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Diagnostic des adénopathies au niveau du service de médecine interne du CHU de Bejaia / Hanane, Aitsadallah
Titre : Diagnostic des adénopathies au niveau du service de médecine interne du CHU de Bejaia Type de document : texte imprimé Auteurs : Hanane, Aitsadallah, Auteur ; Rosa, Saim, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2018 Importance : 1 vol. (74 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Médecine Infectieuse(Pathologie) Adénopathie Diagnostic Index. décimale : 616.075 Diagnostic-Différentes méthodes Résumé : Les adénopathies (ADP) superficielles ou profondes constituent un motif fréquent de consultation et d’hospitalisation en médecine interne. Elles posent surtout un problème de diagnostic étiologique et par la suite la prise en charge. Le but de notre étude est d’étudier les particularités épidémiologiques, cliniques et étiologiques de ces adénopathies.
Il s’agit d’une étude rétrospective effectuée sur les dossiers des patients hospitalisés dans le service de Médecine interne du CHU Khelil Amrane de Bejaia
Entre 1er janvier 2017 et 31 décembre 2017, présentant une ou plusieurs adénopathies . Quarante-deux dossiers ont été inclus dans notre étude, dont vingt-quatre femmes et dix-huit hommes soit un sexe ratio de 0, 75, d’âge médian est de 46 ans avec des extrêmes d’âge entre 17 ans et 84 ans. Les adénopathies étaient
multi focales dans 36 % des cas, profondes dans 24 % des cas et superficielles dans 28% des cas. L’amaigrissement (21 %), la fièvre (19 %), la splénomégalie (16 %) et l’hépatomégalie (7 %) étaient les signes cliniques fréquemment associés aux
adénopathies. Les principales étiologies diagnostics étaient tumorale (50 % des cas) dominé par les métastases (57%) , le lymphome de Hodgkin (10% des cas) et non hodgkinien (2 %). Pour les causes rares, sont dominées par la sarcoïdose (17% des cas). La biopsie ganglionnaire était l’examen clé pour le diagnostic étiologique. Nos résultats confirment la prédominance des hémopathies malignes comme étiologies des adénopathies superficielles ou profondes, loin devant la tuberculose mais ceci pourrait s’expliquer par un biais de sélection. La découverte d’ADP impose une enquête étiologique rigoureuse. Le traitement et le pronostic dépendent de l’étiologie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Diagnostic des adénopathies au niveau du service de médecine interne du CHU de Bejaia [texte imprimé] / Hanane, Aitsadallah, Auteur ; Rosa, Saim, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2018 . - 1 vol. (74 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Médecine Infectieuse(Pathologie) Adénopathie Diagnostic Index. décimale : 616.075 Diagnostic-Différentes méthodes Résumé : Les adénopathies (ADP) superficielles ou profondes constituent un motif fréquent de consultation et d’hospitalisation en médecine interne. Elles posent surtout un problème de diagnostic étiologique et par la suite la prise en charge. Le but de notre étude est d’étudier les particularités épidémiologiques, cliniques et étiologiques de ces adénopathies.
Il s’agit d’une étude rétrospective effectuée sur les dossiers des patients hospitalisés dans le service de Médecine interne du CHU Khelil Amrane de Bejaia
Entre 1er janvier 2017 et 31 décembre 2017, présentant une ou plusieurs adénopathies . Quarante-deux dossiers ont été inclus dans notre étude, dont vingt-quatre femmes et dix-huit hommes soit un sexe ratio de 0, 75, d’âge médian est de 46 ans avec des extrêmes d’âge entre 17 ans et 84 ans. Les adénopathies étaient
multi focales dans 36 % des cas, profondes dans 24 % des cas et superficielles dans 28% des cas. L’amaigrissement (21 %), la fièvre (19 %), la splénomégalie (16 %) et l’hépatomégalie (7 %) étaient les signes cliniques fréquemment associés aux
adénopathies. Les principales étiologies diagnostics étaient tumorale (50 % des cas) dominé par les métastases (57%) , le lymphome de Hodgkin (10% des cas) et non hodgkinien (2 %). Pour les causes rares, sont dominées par la sarcoïdose (17% des cas). La biopsie ganglionnaire était l’examen clé pour le diagnostic étiologique. Nos résultats confirment la prédominance des hémopathies malignes comme étiologies des adénopathies superficielles ou profondes, loin devant la tuberculose mais ceci pourrait s’expliquer par un biais de sélection. La découverte d’ADP impose une enquête étiologique rigoureuse. Le traitement et le pronostic dépendent de l’étiologie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M32/2018 M32/2018 Mémoire Salle de consultation sur place Diagnostics. differentes méthodes Exclu du prêt Diagnostic des adénopathies au niveau du service de médecine interne du CHU de Bejaia / Hanane, Aitsadallah
Titre : Diagnostic des adénopathies au niveau du service de médecine interne du CHU de Bejaia Type de document : document électronique Auteurs : Hanane, Aitsadallah, Auteur ; Rosa, Saim, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2018 Importance : 6,99 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Médecine Infectieuse(Pathologie) Adénopathie Diagnostic Index. décimale : 616.075 Diagnostic-Différentes méthodes Résumé : Les adénopathies (ADP) superficielles ou profondes constituent un motif fréquent de consultation et d’hospitalisation en médecine interne. Elles posent surtout un problème de diagnostic étiologique et par la suite la prise en charge. Le but de notre étude est d’étudier les particularités épidémiologiques, cliniques et étiologiques de ces adénopathies.
Il s’agit d’une étude rétrospective effectuée sur les dossiers des patients hospitalisés dans le service de Médecine interne du CHU Khelil Amrane de Bejaia
Entre 1er janvier 2017 et 31 décembre 2017, présentant une ou plusieurs adénopathies . Quarante-deux dossiers ont été inclus dans notre étude, dont vingt-quatre femmes et dix-huit hommes soit un sexe ratio de 0, 75, d’âge médian est de 46 ans avec des extrêmes d’âge entre 17 ans et 84 ans. Les adénopathies étaient
multi focales dans 36 % des cas, profondes dans 24 % des cas et superficielles dans 28% des cas. L’amaigrissement (21 %), la fièvre (19 %), la splénomégalie (16 %) et l’hépatomégalie (7 %) étaient les signes cliniques fréquemment associés aux
adénopathies. Les principales étiologies diagnostics étaient tumorale (50 % des cas) dominé par les métastases (57%) , le lymphome de Hodgkin (10% des cas) et non hodgkinien (2 %). Pour les causes rares, sont dominées par la sarcoïdose (17% des cas). La biopsie ganglionnaire était l’examen clé pour le diagnostic étiologique. Nos résultats confirment la prédominance des hémopathies malignes comme étiologies des adénopathies superficielles ou profondes, loin devant la tuberculose mais ceci pourrait s’expliquer par un biais de sélection. La découverte d’ADP impose une enquête étiologique rigoureuse. Le traitement et le pronostic dépendent de l’étiologie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Diagnostic des adénopathies au niveau du service de médecine interne du CHU de Bejaia [document électronique] / Hanane, Aitsadallah, Auteur ; Rosa, Saim, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2018 . - 6,99 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Médecine Infectieuse(Pathologie) Adénopathie Diagnostic Index. décimale : 616.075 Diagnostic-Différentes méthodes Résumé : Les adénopathies (ADP) superficielles ou profondes constituent un motif fréquent de consultation et d’hospitalisation en médecine interne. Elles posent surtout un problème de diagnostic étiologique et par la suite la prise en charge. Le but de notre étude est d’étudier les particularités épidémiologiques, cliniques et étiologiques de ces adénopathies.
Il s’agit d’une étude rétrospective effectuée sur les dossiers des patients hospitalisés dans le service de Médecine interne du CHU Khelil Amrane de Bejaia
Entre 1er janvier 2017 et 31 décembre 2017, présentant une ou plusieurs adénopathies . Quarante-deux dossiers ont été inclus dans notre étude, dont vingt-quatre femmes et dix-huit hommes soit un sexe ratio de 0, 75, d’âge médian est de 46 ans avec des extrêmes d’âge entre 17 ans et 84 ans. Les adénopathies étaient
multi focales dans 36 % des cas, profondes dans 24 % des cas et superficielles dans 28% des cas. L’amaigrissement (21 %), la fièvre (19 %), la splénomégalie (16 %) et l’hépatomégalie (7 %) étaient les signes cliniques fréquemment associés aux
adénopathies. Les principales étiologies diagnostics étaient tumorale (50 % des cas) dominé par les métastases (57%) , le lymphome de Hodgkin (10% des cas) et non hodgkinien (2 %). Pour les causes rares, sont dominées par la sarcoïdose (17% des cas). La biopsie ganglionnaire était l’examen clé pour le diagnostic étiologique. Nos résultats confirment la prédominance des hémopathies malignes comme étiologies des adénopathies superficielles ou profondes, loin devant la tuberculose mais ceci pourrait s’expliquer par un biais de sélection. La découverte d’ADP impose une enquête étiologique rigoureuse. Le traitement et le pronostic dépendent de l’étiologie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM32/2018 CDM32/2018 Mémoire Electonique Salle multimédia Diagnostics. differentes méthodes Exclu du prêt Évaluation de la biothérapie dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde / Lamine, Chettout
Titre : Évaluation de la biothérapie dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde Type de document : texte imprimé Auteurs : Lamine, Chettout, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse ; Dr.Adjabi, Autre Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2018 Importance : 1 vol. (136 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Biothérapie Index. décimale : 616.7 Maladies de l'appareil locomoteur : arthrites, Résumé : C'est une étude descriptive rétrospective portant sur les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par biothérapie au niveau de service de Médecine Interne du
CHU Khelil Amrane de Béjaia. Cette série inclut 21 patients traités par biothérapie sur une période s’étalant de juin 2016 à juin 2017.
L’objectif principal était d’évaluer l’efficacité et la tolérance de la biothérapie au cours de traitement de la polyarthrite rhumatoïde. La polyarthrite rhumatoïde est relativement fréquente en Algérie, sa prévalence est de 0.15%. Elle prédomine chez le sexe féminin (76.2%). L’âge moyen au moment de diagnostic
est de 38.4 ans ± 12.3, La tranche d’âge la plus représentée est celle des 20-40ans (62%). Le délai d’instauration de la biothérapie était de 10 ans chez les femmes et de 09 ans chez
les hommes. Dans notre série, les femmes au foyer en milieu urbain sont les plus représentées. L’oligoarthrite distale est le mode de révélation de la PR le plus fréquent (52.5%). Le
diagnostic repose essentiellement sur les critères de l’ACR/EULAR 2010 retrouvés dans 95.2% des patients de la série. Cliniquement, les déformations articulaires est un signe flagrant et très évident du diagnostic. Les déformations les plus notées chez nos patients sont les déformations de la main (92%), des poignets (50%) et des pieds (58.3%). Le bilan immunologique est un élément fondamental pour le diagnostic et le suivi de la
PR. Le Facteur rhumatoïde était positif dans 12 cas (60%) et l’anticorps anti-CCP dans 14 cas (70%).
Le traitement de la PR repose sur deux paliers : le traitement symptomatique et le traitement de fond (DMARD), lui-même composé de deux catégories : le traitement de fond conventionnel et les biothérapies. Tous nos patients ont reçu le traitement symptomatique(Antalgiques, AINS, Corticoïdes).
Pour le traitement de fond conventionnel, le Méthotrexate est le plus prescrit (90.5%), suivi par l’Hydroxychloroquine et le Léflunomide (33.3%).Pour les biothérapies, dont l’indication principale était l’échec du traitement de fond conventionnel, l’Etanercept était la biothérapie la plus prescrite onze patients (52.4%), suivie de l’Adalimumab chez cinq patients (28.8%) et du Tocilizumab chez trois patients (14.3%), alors que le Rituximab n’était prescrit que chez deux patients (9.5%).
L’évaluation de l’efficacité des biothérapies a portée sur les paramètres cliniques (NAD, NAG et l’EVA), biologiques (VS et CRP) et enfin sur les scores composites (DAS28, CDAI et l’HAQ) avant l’instauration, à un mois, à trois mois et à un an de traitement, et en termes de rémission et de LDA (faible niveau d’activité).
L’efficacité des biothérapies en termes de rémission et LDA (total) est respectivement de (64%), (86.7%) et (82%) à un mois, à trois mois et à un an. La tolérance est très bonne. Nous n’avons noté que deux cas (9.5%) d’effets indésirables sous Etanercept (un cas de leucopénie et un cas d’infection pulmonaire).
Les biothérapies ont montré une efficacité indéniable sur la réduction significative des symptômes, de l’handicap et des déformations au cours de la polyarthrite rhumatoïde.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Évaluation de la biothérapie dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde [texte imprimé] / Lamine, Chettout, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse ; Dr.Adjabi, Autre . - Béjaia : Université de Béjaia, 2018 . - 1 vol. (136 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Biothérapie Index. décimale : 616.7 Maladies de l'appareil locomoteur : arthrites, Résumé : C'est une étude descriptive rétrospective portant sur les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par biothérapie au niveau de service de Médecine Interne du
CHU Khelil Amrane de Béjaia. Cette série inclut 21 patients traités par biothérapie sur une période s’étalant de juin 2016 à juin 2017.
L’objectif principal était d’évaluer l’efficacité et la tolérance de la biothérapie au cours de traitement de la polyarthrite rhumatoïde. La polyarthrite rhumatoïde est relativement fréquente en Algérie, sa prévalence est de 0.15%. Elle prédomine chez le sexe féminin (76.2%). L’âge moyen au moment de diagnostic
est de 38.4 ans ± 12.3, La tranche d’âge la plus représentée est celle des 20-40ans (62%). Le délai d’instauration de la biothérapie était de 10 ans chez les femmes et de 09 ans chez
les hommes. Dans notre série, les femmes au foyer en milieu urbain sont les plus représentées. L’oligoarthrite distale est le mode de révélation de la PR le plus fréquent (52.5%). Le
diagnostic repose essentiellement sur les critères de l’ACR/EULAR 2010 retrouvés dans 95.2% des patients de la série. Cliniquement, les déformations articulaires est un signe flagrant et très évident du diagnostic. Les déformations les plus notées chez nos patients sont les déformations de la main (92%), des poignets (50%) et des pieds (58.3%). Le bilan immunologique est un élément fondamental pour le diagnostic et le suivi de la
PR. Le Facteur rhumatoïde était positif dans 12 cas (60%) et l’anticorps anti-CCP dans 14 cas (70%).
Le traitement de la PR repose sur deux paliers : le traitement symptomatique et le traitement de fond (DMARD), lui-même composé de deux catégories : le traitement de fond conventionnel et les biothérapies. Tous nos patients ont reçu le traitement symptomatique(Antalgiques, AINS, Corticoïdes).
Pour le traitement de fond conventionnel, le Méthotrexate est le plus prescrit (90.5%), suivi par l’Hydroxychloroquine et le Léflunomide (33.3%).Pour les biothérapies, dont l’indication principale était l’échec du traitement de fond conventionnel, l’Etanercept était la biothérapie la plus prescrite onze patients (52.4%), suivie de l’Adalimumab chez cinq patients (28.8%) et du Tocilizumab chez trois patients (14.3%), alors que le Rituximab n’était prescrit que chez deux patients (9.5%).
L’évaluation de l’efficacité des biothérapies a portée sur les paramètres cliniques (NAD, NAG et l’EVA), biologiques (VS et CRP) et enfin sur les scores composites (DAS28, CDAI et l’HAQ) avant l’instauration, à un mois, à trois mois et à un an de traitement, et en termes de rémission et de LDA (faible niveau d’activité).
L’efficacité des biothérapies en termes de rémission et LDA (total) est respectivement de (64%), (86.7%) et (82%) à un mois, à trois mois et à un an. La tolérance est très bonne. Nous n’avons noté que deux cas (9.5%) d’effets indésirables sous Etanercept (un cas de leucopénie et un cas d’infection pulmonaire).
Les biothérapies ont montré une efficacité indéniable sur la réduction significative des symptômes, de l’handicap et des déformations au cours de la polyarthrite rhumatoïde.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M36/2018 M36/2018 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies de l'appareil locomoteur Exclu du prêt
Titre : Évaluation de la biothérapie dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde Type de document : document électronique Auteurs : Lamine, Chettout, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse ; Dr.Adjabi, Autre Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2018 Importance : 43,4 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Biothérapie Index. décimale : 616.7 Maladies de l'appareil locomoteur : arthrites, Résumé : C'est une étude descriptive rétrospective portant sur les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par biothérapie au niveau de service de Médecine Interne du CHU KhelilL Amrane de Béjaia. Cette série inclut 21 patients traités par biothérapie sur une période s’étalant de juin 2016 à juin 2017.
L’objectif principal était d’évaluer l’efficacité et la tolérance de la biothérapie au cours de traitement de la polyarthrite rhumatoïde. La polyarthrite rhumatoïde est relativement fréquente en Algérie, sa prévalence est de 0.15%. Elle prédomine chez le sexe féminin (76.2%). L’âge moyen au moment de diagnostic est de 38.4 ans ± 12.3, La tranche d’âge la plus représentée est celle des 20-40ans (62%). Le délai d’instauration de la biothérapie était de 10 ans chez les femmes et de 09 ans chez les hommes. Dans notre série, les femmes au foyer en milieu urbain sont les plus représentées. L’oligoarthrite distale est le mode de révélation de la PR le plus fréquent (52.5%). Le diagnostic repose essentiellement sur les critères de l’ACR/EULAR 2010 retrouvés dans 95.2% des patients de la série. Cliniquement, les déformations articulaires est un signe flagrant et très évident du diagnostic. Les déformations les plus notées chez nos patients sont les déformations de la main (92%), des poignets (50%) et des pieds (58.3%). Le bilan immunologique est un élément fondamental pour le diagnostic et le suivi de la PR. Le Facteur rhumatoïde était positif dans 12 cas (60%) et l’anticorps anti-CCP dans 14 cas (70%). Le traitement de la PR repose sur deux paliers : le traitement symptomatique et le traitement de fond (DMARD), lui-même composé de deux catégories : le traitement de fond conventionnel et les biothérapies. Tous nos patients ont reçu le traitement symptomatique(Antalgiques, AINS, Corticoïdes).
Pour le traitement de fond conventionnel, le Méthotrexate est le plus prescrit (90.5%), suivi par l’Hydroxychloroquine et le Léflunomide (33.3%).Pour les biothérapies, dont l’indication principale était l’échec du traitement de fond conventionnel, l’Etanercept était la biothérapie la plus prescrite onze patients (52.4%), suivie de l’Adalimumab chez cinq patients (28.8%) et du Tocilizumab chez trois patients (14.3%), alors que le Rituximab n’était prescrit que chez deux patients (9.5%).
L’évaluation de l’efficacité des biothérapies a portée sur les paramètres cliniques (NAD, NAG et l’EVA), biologiques (VS et CRP) et enfin sur les scores composites (DAS28, CDAI et l’HAQ) avant l’instauration, à un mois, à trois mois et à un an de traitement, et en termes de rémission et de LDA (faible niveau d’activité).
L’efficacité des biothérapies en termes de rémission et LDA (total) est respectivement de (64%), (86.7%) et (82%) à un mois, à trois mois et à un an. La tolérance est très bonne. Nous n’avons noté que deux cas (9.5%) d’effets indésirables sous Etanercept (un cas de leucopénie et un cas d’infection pulmonaire).
Les biothérapies ont montré une efficacité indéniable sur la réduction significative des symptômes, de l’handicap et des déformations au cours de la polyarthrite rhumatoïde.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Évaluation de la biothérapie dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde [document électronique] / Lamine, Chettout, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse ; Dr.Adjabi, Autre . - Béjaia : Université de Béjaia, 2018 . - 43,4 Mo : ill. ; Pdf.
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Langues : Français
Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Biothérapie Index. décimale : 616.7 Maladies de l'appareil locomoteur : arthrites, Résumé : C'est une étude descriptive rétrospective portant sur les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par biothérapie au niveau de service de Médecine Interne du CHU KhelilL Amrane de Béjaia. Cette série inclut 21 patients traités par biothérapie sur une période s’étalant de juin 2016 à juin 2017.
L’objectif principal était d’évaluer l’efficacité et la tolérance de la biothérapie au cours de traitement de la polyarthrite rhumatoïde. La polyarthrite rhumatoïde est relativement fréquente en Algérie, sa prévalence est de 0.15%. Elle prédomine chez le sexe féminin (76.2%). L’âge moyen au moment de diagnostic est de 38.4 ans ± 12.3, La tranche d’âge la plus représentée est celle des 20-40ans (62%). Le délai d’instauration de la biothérapie était de 10 ans chez les femmes et de 09 ans chez les hommes. Dans notre série, les femmes au foyer en milieu urbain sont les plus représentées. L’oligoarthrite distale est le mode de révélation de la PR le plus fréquent (52.5%). Le diagnostic repose essentiellement sur les critères de l’ACR/EULAR 2010 retrouvés dans 95.2% des patients de la série. Cliniquement, les déformations articulaires est un signe flagrant et très évident du diagnostic. Les déformations les plus notées chez nos patients sont les déformations de la main (92%), des poignets (50%) et des pieds (58.3%). Le bilan immunologique est un élément fondamental pour le diagnostic et le suivi de la PR. Le Facteur rhumatoïde était positif dans 12 cas (60%) et l’anticorps anti-CCP dans 14 cas (70%). Le traitement de la PR repose sur deux paliers : le traitement symptomatique et le traitement de fond (DMARD), lui-même composé de deux catégories : le traitement de fond conventionnel et les biothérapies. Tous nos patients ont reçu le traitement symptomatique(Antalgiques, AINS, Corticoïdes).
Pour le traitement de fond conventionnel, le Méthotrexate est le plus prescrit (90.5%), suivi par l’Hydroxychloroquine et le Léflunomide (33.3%).Pour les biothérapies, dont l’indication principale était l’échec du traitement de fond conventionnel, l’Etanercept était la biothérapie la plus prescrite onze patients (52.4%), suivie de l’Adalimumab chez cinq patients (28.8%) et du Tocilizumab chez trois patients (14.3%), alors que le Rituximab n’était prescrit que chez deux patients (9.5%).
L’évaluation de l’efficacité des biothérapies a portée sur les paramètres cliniques (NAD, NAG et l’EVA), biologiques (VS et CRP) et enfin sur les scores composites (DAS28, CDAI et l’HAQ) avant l’instauration, à un mois, à trois mois et à un an de traitement, et en termes de rémission et de LDA (faible niveau d’activité).
L’efficacité des biothérapies en termes de rémission et LDA (total) est respectivement de (64%), (86.7%) et (82%) à un mois, à trois mois et à un an. La tolérance est très bonne. Nous n’avons noté que deux cas (9.5%) d’effets indésirables sous Etanercept (un cas de leucopénie et un cas d’infection pulmonaire).
Les biothérapies ont montré une efficacité indéniable sur la réduction significative des symptômes, de l’handicap et des déformations au cours de la polyarthrite rhumatoïde.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM36/2018 CDM36/2018 Mémoire Electonique Salle multimédia Maladies de l'appareil locomoteur Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Evaluation de la biothérapie dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïdeURL Profil clinique et étiologique des thromboses veineuses en médecine interne / Celia, Boubekeur
Titre : Profil clinique et étiologique des thromboses veineuses en médecine interne Type de document : texte imprimé Auteurs : Celia, Boubekeur, Auteur ; Hanane, Hassani, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2017 Importance : 1 vol. (99 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr.
Langues : Français Mots-clés : Thromboses veineuses Index. décimale : 616.2 Maladies de l'appareil respiratoire : bronchite, pneumonie, asthme bronchiteux Résumé : La thrombose veineuse constitue avec l’embolie pulmonaire une entité indissociable qui est la maladie thromboembolique et vue la fréquence et la gravité de cette affection et le peu d’études réalisés dans ce contexte dans notre pays nous nous sommes engagés à identifier ses différents aspects : socio-épidémiologique, clinique, topographique, étiologique et évolutif des patients hospitalisés pour le même motif dans le service de médecine interne du CHU KHELIL Amrane de Bejaia en réalisant une étude rétrospective sur dossiers sur une durée de 15mois «janvier2016mars2017 » où nous avons colligés 98 cas dont huit étaient exclus sur un total de 1188patients soit une prévalence hospitalière de 8.2% qui correspondait à près de deux (1.6) malades par semaine et une incidence de 70.4 nouveaux cas par an.
L’âge moyen de nos patients était de 52ans avec une prédominance féminine et un sex-ratio de 0.84. La thrombose des membres inférieurs (71%) gauche (43 patients) profonde (72%) et proximale (47 patients) étaient la localisation la plus fréquente tandis que le siège inhabituel représentaient 24.4%
La thrombose veineuse est une maladie multifactorielle, les facteurs de risques observés dans notre série étaient essentiellement CO 31%, la chirurgie récente 29%, les varices 28%, l’âge 22.2% et l’alitement 19%.
Les étiologies observées étaient la néoplasie et la maladie variqueuse chez 12 patients chacun, la chirurgie chez sept patients, l’immobilisation chez six patients, la thrombophilies dans cinq cas dont trois constitutionnelles et deux cas de SAPL, trois cas : de maladies systémiques «MICI, maladie cœliaque, granulomatose cérébrale », de CO et de post-partum ont été observés, d’autres étiologies ont été retrouvées : bétathalassémie, anémie, HPC, IRC, sinusite. Malgré une enquête exhaustive 21patients restent d’étiologie inconnue.
La fréquence des complications au cours de l’hospitalisation était de 9% dont la moitié étaient des embolies pulmonaires.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Profil clinique et étiologique des thromboses veineuses en médecine interne [texte imprimé] / Celia, Boubekeur, Auteur ; Hanane, Hassani, Auteur ; Pr. Si Ahmed, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2017 . - 1 vol. (99 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Thromboses veineuses Index. décimale : 616.2 Maladies de l'appareil respiratoire : bronchite, pneumonie, asthme bronchiteux Résumé : La thrombose veineuse constitue avec l’embolie pulmonaire une entité indissociable qui est la maladie thromboembolique et vue la fréquence et la gravité de cette affection et le peu d’études réalisés dans ce contexte dans notre pays nous nous sommes engagés à identifier ses différents aspects : socio-épidémiologique, clinique, topographique, étiologique et évolutif des patients hospitalisés pour le même motif dans le service de médecine interne du CHU KHELIL Amrane de Bejaia en réalisant une étude rétrospective sur dossiers sur une durée de 15mois «janvier2016mars2017 » où nous avons colligés 98 cas dont huit étaient exclus sur un total de 1188patients soit une prévalence hospitalière de 8.2% qui correspondait à près de deux (1.6) malades par semaine et une incidence de 70.4 nouveaux cas par an.
L’âge moyen de nos patients était de 52ans avec une prédominance féminine et un sex-ratio de 0.84. La thrombose des membres inférieurs (71%) gauche (43 patients) profonde (72%) et proximale (47 patients) étaient la localisation la plus fréquente tandis que le siège inhabituel représentaient 24.4%
La thrombose veineuse est une maladie multifactorielle, les facteurs de risques observés dans notre série étaient essentiellement CO 31%, la chirurgie récente 29%, les varices 28%, l’âge 22.2% et l’alitement 19%.
Les étiologies observées étaient la néoplasie et la maladie variqueuse chez 12 patients chacun, la chirurgie chez sept patients, l’immobilisation chez six patients, la thrombophilies dans cinq cas dont trois constitutionnelles et deux cas de SAPL, trois cas : de maladies systémiques «MICI, maladie cœliaque, granulomatose cérébrale », de CO et de post-partum ont été observés, d’autres étiologies ont été retrouvées : bétathalassémie, anémie, HPC, IRC, sinusite. Malgré une enquête exhaustive 21patients restent d’étiologie inconnue.
La fréquence des complications au cours de l’hospitalisation était de 9% dont la moitié étaient des embolies pulmonaires.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M59/2017 M59/2017 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies de l'appareil respiratoire Exclu du prêt PermalinkThrombose veineuse de siège atypique / Lynda Atoui
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