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Auteur Dr. L., Ouamrane
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Hémoglobinurie paroxystique nocturne / Fayrouz, Kasmi
Titre : Hémoglobinurie paroxystique nocturne : revue de littératures et cas cliniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Fayrouz, Kasmi, Auteur ; Sonia, Atmani, Auteur ; Dr. L., Ouamrane, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2020 Importance : 1 vol. (76 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Hémoglobinurie paroxystique nocturne Gène PIG-A Protéines GPI CD55 CD59 Cytométrie en flux Index. décimale : 616.15 Anémie,leucémie,hémophilie,hématologie Résumé : L'hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) ou maladie de Marchiafava-Micheli est une maladie rare et acquise des cellules souches hématopoïétiques, atteignant les trois lignées : leucocytaire, érythrocytaire et plaquettaires. Elle est due à une mutation du gène phosphatidyl inositol glycane de classe A (PIG-A) sité sur le chromosome Xp22 responsable de la codification de nombreuses protèines essentielles à la protection des cellules sanguines contre l’activité lytique du complément dont le CD59 et le CD55.les formes cliniques de l’HPN sont variées ;la forme hémolytique classique est la plus fréquente se manifestant par un tableau d’hémolyse intravasculaire .
la cytométrie en flux (CMF) constitue l’outil diagnostic de référence, mettant en évidence le déficit des molécules GPI ancrées .le pronostic de l’HPN est lié à la survenue des complications lors de l’évolution notamment les complications thromboemboliques de localisation atypique.l’avenement de l’ECULUZIMAB anticoprs monoclonal inhibant le C5 du complément a nettement amélioré la prise en charge des patients atteints de la forme hémolytique alors que la forme aplasique reste une indication à la greffe de moelle osseuse en cas de donneur géno-identique ou de traitement immunosuppresseur en l’absence de donneur familial.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Hémoglobinurie paroxystique nocturne : revue de littératures et cas cliniques [texte imprimé] / Fayrouz, Kasmi, Auteur ; Sonia, Atmani, Auteur ; Dr. L., Ouamrane, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2020 . - 1 vol. (76 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Hémoglobinurie paroxystique nocturne Gène PIG-A Protéines GPI CD55 CD59 Cytométrie en flux Index. décimale : 616.15 Anémie,leucémie,hémophilie,hématologie Résumé : L'hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) ou maladie de Marchiafava-Micheli est une maladie rare et acquise des cellules souches hématopoïétiques, atteignant les trois lignées : leucocytaire, érythrocytaire et plaquettaires. Elle est due à une mutation du gène phosphatidyl inositol glycane de classe A (PIG-A) sité sur le chromosome Xp22 responsable de la codification de nombreuses protèines essentielles à la protection des cellules sanguines contre l’activité lytique du complément dont le CD59 et le CD55.les formes cliniques de l’HPN sont variées ;la forme hémolytique classique est la plus fréquente se manifestant par un tableau d’hémolyse intravasculaire .
la cytométrie en flux (CMF) constitue l’outil diagnostic de référence, mettant en évidence le déficit des molécules GPI ancrées .le pronostic de l’HPN est lié à la survenue des complications lors de l’évolution notamment les complications thromboemboliques de localisation atypique.l’avenement de l’ECULUZIMAB anticoprs monoclonal inhibant le C5 du complément a nettement amélioré la prise en charge des patients atteints de la forme hémolytique alors que la forme aplasique reste une indication à la greffe de moelle osseuse en cas de donneur géno-identique ou de traitement immunosuppresseur en l’absence de donneur familial.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M18/2020 M18/2020 Mémoire Salle de consultation sur place Sang: anémie, leucémie, hémophilie Exclu du prêt
Titre : Hémoglobinurie paroxystique nocturne : revue de littératures et cas cliniques Type de document : document électronique Auteurs : Fayrouz, Kasmi, Auteur ; Sonia, Atmani, Auteur ; Dr. L., Ouamrane, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2020 Importance : 1,40 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Hémoglobinurie paroxystique nocturne Gène PIG-A Protéines GPI CD55 CD59 Cytométrie en flux Index. décimale : 616.15 Anémie,leucémie,hémophilie,hématologie Résumé : L'hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) ou maladie de Marchiafava-Micheli est une maladie rare et acquise des cellules souches hématopoïétiques, atteignant les trois lignées : leucocytaire, érythrocytaire et plaquettaires. Elle est due à une mutation du gène phosphatidyl inositol glycane de classe A (PIG-A) sité sur le chromosome Xp22 responsable de la codification de nombreuses protèines essentielles à la protection des cellules sanguines contre l’activité lytique du complément dont le CD59 et le CD55.les formes cliniques de l’HPN sont variées ;la forme hémolytique classique est la plus fréquente se manifestant par un tableau d’hémolyse intravasculaire .
la cytométrie en flux (CMF) constitue l’outil diagnostic de référence, mettant en évidence le déficit des molécules GPI ancrées .le pronostic de l’HPN est lié à la survenue des complications lors de l’évolution notamment les complications thromboemboliques de localisation atypique.l’avenement de l’ECULUZIMAB anticoprs monoclonal inhibant le C5 du complément a nettement amélioré la prise en charge des patients atteints de la forme hémolytique alors que la forme aplasique reste une indication à la greffe de moelle osseuse en cas de donneur géno-identique ou de traitement immunosuppresseur en l’absence de donneur familial.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Hémoglobinurie paroxystique nocturne : revue de littératures et cas cliniques [document électronique] / Fayrouz, Kasmi, Auteur ; Sonia, Atmani, Auteur ; Dr. L., Ouamrane, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2020 . - 1,40 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Hémoglobinurie paroxystique nocturne Gène PIG-A Protéines GPI CD55 CD59 Cytométrie en flux Index. décimale : 616.15 Anémie,leucémie,hémophilie,hématologie Résumé : L'hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) ou maladie de Marchiafava-Micheli est une maladie rare et acquise des cellules souches hématopoïétiques, atteignant les trois lignées : leucocytaire, érythrocytaire et plaquettaires. Elle est due à une mutation du gène phosphatidyl inositol glycane de classe A (PIG-A) sité sur le chromosome Xp22 responsable de la codification de nombreuses protèines essentielles à la protection des cellules sanguines contre l’activité lytique du complément dont le CD59 et le CD55.les formes cliniques de l’HPN sont variées ;la forme hémolytique classique est la plus fréquente se manifestant par un tableau d’hémolyse intravasculaire .
la cytométrie en flux (CMF) constitue l’outil diagnostic de référence, mettant en évidence le déficit des molécules GPI ancrées .le pronostic de l’HPN est lié à la survenue des complications lors de l’évolution notamment les complications thromboemboliques de localisation atypique.l’avenement de l’ECULUZIMAB anticoprs monoclonal inhibant le C5 du complément a nettement amélioré la prise en charge des patients atteints de la forme hémolytique alors que la forme aplasique reste une indication à la greffe de moelle osseuse en cas de donneur géno-identique ou de traitement immunosuppresseur en l’absence de donneur familial.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM18/2020 CDM18/2020 Mémoire Electonique Salle multimédia Sang: anémie, leucémie, hémophilie Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Hémoglobinurie paroxystique nocturneURL Lymphome cérébral primitif / Siad Mohamed Islam
Titre : Lymphome cérébral primitif : a propos de deux cas immunocompétents Type de document : texte imprimé Auteurs : Siad Mohamed Islam, Auteur ; Smahi Meziane, Auteur ; Dr. L., Ouamrane, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (86 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Lymphome primitif Système nerveux central Traitement Biologie Imagerie Immunocompétent Immunodéprimé Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Les lymphomes cérébraux primitifs(LCP) ont longtemps pâti leur connaissance biologique et de leur connaissance biologique et les possibilités d'études thérapeutiques prospectives comparatives.Une amélioration significative de la survie a été observée lorsque la radiothérapie,classiquement utilisée,a été précédés d'une chimiothérapie comportant du méthotrexate (MTX) a haute dose,en faisant passer la médiane de survie de 16 mois avec la radiothérapie seule,a 35-45 mois avec les traitements mixtes,au prix d'un risques de toxicités neurologique particulièrement élevé chez les personnes de plus de 60 ans.A partir de la,et au cours de ces dernières années,de nombreuses études ont essayé d'améliorer les résultats thérapeutiques tout en tenant de diminuer la toxicité sur le système nerveux central.Si le traitement optimal n'est pas encore établi,ces études,pour la plupart rétrospectives,permettent cependant de mieux cerner les questions thérapeutiques,voire d'y apporter des éléments de réponse.Des controverses persistent.Le rôle des anticorps monoclonaux anti-CD20 reste a préciser ainsi que le rôle et les modalités optimales de la radiothérapie et de la chimiothérapie intensive.Les techniques d’imagerie récentes Apportent des éléments contribuant a la discussion des diagnostics différentiels, sans pour autant permettre de s’affranchir d’un diagnostic histologiques.
L’évaluation de la réponse thérapeutique reste perfectible. Des études récentes de biologie ont permis d’amorcer la caractérisation biologique des LCP, voire d’identifier des cibles thérapeutiques potentielles. Les LCP survenant dans un contexte d’immunodépression sont très rares et deviennent exceptionnels en cas d’infection par le virus de l’immunodéficiences humaine ( VIH ) .Ils sont bien caractérisés quant a leur aspect clinique et biologique, avec un rôle majeur du virus d’Epstein Barr (EBV ) dans leur lymphomagenése. Leur traitement dépend essentiellement de la raison de l’immunodépression et de son degré. Dans la mesure du possible, les traitements proposés se rapprochent de ceux proposés aux patients immunocompétents.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales
Lymphome cérébral primitif : a propos de deux cas immunocompétents [texte imprimé] / Siad Mohamed Islam, Auteur ; Smahi Meziane, Auteur ; Dr. L., Ouamrane, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2022 . - 1 vol. (86 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Lymphome primitif Système nerveux central Traitement Biologie Imagerie Immunocompétent Immunodéprimé Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Les lymphomes cérébraux primitifs(LCP) ont longtemps pâti leur connaissance biologique et de leur connaissance biologique et les possibilités d'études thérapeutiques prospectives comparatives.Une amélioration significative de la survie a été observée lorsque la radiothérapie,classiquement utilisée,a été précédés d'une chimiothérapie comportant du méthotrexate (MTX) a haute dose,en faisant passer la médiane de survie de 16 mois avec la radiothérapie seule,a 35-45 mois avec les traitements mixtes,au prix d'un risques de toxicités neurologique particulièrement élevé chez les personnes de plus de 60 ans.A partir de la,et au cours de ces dernières années,de nombreuses études ont essayé d'améliorer les résultats thérapeutiques tout en tenant de diminuer la toxicité sur le système nerveux central.Si le traitement optimal n'est pas encore établi,ces études,pour la plupart rétrospectives,permettent cependant de mieux cerner les questions thérapeutiques,voire d'y apporter des éléments de réponse.Des controverses persistent.Le rôle des anticorps monoclonaux anti-CD20 reste a préciser ainsi que le rôle et les modalités optimales de la radiothérapie et de la chimiothérapie intensive.Les techniques d’imagerie récentes Apportent des éléments contribuant a la discussion des diagnostics différentiels, sans pour autant permettre de s’affranchir d’un diagnostic histologiques.
L’évaluation de la réponse thérapeutique reste perfectible. Des études récentes de biologie ont permis d’amorcer la caractérisation biologique des LCP, voire d’identifier des cibles thérapeutiques potentielles. Les LCP survenant dans un contexte d’immunodépression sont très rares et deviennent exceptionnels en cas d’infection par le virus de l’immunodéficiences humaine ( VIH ) .Ils sont bien caractérisés quant a leur aspect clinique et biologique, avec un rôle majeur du virus d’Epstein Barr (EBV ) dans leur lymphomagenése. Leur traitement dépend essentiellement de la raison de l’immunodépression et de son degré. Dans la mesure du possible, les traitements proposés se rapprochent de ceux proposés aux patients immunocompétents.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M71/2022 M71/2022 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt
Titre : Lymphome cérébral primitif : a propos de deux cas immunocompétents Type de document : document électronique Auteurs : Siad Mohamed Islam, Auteur ; Smahi Meziane, Auteur ; Dr. L., Ouamrane, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2022 Importance : 2,02 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr.
Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Lymphome primitif du système nerveux central Traitement Biologie Imagerie Immunocompétent Immunodéprimé Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Les lymphomes cérébraux primitifs(LCP) ont longtemps pâti leur connaissance biologique et de leur connaissance biologique et les possibilités d'études thérapeutiques prospectives comparatives.Une amélioration significative de la survie a été observée lorsque la radiothérapie,classiquement utilisée,a été précédés d'une chimiothérapie comportant du méthotrexate (MTX) a haute dose,en faisant passer la médiane de survie de 16 mois avec la radiothérapie seule,a 35-45 mois avec les traitements mixtes,au prix d'un risques de toxicités neurologique particulièrement élevé chez les personnes de plus de 60 ans.A partir de la,et au cours de ces dernières années,de nombreuses études ont essayé d'améliorer les résultats thérapeutiques tout en tenant de diminuer la toxicité sur le système nerveux central.Si le traitement optimal n'est pas encore établi,ces études,pour la plupart rétrospectives,permettent cependant de mieux cerner les questions thérapeutiques,voire d'y apporter des éléments de réponse.Des controverses persistent.Le rôle des anticorps monoclonaux anti-CD20 reste a préciser ainsi que le rôle et les modalités optimales de la radiothérapie et de la chimiothérapie intensive.Les techniques d’imagerie récentes Apportent des éléments contribuant a la discussion des diagnostics différentiels, sans pour autant permettre de s’affranchir d’un diagnostic histologiques.
L’évaluation de la réponse thérapeutique reste perfectible. Des études récentes de biologie ont permis d’amorcer la caractérisation biologique des LCP, voire d’identifier des cibles thérapeutiques potentielles. Les LCP survenant dans un contexte d’immunodépression sont très rares et deviennent exceptionnels en cas d’infection par le virus de l’immunodéficiences humaine ( VIH ) .Ils sont bien caractérisés quant a leur aspect clinique et biologique, avec un rôle majeur du virus d’Epstein Barr (EBV ) dans leur lymphomagenése. Leur traitement dépend essentiellement de la raison de l’immunodépression et de son degré. Dans la mesure du possible, les traitements proposés se rapprochent de ceux proposés aux patients immunocompétents.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales
Lymphome cérébral primitif : a propos de deux cas immunocompétents [document électronique] / Siad Mohamed Islam, Auteur ; Smahi Meziane, Auteur ; Dr. L., Ouamrane, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2022 . - 2,02 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Lymphome primitif du système nerveux central Traitement Biologie Imagerie Immunocompétent Immunodéprimé Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Les lymphomes cérébraux primitifs(LCP) ont longtemps pâti leur connaissance biologique et de leur connaissance biologique et les possibilités d'études thérapeutiques prospectives comparatives.Une amélioration significative de la survie a été observée lorsque la radiothérapie,classiquement utilisée,a été précédés d'une chimiothérapie comportant du méthotrexate (MTX) a haute dose,en faisant passer la médiane de survie de 16 mois avec la radiothérapie seule,a 35-45 mois avec les traitements mixtes,au prix d'un risques de toxicités neurologique particulièrement élevé chez les personnes de plus de 60 ans.A partir de la,et au cours de ces dernières années,de nombreuses études ont essayé d'améliorer les résultats thérapeutiques tout en tenant de diminuer la toxicité sur le système nerveux central.Si le traitement optimal n'est pas encore établi,ces études,pour la plupart rétrospectives,permettent cependant de mieux cerner les questions thérapeutiques,voire d'y apporter des éléments de réponse.Des controverses persistent.Le rôle des anticorps monoclonaux anti-CD20 reste a préciser ainsi que le rôle et les modalités optimales de la radiothérapie et de la chimiothérapie intensive.Les techniques d’imagerie récentes Apportent des éléments contribuant a la discussion des diagnostics différentiels, sans pour autant permettre de s’affranchir d’un diagnostic histologiques.
L’évaluation de la réponse thérapeutique reste perfectible. Des études récentes de biologie ont permis d’amorcer la caractérisation biologique des LCP, voire d’identifier des cibles thérapeutiques potentielles. Les LCP survenant dans un contexte d’immunodépression sont très rares et deviennent exceptionnels en cas d’infection par le virus de l’immunodéficiences humaine ( VIH ) .Ils sont bien caractérisés quant a leur aspect clinique et biologique, avec un rôle majeur du virus d’Epstein Barr (EBV ) dans leur lymphomagenése. Leur traitement dépend essentiellement de la raison de l’immunodépression et de son degré. Dans la mesure du possible, les traitements proposés se rapprochent de ceux proposés aux patients immunocompétents.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM71/2022 CDM71/2022 Mémoire Electonique Salle multimédia Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt Documents numériques
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