Titre : | Néphropathie lupique | Type de document : | document électronique | Auteurs : | Amal, Smaoune, Auteur ; Yasmina, Moussaoui, Auteur ; Dr. Medjdi,Khelefellah, Directeur de thèse | Editeur : | Béjaia : Université de Béjaia | Année de publication : | 2018 | Importance : | 6,46 Mo | Présentation : | ill. | Format : | Pdf | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | Néphrologie/Urologie Néphropathie Lupus | Index. décimale : | 616.61 Urologie. Néphrologie | Résumé : | La néphropathie est très fréquente dans l’évolution du lupus érythémateux systémique et influence de façon¸ considérable sur le pronostic fonctionnel et vital de cette maladie. La recherche de signes évocateurs tels la présence d’une protéinurie, d’une hématurie microscopique ou d’une insuffisance rénale doit faire partie du bilan initial mais aussi du suivi régulier de tout patient lupique, car la suspicion de glomérulonéphrite impose une biopsie rénale et peut conditionner le traitement immunosuppresseur. Lesglomérulonéphrites prolifératives (classes III et IV) sont les plus sévères, avec un pronostic rénal variable selon le contexte ethnique, et un risque d’évolution vers l’insuffisance rénale chronique terminale qui peut atteindre
40 à 60 % à long terme. Le traitement d’attaque de ces formes prolifératives comporte des corticoïdes, associés à un traitement immunosuppresseur par cyclophosphamide ou mycophénolatemofétil. Même si les biothérapies n’ont pas encore fait la preuve de leur efficacité dans cette indication, de nouveaux protocoles laissent espérer une amélioration des taux de rémission obtenus après un
traitement d’attaque et, possiblement, une épargne cortisonique pour les patients. Si la rémission de la maladie est obtenue au bout de quelques mois, il faut instaurer un traitement d’entretien par azathioprine ou myco-phénolate mofétil, pour éviter la récidive de la glomérulopathie. Les immunosuppresseurs majorent le risque des complications infectieuses et néoplasiques, mais les complications cardiovasculaires restent une des principales causes de mortalité chez les patients lupiques et doivent faire l’objet d’un dépistage et d’une prévention spécifique, dès les stades précoces de la maladie auto-immune, notamment en cas de maladie rénale chronique associée.Nous rapportant dans notre travail l’étude descriptive et analytique type cas clinique ; portée sur une malade qui a
été hospitalisée et prise en charge pour néphropathie lupique au niveau du service de néphrologie du CHU de khelil Amrane de Bejaia dans le courant de l’année 2016/2017.
Le but de notre travail est de montrer les particularités
clinique thérapeutiques et évolutives de la néphropathie lupique et ce à travers la revue de la littérature . | Note de contenu : | Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine |
Néphropathie lupique [document électronique] / Amal, Smaoune, Auteur ; Yasmina, Moussaoui, Auteur ; Dr. Medjdi,Khelefellah, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2018 . - 6,46 Mo : ill. ; Pdf. Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : | Néphrologie/Urologie Néphropathie Lupus | Index. décimale : | 616.61 Urologie. Néphrologie | Résumé : | La néphropathie est très fréquente dans l’évolution du lupus érythémateux systémique et influence de façon¸ considérable sur le pronostic fonctionnel et vital de cette maladie. La recherche de signes évocateurs tels la présence d’une protéinurie, d’une hématurie microscopique ou d’une insuffisance rénale doit faire partie du bilan initial mais aussi du suivi régulier de tout patient lupique, car la suspicion de glomérulonéphrite impose une biopsie rénale et peut conditionner le traitement immunosuppresseur. Lesglomérulonéphrites prolifératives (classes III et IV) sont les plus sévères, avec un pronostic rénal variable selon le contexte ethnique, et un risque d’évolution vers l’insuffisance rénale chronique terminale qui peut atteindre
40 à 60 % à long terme. Le traitement d’attaque de ces formes prolifératives comporte des corticoïdes, associés à un traitement immunosuppresseur par cyclophosphamide ou mycophénolatemofétil. Même si les biothérapies n’ont pas encore fait la preuve de leur efficacité dans cette indication, de nouveaux protocoles laissent espérer une amélioration des taux de rémission obtenus après un
traitement d’attaque et, possiblement, une épargne cortisonique pour les patients. Si la rémission de la maladie est obtenue au bout de quelques mois, il faut instaurer un traitement d’entretien par azathioprine ou myco-phénolate mofétil, pour éviter la récidive de la glomérulopathie. Les immunosuppresseurs majorent le risque des complications infectieuses et néoplasiques, mais les complications cardiovasculaires restent une des principales causes de mortalité chez les patients lupiques et doivent faire l’objet d’un dépistage et d’une prévention spécifique, dès les stades précoces de la maladie auto-immune, notamment en cas de maladie rénale chronique associée.Nous rapportant dans notre travail l’étude descriptive et analytique type cas clinique ; portée sur une malade qui a
été hospitalisée et prise en charge pour néphropathie lupique au niveau du service de néphrologie du CHU de khelil Amrane de Bejaia dans le courant de l’année 2016/2017.
Le but de notre travail est de montrer les particularités
clinique thérapeutiques et évolutives de la néphropathie lupique et ce à travers la revue de la littérature . | Note de contenu : | Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine |
|