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Auteur Ahmane Pr.Hassina
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Cardiopathies congénitale chez L'enfant / Souici Farah
Titre : Cardiopathies congénitale chez L'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Souici Farah, Auteur ; Ziani Sarah, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Dr.Benferchouli, Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (183 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.
Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Cardiopathies congénitales Souffle cardiaque Détresse respiratoire Enfant Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les cardiopathies congénitales regroupent l’ensemble des malformations cardiaques et vasculaires, elles représentent environ un tiers de toutes les malformations congénitales et constituent un grand problème de santé publique surtout dans les pays en voie de développement. Le but de cette étude est de décrire le profil épidémiologique et clinique de ces malformations et de discuter les problèmes posés par la prise en charge de ces maladies.
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 20 patients hospitalisés au service de néonatalogie de l’unité Targa Ouzemmour du CHU de Bejaia sur une période de 6 mois allant du 1er juillet 2022 au 31 décembre 2022. Ont été inclus
dans cette étude les nouveau-nés qui avaient une cardiopathie congénitale confirmée par l’échocardiographie. Ont été exclues toutes les anomalies cardiaques non malformatives type myocardiopathies, tumeurs, trouble de rythme.
La prévalence hospitalière des cardiopathies congénitales était de 1.26%, le sex-ratio est de 1.22 (55% masculin, 45% féminin), la consanguinité a été retrouvée chez 20% des patients.
Dans cette étude, nous avons recensé 4 malades qui ont bénéficié d’une échographie en anténatal.
Le souffle cardiaque et La détresse respiratoire étaient les symptômes évocateurs les plus fréquents avec respectivement des taux de 80% et 60%. Les cardiopathies congénitales non cyanogène représentaient 70% et cyanogène 30%
Dans cette étude 9 malades ont été opérés à l’hôpital de Boussmail, on a noté survenue de 4 décès.
A la lumière de ce travail, nous insistons sur l’importance de la mise en place d’une stratégie de dépistage et de prise en charge des cardiopathies congénitales.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Cardiopathies congénitale chez L'enfant [texte imprimé] / Souici Farah, Auteur ; Ziani Sarah, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Dr.Benferchouli, Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (183 f.) : ill. ; 30 cm.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Cardiopathies congénitales Souffle cardiaque Détresse respiratoire Enfant Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les cardiopathies congénitales regroupent l’ensemble des malformations cardiaques et vasculaires, elles représentent environ un tiers de toutes les malformations congénitales et constituent un grand problème de santé publique surtout dans les pays en voie de développement. Le but de cette étude est de décrire le profil épidémiologique et clinique de ces malformations et de discuter les problèmes posés par la prise en charge de ces maladies.
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 20 patients hospitalisés au service de néonatalogie de l’unité Targa Ouzemmour du CHU de Bejaia sur une période de 6 mois allant du 1er juillet 2022 au 31 décembre 2022. Ont été inclus
dans cette étude les nouveau-nés qui avaient une cardiopathie congénitale confirmée par l’échocardiographie. Ont été exclues toutes les anomalies cardiaques non malformatives type myocardiopathies, tumeurs, trouble de rythme.
La prévalence hospitalière des cardiopathies congénitales était de 1.26%, le sex-ratio est de 1.22 (55% masculin, 45% féminin), la consanguinité a été retrouvée chez 20% des patients.
Dans cette étude, nous avons recensé 4 malades qui ont bénéficié d’une échographie en anténatal.
Le souffle cardiaque et La détresse respiratoire étaient les symptômes évocateurs les plus fréquents avec respectivement des taux de 80% et 60%. Les cardiopathies congénitales non cyanogène représentaient 70% et cyanogène 30%
Dans cette étude 9 malades ont été opérés à l’hôpital de Boussmail, on a noté survenue de 4 décès.
A la lumière de ce travail, nous insistons sur l’importance de la mise en place d’une stratégie de dépistage et de prise en charge des cardiopathies congénitales.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M34/2023 M34/2023 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt
Titre : Cardiopathies congénitale chez L'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Souici Farah, Auteur ; Ziani Sarah, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Dr.Benferchouli, Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (183 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.
Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Cardiopathies congénitales Souffle cardiaque Détresse respiratoire Enfant Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les cardiopathies congénitales regroupent l’ensemble des malformations cardiaques et vasculaires, elles représentent environ un tiers de toutes les malformations congénitales et constituent un grand problème de santé publique surtout dans les pays en voie de développement. Le but de cette étude est de décrire le profil épidémiologique et clinique de ces malformations et de discuter les problèmes posés par la prise en charge de ces maladies.
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 20 patients hospitalisés au service de néonatalogie de l’unité Targa Ouzemmour du CHU de Bejaia sur une période de 6 mois allant du 1er juillet 2022 au 31 décembre 2022. Ont été inclus
dans cette étude les nouveau-nés qui avaient une cardiopathie congénitale confirmée par l’échocardiographie. Ont été exclues toutes les anomalies cardiaques non mal formatives type myocardiopathies, tumeurs, trouble de rythme.
La prévalence hospitalière des cardiopathies congénitales était de 1.26%, le sex-ratio est de 1.22 (55% masculin, 45% féminin), la consanguinité a été retrouvée chez 20% des patients.
Dans cette étude, nous avons recensé 4 malades qui ont bénéficié d’une échographie en anténatal.
Le souffle cardiaque et La détresse respiratoire étaient les symptômes évocateurs les plus fréquents avec respectivement des taux de 80% et 60%. Les cardiopathies congénitales non cyanogène représentaient 70% et cyanogène 30%
Dans cette étude 9 malades ont été opérés à l’hôpital de Boussmail, on a noté survenue de 4 décès.
A la lumière de ce travail, nous insistons sur l’importance de la mise en place d’une stratégie de dépistage et de prise en charge des cardiopathies congénitales.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Cardiopathies congénitale chez L'enfant [texte imprimé] / Souici Farah, Auteur ; Ziani Sarah, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Dr.Benferchouli, Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (183 f.) : ill. ; 30 cm.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Cardiopathies congénitales Souffle cardiaque Détresse respiratoire Enfant Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les cardiopathies congénitales regroupent l’ensemble des malformations cardiaques et vasculaires, elles représentent environ un tiers de toutes les malformations congénitales et constituent un grand problème de santé publique surtout dans les pays en voie de développement. Le but de cette étude est de décrire le profil épidémiologique et clinique de ces malformations et de discuter les problèmes posés par la prise en charge de ces maladies.
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 20 patients hospitalisés au service de néonatalogie de l’unité Targa Ouzemmour du CHU de Bejaia sur une période de 6 mois allant du 1er juillet 2022 au 31 décembre 2022. Ont été inclus
dans cette étude les nouveau-nés qui avaient une cardiopathie congénitale confirmée par l’échocardiographie. Ont été exclues toutes les anomalies cardiaques non mal formatives type myocardiopathies, tumeurs, trouble de rythme.
La prévalence hospitalière des cardiopathies congénitales était de 1.26%, le sex-ratio est de 1.22 (55% masculin, 45% féminin), la consanguinité a été retrouvée chez 20% des patients.
Dans cette étude, nous avons recensé 4 malades qui ont bénéficié d’une échographie en anténatal.
Le souffle cardiaque et La détresse respiratoire étaient les symptômes évocateurs les plus fréquents avec respectivement des taux de 80% et 60%. Les cardiopathies congénitales non cyanogène représentaient 70% et cyanogène 30%
Dans cette étude 9 malades ont été opérés à l’hôpital de Boussmail, on a noté survenue de 4 décès.
A la lumière de ce travail, nous insistons sur l’importance de la mise en place d’une stratégie de dépistage et de prise en charge des cardiopathies congénitales.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM34/2023 CDM34/2023 Mémoire Electonique Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt Documents numériques
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Cardiopathies congénitale chez L'enfantURL Détresse respiratoire chez le nouveau-né / Kebbiche Mira
Titre : Détresse respiratoire chez le nouveau-né Type de document : texte imprimé Auteurs : Kebbiche Mira, Auteur ; Ouar Thiziri, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Mazri Dr.S., Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (111 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Détresse respiratoire néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Nous avons réalisé une étude rétrospective et prospective portant sur 206 cas de détresse respiratoire néonatale confirmée ou suspecte, hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaïa entre le 01 décembre 2022 et le 28 février 2023. La fréquence d’hospitalisation pour la détresse respiratoire néonatale est de 30,11 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 2,21. Le délai d’apparition de la détresse respiratoire est majoritaire dans le premières 24 heures de vie avec une fréquence de 56,79 %. La détresse respiratoire néonatale reste fréquente chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 52,91 % ont présenté au moins un FDR, dont les plus fréquents sont les facteurs de risque infectieux (la RPM supérieure à 18 heures, l’exposition à la chorioamniotite), l’hypertension artérielle maternelle et le diabète gestationnel avec des proportions respectivement de 27,66 %, 12,13 % et 13,10 %.La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominé par la polypnée. La cyanose, l’allongement du TRC, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position .La radiographie thoracique avec sonde nasogastrique en place était réalisée systématiquement chez tous les nouveau nés à l’exception d’un seul cas. L’échographie cardiaque n’a été réalisée que dans 4,85 % des cas à la recherche de malformations cardiaques responsable de la détresse respiratoire. La FNS et la CRP étaient pratiquées obligatoirement chez tous les nouveau nés. Chez la plupart des nouveau nés l’hémoculture n’a pas été faite sauf chez 14,56 % des cas dont 30 % sont revenues positives, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. La PL par ailleurs était faite chez 20,87 % des cas, alors que celle-ci dans la majorité des cas n’avait aucune indication et seulement une PL était positive. La cause la plus fréquente de la détresse respiratoire néonatale est l’infection pulmonaire avec une fréquence de 64,07 %, puis viennent les autres causes comme la tachypnée transitoire, la MMH avec des proportions respectivement de 15,53 %, 5,33 %, il y a eu 3 cas de détresse respiratoire dus au pneumothorax, un seul cas d’atrésie de l'Å“sophage et un autre syndrome de Pierre Robin. Sans oublier les autres causes cardiaques, métabolique, et les asphyxies néonatales qui représentent 9,22 % des cas. Concernant la prise en charge, 88 % de la population est mise sous oxygénothérapie dont 67 % avec des lunettes, 13 % ont bénéficié d’une CPAP nasale et seulement 1 % de la population a reçu de l’oxygénothérapie avec l’Enceinte de Hood, l’intubation a était réaliser chez 7 % des cas. L’antibiothérapie a été administrer chez 66,50 % des cas. L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi totalité des cas soit dans 84 % de la population. Le diagnostic de la détresse respiratoire repose essentiellement sur l’inspection du nouveau-né à la recherche de trois symptômes principaux : la cyanose, la tachypnée et les signes de rétraction. Les examens paracliniques permettent le diagnostic étiologique. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Détresse respiratoire chez le nouveau-né [texte imprimé] / Kebbiche Mira, Auteur ; Ouar Thiziri, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Mazri Dr.S., Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (111 f.) : ill. ; 30 cm.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Détresse respiratoire néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Nous avons réalisé une étude rétrospective et prospective portant sur 206 cas de détresse respiratoire néonatale confirmée ou suspecte, hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaïa entre le 01 décembre 2022 et le 28 février 2023. La fréquence d’hospitalisation pour la détresse respiratoire néonatale est de 30,11 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 2,21. Le délai d’apparition de la détresse respiratoire est majoritaire dans le premières 24 heures de vie avec une fréquence de 56,79 %. La détresse respiratoire néonatale reste fréquente chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 52,91 % ont présenté au moins un FDR, dont les plus fréquents sont les facteurs de risque infectieux (la RPM supérieure à 18 heures, l’exposition à la chorioamniotite), l’hypertension artérielle maternelle et le diabète gestationnel avec des proportions respectivement de 27,66 %, 12,13 % et 13,10 %.La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominé par la polypnée. La cyanose, l’allongement du TRC, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position .La radiographie thoracique avec sonde nasogastrique en place était réalisée systématiquement chez tous les nouveau nés à l’exception d’un seul cas. L’échographie cardiaque n’a été réalisée que dans 4,85 % des cas à la recherche de malformations cardiaques responsable de la détresse respiratoire. La FNS et la CRP étaient pratiquées obligatoirement chez tous les nouveau nés. Chez la plupart des nouveau nés l’hémoculture n’a pas été faite sauf chez 14,56 % des cas dont 30 % sont revenues positives, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. La PL par ailleurs était faite chez 20,87 % des cas, alors que celle-ci dans la majorité des cas n’avait aucune indication et seulement une PL était positive. La cause la plus fréquente de la détresse respiratoire néonatale est l’infection pulmonaire avec une fréquence de 64,07 %, puis viennent les autres causes comme la tachypnée transitoire, la MMH avec des proportions respectivement de 15,53 %, 5,33 %, il y a eu 3 cas de détresse respiratoire dus au pneumothorax, un seul cas d’atrésie de l'Å“sophage et un autre syndrome de Pierre Robin. Sans oublier les autres causes cardiaques, métabolique, et les asphyxies néonatales qui représentent 9,22 % des cas. Concernant la prise en charge, 88 % de la population est mise sous oxygénothérapie dont 67 % avec des lunettes, 13 % ont bénéficié d’une CPAP nasale et seulement 1 % de la population a reçu de l’oxygénothérapie avec l’Enceinte de Hood, l’intubation a était réaliser chez 7 % des cas. L’antibiothérapie a été administrer chez 66,50 % des cas. L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi totalité des cas soit dans 84 % de la population. Le diagnostic de la détresse respiratoire repose essentiellement sur l’inspection du nouveau-né à la recherche de trois symptômes principaux : la cyanose, la tachypnée et les signes de rétraction. Les examens paracliniques permettent le diagnostic étiologique. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M40/2023 M40/2023 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt
Titre : Détresse respiratoire chez le nouveau-né Type de document : document électronique Auteurs : Kebbiche Mira, Auteur ; Ouar Thiziri, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Mazri Dr.S., Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 5,33 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Détresse respiratoire néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Nous avons réalisé une étude rétrospective et prospective portant sur 206 cas de détresse respiratoire néonatale confirmée ou suspecte, hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaïa entre le 01 décembre 2022 et le 28 février 2023. La fréquence d’hospitalisation pour la détresse respiratoire néonatale est de 30,11 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 2,21. Le délai d’apparition de la détresse respiratoire est majoritaire dans le premières 24 heures de vie avec une fréquence de 56,79 %. La détresse respiratoire néonatale reste fréquente chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 52,91 % ont présenté au moins un FDR, dont les plus fréquents sont les facteurs de risque infectieux (la RPM supérieure à 18 heures, l’exposition à la chorioamniotite), l’hypertension artérielle maternelle et le diabète gestationnel avec des proportions respectivement de 27,66 %, 12,13 % et 13,10 %.La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominé par la polypnée. La cyanose, l’allongement du TRC, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position .La radiographie thoracique avec sonde nasogastrique en place était réalisée systématiquement chez tous les nouveau nés à l’exception d’un seul cas. L’échographie cardiaque n’a été réalisée que dans 4,85 % des cas à la recherche de malformations cardiaques responsable de la détresse respiratoire. La FNS et la CRP étaient pratiquées obligatoirement chez tous les nouveau nés. Chez la plupart des nouveau nés l’hémoculture n’a pas été faite sauf chez 14,56 % des cas dont 30 % sont revenues positives, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. La PL par ailleurs était faite chez 20,87 % des cas, alors que celle-ci dans la majorité des cas n’avait aucune indication et seulement une PL était positive. La cause la plus fréquente de la détresse respiratoire néonatale est l’infection pulmonaire avec une fréquence de 64,07 %, puis viennent les autres causes comme la tachypnée transitoire, la MMH avec des proportions respectivement de 15,53 %, 5,33 %, il y a eu 3 cas de détresse respiratoire dus au pneumothorax, un seul cas d’atrésie de l'Å“sophage et un autre syndrome de Pierre Robin. Sans oublier les autres causes cardiaques, métabolique, et les asphyxies néonatales qui représentent 9,22 % des cas. Concernant la prise en charge, 88 % de la population est mise sous oxygénothérapie dont 67 % avec des lunettes, 13 % ont bénéficié d’une CPAP nasale et seulement 1 % de la population a reçu de l’oxygénothérapie avec l’Enceinte de Hood, l’intubation a était réaliser chez 7 % des cas. L’antibiothérapie a été administrer chez 66,50 % des cas. L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi totalité des cas soit dans 84 % de la population. Le diagnostic de la détresse respiratoire repose essentiellement sur l’inspection du nouveau-né à la recherche de trois symptômes principaux : la cyanose, la tachypnée et les signes de rétraction. Les examens paracliniques permettent le diagnostic étiologique. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Détresse respiratoire chez le nouveau-né [document électronique] / Kebbiche Mira, Auteur ; Ouar Thiziri, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Mazri Dr.S., Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 5,33 Mo : ill. ; Pdf.
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Catégories : Santé Mots-clés : Détresse respiratoire néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Nous avons réalisé une étude rétrospective et prospective portant sur 206 cas de détresse respiratoire néonatale confirmée ou suspecte, hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaïa entre le 01 décembre 2022 et le 28 février 2023. La fréquence d’hospitalisation pour la détresse respiratoire néonatale est de 30,11 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 2,21. Le délai d’apparition de la détresse respiratoire est majoritaire dans le premières 24 heures de vie avec une fréquence de 56,79 %. La détresse respiratoire néonatale reste fréquente chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 52,91 % ont présenté au moins un FDR, dont les plus fréquents sont les facteurs de risque infectieux (la RPM supérieure à 18 heures, l’exposition à la chorioamniotite), l’hypertension artérielle maternelle et le diabète gestationnel avec des proportions respectivement de 27,66 %, 12,13 % et 13,10 %.La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominé par la polypnée. La cyanose, l’allongement du TRC, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position .La radiographie thoracique avec sonde nasogastrique en place était réalisée systématiquement chez tous les nouveau nés à l’exception d’un seul cas. L’échographie cardiaque n’a été réalisée que dans 4,85 % des cas à la recherche de malformations cardiaques responsable de la détresse respiratoire. La FNS et la CRP étaient pratiquées obligatoirement chez tous les nouveau nés. Chez la plupart des nouveau nés l’hémoculture n’a pas été faite sauf chez 14,56 % des cas dont 30 % sont revenues positives, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. La PL par ailleurs était faite chez 20,87 % des cas, alors que celle-ci dans la majorité des cas n’avait aucune indication et seulement une PL était positive. La cause la plus fréquente de la détresse respiratoire néonatale est l’infection pulmonaire avec une fréquence de 64,07 %, puis viennent les autres causes comme la tachypnée transitoire, la MMH avec des proportions respectivement de 15,53 %, 5,33 %, il y a eu 3 cas de détresse respiratoire dus au pneumothorax, un seul cas d’atrésie de l'Å“sophage et un autre syndrome de Pierre Robin. Sans oublier les autres causes cardiaques, métabolique, et les asphyxies néonatales qui représentent 9,22 % des cas. Concernant la prise en charge, 88 % de la population est mise sous oxygénothérapie dont 67 % avec des lunettes, 13 % ont bénéficié d’une CPAP nasale et seulement 1 % de la population a reçu de l’oxygénothérapie avec l’Enceinte de Hood, l’intubation a était réaliser chez 7 % des cas. L’antibiothérapie a été administrer chez 66,50 % des cas. L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi totalité des cas soit dans 84 % de la population. Le diagnostic de la détresse respiratoire repose essentiellement sur l’inspection du nouveau-né à la recherche de trois symptômes principaux : la cyanose, la tachypnée et les signes de rétraction. Les examens paracliniques permettent le diagnostic étiologique. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM40/2023 CDM40/2023 Mémoire Electonique Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt Documents numériques
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Détresse respiratoire chez le nouveau-néURL Diagnostic et prise en charge des méninigites bacteriennes de l’enfant / Lynda, Barache
Titre : Diagnostic et prise en charge des méninigites bacteriennes de l’enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Lynda, Barache, Auteur ; Siham, Halfaoui, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2018 Importance : 1 vol. (61 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Méningites bactériennes Enfant Prise en charge Index. décimale : 616.92 Maladies bactériennes Résumé : Introduction: Les méningites du nourrisson et del’enfant demeurent une affection préoccupante en pédiatrie tant par sa
fréquence que par sa gravité.L'objectif de ce travail est d'étudier les particularités épidémiologiques, cliniques et évolutives des méningites bactériennes chez l’enfant âgé
entre 28jours-15 ans et préciser la prise en charge thérapeutique.
Nous avons mené une étude rétrospective à propos de tous les cas de méningites bactériennes colligés dans les
services de pédiatrie du CHU Khelil Amrane de Béjaia durant une période de 13 mois (Janvier 2017- janvier 2018). Nous avons étudié les données épidémiologiques, cliniques,paracliniques et Nous avons colligé 28 cas de méningites bactériennes sur 1953
hospitalisations toutes causes confondues.L'âge moyen était de 18 mois. Tous les patients étaient correctement vaccinés selon
le nouveau calendrier national de vaccination.Les manifestations cliniques étaient dominées chez l'enfant >2 ans par la fièvre(100%), les céphalées(67%), les vomissements (67%), la raideur de la nuque (100%), et chez les nourrissons par la fièvre(100%), les gémissements (32%),le refus de téter(27%),
l'hypotonie(27%) et les convulsions(14%). Laculture a été positive chez deux cas mettant en évidence un pneumocoque et un
Haemophilus influenzae. Elle a été négative chez 21 cas et cela en raison d'une prise préalable, intempestive et large
d'antibiotiques(71%). Le traitement instauré a été le plus souvent la céfotaxime en monothérapie ou associée à un aminoside.
L'évolution ultérieure a été le plus souvent favorable(89%) .
Conclusion: Les méningites bactériennes demeurent des affections graves et fréquentes, et posent un problème de diagnostic dans notre contexte en raison de l'usage intempestif des antibiotiques.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Diagnostic et prise en charge des méninigites bacteriennes de l’enfant [texte imprimé] / Lynda, Barache, Auteur ; Siham, Halfaoui, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2018 . - 1 vol. (61 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Méningites bactériennes Enfant Prise en charge Index. décimale : 616.92 Maladies bactériennes Résumé : Introduction: Les méningites du nourrisson et del’enfant demeurent une affection préoccupante en pédiatrie tant par sa
fréquence que par sa gravité.L'objectif de ce travail est d'étudier les particularités épidémiologiques, cliniques et évolutives des méningites bactériennes chez l’enfant âgé
entre 28jours-15 ans et préciser la prise en charge thérapeutique.
Nous avons mené une étude rétrospective à propos de tous les cas de méningites bactériennes colligés dans les
services de pédiatrie du CHU Khelil Amrane de Béjaia durant une période de 13 mois (Janvier 2017- janvier 2018). Nous avons étudié les données épidémiologiques, cliniques,paracliniques et Nous avons colligé 28 cas de méningites bactériennes sur 1953
hospitalisations toutes causes confondues.L'âge moyen était de 18 mois. Tous les patients étaient correctement vaccinés selon
le nouveau calendrier national de vaccination.Les manifestations cliniques étaient dominées chez l'enfant >2 ans par la fièvre(100%), les céphalées(67%), les vomissements (67%), la raideur de la nuque (100%), et chez les nourrissons par la fièvre(100%), les gémissements (32%),le refus de téter(27%),
l'hypotonie(27%) et les convulsions(14%). Laculture a été positive chez deux cas mettant en évidence un pneumocoque et un
Haemophilus influenzae. Elle a été négative chez 21 cas et cela en raison d'une prise préalable, intempestive et large
d'antibiotiques(71%). Le traitement instauré a été le plus souvent la céfotaxime en monothérapie ou associée à un aminoside.
L'évolution ultérieure a été le plus souvent favorable(89%) .
Conclusion: Les méningites bactériennes demeurent des affections graves et fréquentes, et posent un problème de diagnostic dans notre contexte en raison de l'usage intempestif des antibiotiques.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M14/2018 M14/2018 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies bactériennes Exclu du prêt PermalinkEtude épidémiologique de l’ictère néonatal à bilirubine libre au CHU de Béjaia / Thinhinane, Oubelaid
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