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Détail de l'auteur
Auteur Redjaoua, Fairouz
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Arthrite juvénile idiopathique au CHU de Béjaia / Matib, Fatima
Titre : Arthrite juvénile idiopathique au CHU de Béjaia Type de document : texte imprimé Auteurs : Matib, Fatima, Auteur ; Trachi, Melissa, Auteur ; Redjaoua, Fairouz, Directeur de thèse Editeur : Bejaia : Université de Béjaia.Faculté de médecine Année de publication : 2024 Importance : 1 vol. (165 p.) Présentation : (ill., fig.) Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Langues originales : Français Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique Formes cliniques Maladie de Still Biothérapie Uvéite Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les arthrites juvéniles idiopathiques sont un ensemble d’affections hétérogène d’étiologie inconnue.
L’objectif est d’écrire le profil épidémiologique et clinique de la population étudiée puis les corréler aux données récentes de la science.
Etude rétrospective et prospective descriptive, analytique et observationnelle, incluant les patients répondant aux critères de l’ILAR pour le diagnostic d’AJI, le questionnaire comportait ; les données démographiques, les données cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives relatives à l’AJI.
28 enfants atteints d’AJI ont été incus à prédominance masculine (68%) avec un âge moyen de 10,14 ans. 11% avaient une forme systémique, 46% une forme oligoarticulaire, 0% une forme poly articulaire (FR+), 18% une forme polyarticulaire (FR-), les spondyloarthrites juvéniles 14% et le rhumatisme psoriasique 11%. L'intensité moyenne de la douleur est donc d'environ 4.8. Les FR étaient négatifs dans cette série, les FAN et HLA-B27 étaient positifs dans 14% respectivement. Les AINS étaient instaurés dans 75% des cas, les CTC dans 14%, le MTX dans 93% et la biothérapie dans 43% des cas. L’uvéite était retrouvée chez 25% des cas.
L’AJI est une maladie inflammatoire chronique, caractérisée par des poussées récurrentes qui ont un impact significatif sur la qualité de vie des patients. Elle est responsable de complications sévères et des morbidités importantes. Pour optimiser le pronostic de la maladie, il est essentiel d'effectuer un diagnostic précoce et de contrôler l'inflammation. L'avènement des traitements biologiques a considérablement amélioré l'efficacité thérapeutique et le pronostic de cette maladie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en sciences médicales Arthrite juvénile idiopathique au CHU de Béjaia [texte imprimé] / Matib, Fatima, Auteur ; Trachi, Melissa, Auteur ; Redjaoua, Fairouz, Directeur de thèse . - Bejaia : Université de Béjaia.Faculté de médecine, 2024 . - 1 vol. (165 p.) : (ill., fig.) ; 30 cm.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français Langues originales : Français
Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique Formes cliniques Maladie de Still Biothérapie Uvéite Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les arthrites juvéniles idiopathiques sont un ensemble d’affections hétérogène d’étiologie inconnue.
L’objectif est d’écrire le profil épidémiologique et clinique de la population étudiée puis les corréler aux données récentes de la science.
Etude rétrospective et prospective descriptive, analytique et observationnelle, incluant les patients répondant aux critères de l’ILAR pour le diagnostic d’AJI, le questionnaire comportait ; les données démographiques, les données cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives relatives à l’AJI.
28 enfants atteints d’AJI ont été incus à prédominance masculine (68%) avec un âge moyen de 10,14 ans. 11% avaient une forme systémique, 46% une forme oligoarticulaire, 0% une forme poly articulaire (FR+), 18% une forme polyarticulaire (FR-), les spondyloarthrites juvéniles 14% et le rhumatisme psoriasique 11%. L'intensité moyenne de la douleur est donc d'environ 4.8. Les FR étaient négatifs dans cette série, les FAN et HLA-B27 étaient positifs dans 14% respectivement. Les AINS étaient instaurés dans 75% des cas, les CTC dans 14%, le MTX dans 93% et la biothérapie dans 43% des cas. L’uvéite était retrouvée chez 25% des cas.
L’AJI est une maladie inflammatoire chronique, caractérisée par des poussées récurrentes qui ont un impact significatif sur la qualité de vie des patients. Elle est responsable de complications sévères et des morbidités importantes. Pour optimiser le pronostic de la maladie, il est essentiel d'effectuer un diagnostic précoce et de contrôler l'inflammation. L'avènement des traitements biologiques a considérablement amélioré l'efficacité thérapeutique et le pronostic de cette maladie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M04/2024 M04/2024 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt
Titre : Arthrite juvénile idiopathique au CHU de Béjaia Type de document : document électronique Auteurs : Matib, Fatima, Auteur ; Trachi, Melissa, Auteur ; Redjaoua, Fairouz, Directeur de thèse Editeur : Bejaia : Université de Béjaia.Faculté de médecine Année de publication : 2024 Importance : 1 vol. (165 p.) Présentation : ill. Format : CD-Room Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Langues originales : Français Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique Formes cliniques Maladie de Still Biothérapie Uvéite Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les arthrites juvéniles idiopathiques sont un ensemble d’affections hétérogène d’étiologie inconnue.
L’objectif est d’écrire le profil épidémiologique et clinique de la population étudiée puis les corréler aux données récentes de la science.
Etude rétrospective et prospective descriptive, analytique et observationnelle, incluant les patients répondant aux critères de l’ILAR pour le diagnostic d’AJI, le questionnaire comportait ; les données démographiques, les données cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives relatives à l’AJI.
28 enfants atteints d’AJI ont été incus à prédominance masculine (68%) avec un âge moyen de 10,14 ans. 11% avaient une forme systémique, 46% une forme oligoarticulaire, 0% une forme poly articulaire (FR+), 18% une forme polyarticulaire (FR-), les spondyloarthrites juvéniles 14% et le rhumatisme psoriasique 11%. L'intensité moyenne de la douleur est donc d'environ 4.8. Les FR étaient négatifs dans cette série, les FAN et HLA-B27 étaient positifs dans 14% respectivement. Les AINS étaient instaurés dans 75% des cas, les CTC dans 14%, le MTX dans 93% et la biothérapie dans 43% des cas. L’uvéite était retrouvée chez 25% des cas.
L’AJI est une maladie inflammatoire chronique, caractérisée par des poussées récurrentes qui ont un impact significatif sur la qualité de vie des patients. Elle est responsable de complications sévères et des morbidités importantes. Pour optimiser le pronostic de la maladie, il est essentiel d'effectuer un diagnostic précoce et de contrôler l'inflammation. L'avènement des traitements biologiques a considérablement amélioré l'efficacité thérapeutique et le pronostic de cette maladie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Arthrite juvénile idiopathique au CHU de Béjaia [document électronique] / Matib, Fatima, Auteur ; Trachi, Melissa, Auteur ; Redjaoua, Fairouz, Directeur de thèse . - Bejaia : Université de Béjaia.Faculté de médecine, 2024 . - 1 vol. (165 p.) : ill. ; CD-Room.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français Langues originales : Français
Mots-clés : Arthrite juvénile idiopathique Formes cliniques Maladie de Still Biothérapie Uvéite Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les arthrites juvéniles idiopathiques sont un ensemble d’affections hétérogène d’étiologie inconnue.
L’objectif est d’écrire le profil épidémiologique et clinique de la population étudiée puis les corréler aux données récentes de la science.
Etude rétrospective et prospective descriptive, analytique et observationnelle, incluant les patients répondant aux critères de l’ILAR pour le diagnostic d’AJI, le questionnaire comportait ; les données démographiques, les données cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives relatives à l’AJI.
28 enfants atteints d’AJI ont été incus à prédominance masculine (68%) avec un âge moyen de 10,14 ans. 11% avaient une forme systémique, 46% une forme oligoarticulaire, 0% une forme poly articulaire (FR+), 18% une forme polyarticulaire (FR-), les spondyloarthrites juvéniles 14% et le rhumatisme psoriasique 11%. L'intensité moyenne de la douleur est donc d'environ 4.8. Les FR étaient négatifs dans cette série, les FAN et HLA-B27 étaient positifs dans 14% respectivement. Les AINS étaient instaurés dans 75% des cas, les CTC dans 14%, le MTX dans 93% et la biothérapie dans 43% des cas. L’uvéite était retrouvée chez 25% des cas.
L’AJI est une maladie inflammatoire chronique, caractérisée par des poussées récurrentes qui ont un impact significatif sur la qualité de vie des patients. Elle est responsable de complications sévères et des morbidités importantes. Pour optimiser le pronostic de la maladie, il est essentiel d'effectuer un diagnostic précoce et de contrôler l'inflammation. L'avènement des traitements biologiques a considérablement amélioré l'efficacité thérapeutique et le pronostic de cette maladie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM04/2024 CDM04/2024 Mémoire Electonique Salle multimédia Pédiatrie Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Arthrite juvénile idiopathique au CHU de BéjaiaURLLes convulsions fébriles chez l'enfant / Yahiaoui, Amina
Titre : Les convulsions fébriles chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Yahiaoui, Amina, Auteur ; Yacini, Sarah, Auteur ; Redjaoua, Fairouz, Directeur de thèse Editeur : Bejaia : Université de Béjaia.Faculté de médecine Année de publication : 2024 Importance : 1 vol. (140 p.) Présentation : (ill., fig.) Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Langues originales : Français Mots-clés : Convulsion Enfant Fièvre Crise fébrile Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : La convulsion fébrile est une urgence diagnostique et thérapeutique en raison du risque d’état de mal convulsif et des séquelles neurologiques.
Élucider le profil épidémiologique, clinique, paraclinique et thérapeutique de cette pathologie à travers une étude prospective, incluant tous les enfants et nourrissons consultants pour CF au service de Pédiatrie CHU Targa Ouzemmour à Bejaïa sur une période de 07 mois. Nous avons colligé 63 dossiers, ce qui correspond à 0,19 % de l’ensemble des consultations au cours de cette période. L’âge moyen était de 13 mois. Le sexe masculin était légèrement dominant avec un sexe ratio de 1,1. La température à l’admission était entre 39°C et 40°C dans 17,64% des cas. Les CF simples étaient les plus fréquentes (68,25%) avec une prédominance des crises tonicocloniques. La PL, faite chez 21 cas soit 33%, est revenue normale chez tous ces malades. La TDM était indiquée chez 12 enfants (19%) et n’avait montré aucune anomalie. Les infections ORL étaient la cause la plus fréquente de la fièvre (23, 9%).Le principal traitement anticonvulsivant donné en première ligne était le diazépam en intra rectal, à dose de 0,5 mg/kg, associé à un traitement antipyrétique. Un traitement étiologique était également instauré aux patients selon l’étiologie. L’évolution était marquée par l’amélioration des patients sur le plan clinique et sur le plan paraclinique. Aucun décès n’a été rapporté.
Les examens complémentaires semblent d’être prescrites par excès et en dehors de l’indication. Il faut donc modifier notre protocole de prise en charge des CF conformément aux nouvelles recommandations. Les efforts visant à réduire l’incidence des crises fébriles devraient viser à prévenir les infections causales de la fièvre chez les enfants vulnérables.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en sciences médicales Les convulsions fébriles chez l'enfant [texte imprimé] / Yahiaoui, Amina, Auteur ; Yacini, Sarah, Auteur ; Redjaoua, Fairouz, Directeur de thèse . - Bejaia : Université de Béjaia.Faculté de médecine, 2024 . - 1 vol. (140 p.) : (ill., fig.) ; 30 cm.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français Langues originales : Français
Mots-clés : Convulsion Enfant Fièvre Crise fébrile Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : La convulsion fébrile est une urgence diagnostique et thérapeutique en raison du risque d’état de mal convulsif et des séquelles neurologiques.
Élucider le profil épidémiologique, clinique, paraclinique et thérapeutique de cette pathologie à travers une étude prospective, incluant tous les enfants et nourrissons consultants pour CF au service de Pédiatrie CHU Targa Ouzemmour à Bejaïa sur une période de 07 mois. Nous avons colligé 63 dossiers, ce qui correspond à 0,19 % de l’ensemble des consultations au cours de cette période. L’âge moyen était de 13 mois. Le sexe masculin était légèrement dominant avec un sexe ratio de 1,1. La température à l’admission était entre 39°C et 40°C dans 17,64% des cas. Les CF simples étaient les plus fréquentes (68,25%) avec une prédominance des crises tonicocloniques. La PL, faite chez 21 cas soit 33%, est revenue normale chez tous ces malades. La TDM était indiquée chez 12 enfants (19%) et n’avait montré aucune anomalie. Les infections ORL étaient la cause la plus fréquente de la fièvre (23, 9%).Le principal traitement anticonvulsivant donné en première ligne était le diazépam en intra rectal, à dose de 0,5 mg/kg, associé à un traitement antipyrétique. Un traitement étiologique était également instauré aux patients selon l’étiologie. L’évolution était marquée par l’amélioration des patients sur le plan clinique et sur le plan paraclinique. Aucun décès n’a été rapporté.
Les examens complémentaires semblent d’être prescrites par excès et en dehors de l’indication. Il faut donc modifier notre protocole de prise en charge des CF conformément aux nouvelles recommandations. Les efforts visant à réduire l’incidence des crises fébriles devraient viser à prévenir les infections causales de la fièvre chez les enfants vulnérables.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M50/2024 M50/2024 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt
Titre : Les convulsions fébriles chez l'enfant Type de document : document électronique Auteurs : Yahiaoui, Amina, Auteur ; Yacini, Sarah, Auteur ; Redjaoua, Fairouz, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2024 Importance : 1 vol. (140 p.) Présentation : (ill., fig.) Format : CD-Room Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Langues originales : Français Mots-clés : Convulsion Enfant Fièvre Crise fébrile Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : La convulsion fébrile est une urgence diagnostique et thérapeutique en raison du risque d’état de mal convulsif et des séquelles neurologiques.
Élucider le profil épidémiologique, clinique, paraclinique et thérapeutique de cette pathologie à travers une étude prospective, incluant tous les enfants et nourrissons consultants pour CF au service de Pédiatrie CHU Targa Ouzemmour à Bejaïa sur une période de 07 mois. Nous avons colligé 63 dossiers, ce qui correspond à 0,19 % de l’ensemble des consultations au cours de cette période. L’âge moyen était de 13 mois. Le sexe masculin était légèrement dominant avec un sexe ratio de 1,1. La température à l’admission était entre 39°C et 40°C dans 17,64% des cas. Les CF simples étaient les plus fréquentes (68,25%) avec une prédominance des crises tonicocloniques. La PL, faite chez 21 cas soit 33%, est revenue normale chez tous ces malades. La TDM était indiquée chez 12 enfants (19%) et n’avait montré aucune anomalie. Les infections ORL étaient la cause la plus fréquente de la fièvre (23, 9%).Le principal traitement anticonvulsivant donné en première ligne était le diazépam en intra rectal, à dose de 0,5 mg/kg, associé à un traitement antipyrétique. Un traitement étiologique était également instauré aux patients selon l’étiologie. L’évolution était marquée par l’amélioration des patients sur le plan clinique et sur le plan paraclinique. Aucun décès n’a été rapporté.
Les examens complémentaires semblent d’être prescrites par excès et en dehors de l’indication. Il faut donc modifier notre protocole de prise en charge des CF conformément aux nouvelles recommandations. Les efforts visant à réduire l’incidence des crises fébriles devraient viser à prévenir les infections causales de la fièvre chez les enfants vulnérables.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en sciences médicales Les convulsions fébriles chez l'enfant [document électronique] / Yahiaoui, Amina, Auteur ; Yacini, Sarah, Auteur ; Redjaoua, Fairouz, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2024 . - 1 vol. (140 p.) : (ill., fig.) ; CD-Room.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français Langues originales : Français
Mots-clés : Convulsion Enfant Fièvre Crise fébrile Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : La convulsion fébrile est une urgence diagnostique et thérapeutique en raison du risque d’état de mal convulsif et des séquelles neurologiques.
Élucider le profil épidémiologique, clinique, paraclinique et thérapeutique de cette pathologie à travers une étude prospective, incluant tous les enfants et nourrissons consultants pour CF au service de Pédiatrie CHU Targa Ouzemmour à Bejaïa sur une période de 07 mois. Nous avons colligé 63 dossiers, ce qui correspond à 0,19 % de l’ensemble des consultations au cours de cette période. L’âge moyen était de 13 mois. Le sexe masculin était légèrement dominant avec un sexe ratio de 1,1. La température à l’admission était entre 39°C et 40°C dans 17,64% des cas. Les CF simples étaient les plus fréquentes (68,25%) avec une prédominance des crises tonicocloniques. La PL, faite chez 21 cas soit 33%, est revenue normale chez tous ces malades. La TDM était indiquée chez 12 enfants (19%) et n’avait montré aucune anomalie. Les infections ORL étaient la cause la plus fréquente de la fièvre (23, 9%).Le principal traitement anticonvulsivant donné en première ligne était le diazépam en intra rectal, à dose de 0,5 mg/kg, associé à un traitement antipyrétique. Un traitement étiologique était également instauré aux patients selon l’étiologie. L’évolution était marquée par l’amélioration des patients sur le plan clinique et sur le plan paraclinique. Aucun décès n’a été rapporté.
Les examens complémentaires semblent d’être prescrites par excès et en dehors de l’indication. Il faut donc modifier notre protocole de prise en charge des CF conformément aux nouvelles recommandations. Les efforts visant à réduire l’incidence des crises fébriles devraient viser à prévenir les infections causales de la fièvre chez les enfants vulnérables.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM50/2024 CDM50/2024 Mémoire Electonique Salle multimédia Pédiatrie Exclu du prêt Documents numériques
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