.authorAloui, Kenza-
dc.contributor.authorAit Sadallah, Fadila-
dc.contributor.authorOuaret (Encadreur)-
dc.date.accessioned2017-06-07T10:24:34Z-
dc.date.available2017-06-07T10:24:34Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/123456789/1468-
dc.descriptionOption : Finance et Commerce Internationalen_US
dc.description.abstractL'étude théorique de ce mémoire nous a permis de développer nos connaissances, nous avons conclu qu'une entreprise est en risque de change dès qu'elle engage une opération commerciale ou financière en devises. Ce risque représente un vrai danger et une menace majeure pour la survie de l'entreprise vu que cette dernière subi des pertes importantes. Face à ce risque éventuel, les entreprises, dans l'obligation de mettre en place une stratégie de couverture du risque de change qui est une étape importante dans les transactions avec l'extérieur. Il existe plusieurs instruments et techniques qu'on peut classer en deux grandes catégories qui sont : les instruments traditionnels et les instruments modernes. Les méthodes traditionnelles sont également réparties en deux classes ; les méthodes internes et les méthodes externes. Concernant les nouveaux instruments de couverture ou les produits dérivés qui sont : les contrats à terme, les swaps et les options de change se caractérisent par une souplesse et une parfaite flexibilité de fonctionnement, ce qui permet sûrement de réduire ou d'éliminer totalement le risque de change. Cependant, à travers les avantages et inconvénients de ces différentes techniques de couverture, les entreprises peuvent détecter quelle technique sera la plus appropriée en fonction de la nature du risque de change encouru dans leurs transactions, souplesse de fonctionnement et le coût de mise en place. En ce qui concerne notre cas pratique, les résultats de l'enquête du mois d'avril dernier nous a permis de constater que les entreprises répondants sont principalement exposées au risque de change. Elles ont subit ainsi des pertes de change importantes. Cependant, nous avons démontré que la fluctuation des taux de change est un vrai problème pour ces entreprises qui font affaire en commerce international, car cette fluctuation entraîne une incertitude dans leurs marges de profit. Ainsi, au terme du cas suivi au sein de la BADR, nous avons constaté que cette dernière ne mettait à la disposition de ses clients aucun instrument de couverture, cependant ces derniers subissent seuls la perte de change et supportent le risque de change. C'est une chose qu'on peut généraliser à toutes les entreprises qui font recours aux banques pour le financement de leurs transactions avec l'étranger. ? travers ces résultats, nous avons conclu qu'en Algérie, il y a une absence totale d'un système de couverture claire et bien défini qui permet de réduire ce risque éventuel. Et cela présente un vrai handicap pour les entreprises algériennes dans leurs activités avec l’extérieuren_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité de bejaiaen_US
dc.subjectMarché dechange : taux de change : Risque de change : entrepriseen_US
dc.titleLes instruments de couverture contre le risque de changeen_US
dc.title.alternativecas de certaines entreprises algériennes dans la wilaya de Béjaiaen_US
dc.typeThesisen_US
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