[n° ou bulletin]
Titre : | 2022FM179 - Trimestrielle - Les sulfamides en ophtalmologie | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Pierre Gerhard, Auteur | Année de publication : | 1971 | Importance : | 30p. | Format : | 26 cm | Langues : | Français | Catégories : | Santé
| Mots-clés : | Ophtalmologie:sulfamides | Index. décimale : | 615.5 Thérapeutique : classer à 616.618 les thérapies des diverses maladies | Résumé : | Quarante ans après leur découverte et la mise au point d'innombrables produits, les sulfamides gardent aujourd’hui des indications précises en ophtalmologie.
Les études pharmacologiques ont permis de préciser la destinée des sulfamides récents dans l’organisme.
De nombreuses affections palpébrales, conjonctivales et cornéennes réagissent très bien, mais c’est essentiellement dans le trachome, la toxoplasmose et la lèpre que la sulfamidothérapie générale trouve son terrain d’élection permettant des améliorations et des guérisons nombreuses.
Comme avec toute médication active, il y a un risque thérapeutique ; certain accidents sont bénins et rares, mais d’autre gardent une actualité certaine, ce sont les manifestations cutanées graves de la maladie de Lyell. Il semble bien que les sulfamides d’action prolongée ne représentent pas le seul facteur étiologique possible. Certaines règles thérapeutiques doivent être scrupuleusement respectées, elles permettent de réduire considérablement les accidents.
Les sulfamides doivent le plus souvent possible être administrés par voie générale ; leur emploi sous forme collyre et de pommade ne constitue en général qu’un adjuvant. |
[n° ou bulletin]
2022FM179 - Trimestrielle - Les sulfamides en ophtalmologie [texte imprimé] / Jean-Pierre Gerhard, Auteur . - 1971 . - 30p. ; 26 cm. Langues : Français Catégories : | Santé
| Mots-clés : | Ophtalmologie:sulfamides | Index. décimale : | 615.5 Thérapeutique : classer à 616.618 les thérapies des diverses maladies | Résumé : | Quarante ans après leur découverte et la mise au point d'innombrables produits, les sulfamides gardent aujourd’hui des indications précises en ophtalmologie.
Les études pharmacologiques ont permis de préciser la destinée des sulfamides récents dans l’organisme.
De nombreuses affections palpébrales, conjonctivales et cornéennes réagissent très bien, mais c’est essentiellement dans le trachome, la toxoplasmose et la lèpre que la sulfamidothérapie générale trouve son terrain d’élection permettant des améliorations et des guérisons nombreuses.
Comme avec toute médication active, il y a un risque thérapeutique ; certain accidents sont bénins et rares, mais d’autre gardent une actualité certaine, ce sont les manifestations cutanées graves de la maladie de Lyell. Il semble bien que les sulfamides d’action prolongée ne représentent pas le seul facteur étiologique possible. Certaines règles thérapeutiques doivent être scrupuleusement respectées, elles permettent de réduire considérablement les accidents.
Les sulfamides doivent le plus souvent possible être administrés par voie générale ; leur emploi sous forme collyre et de pommade ne constitue en général qu’un adjuvant. |
|