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Auteur Ali Pacha Dr. Nadjib
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Antipsychotiques et syndrome métabolique / Azedine, Sahi
Titre : Antipsychotiques et syndrome métabolique Type de document : texte imprimé Auteurs : Azedine, Sahi, Auteur ; Tarek, Faid, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2018 Importance : 1 vol. (109 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Neuroleptiques Syndrome métabolique Psychiatrie Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Le syndrome métabolique concerne plus particulièrement les
patients atteints d’affections mentales sévères. Il expose à un risque accru d’accident cardio-vasculaire, à l’origine d’une surmortalité importante. L’adiposité viscérale, très fréquente chez ces patients, est à l’origine d’une insulinorésistance entretenue et aggravée par le mode de vie et les traitements neuroleptiques. Certains antipsychotique de seconde génération, entraînent plus que d’autres une prise pondérale et une résistance à l’insuline.Notre étude pratique a consisté en un dépistage du syndrome métabolique chez 50 patients hospitalisés au niveau du service de psychiatrie Hôpital FRANTZ FANON du 01 avril au 15 mai 2018 et qui ont été traités par antipsychotique, tout en évaluant la prise en charge somatique de ces derniers.
La population était constituée de 36 hommes pour 14 femmes, avec
un âge moyen de 36 ans. On a remarqué une nette difficulté
d’insertion socioprofessionnelle. En effet, 82% des patients étaient sans emploi et 90 % célibataires. 58 % étaient hospitalisés à la demande d’un tiers et 28 % sur réquisition de l’état. La durée moyenne de l’hospitalisation était de 28 jours et la durée d’évolution des troubles psychiatriques chez ces patients était en moyenne de 11 ans. La place des antipsychotiques classiques dans la prise en charge demeure importante en milieu hospitalier, 49 patients sur 50 ont été
traités par au moins un antipsychotique de première génération. Les antipsychotiques atypiques ont été prescrits chez 36 % des patients,et les anxiolytiques prescrits chez 66% des patients. Comme on a pu constater que 54 % des patient avaient un IMC > 25 kg/m2 et un patient sur deux avait une obésité abdominale. La glycémie ≥ 1 g/l a été retrouvé chez 28% des patients, le bilan lipidique n’étant pas constamment demandé a pu révéler 20% d’hypertriglycéridémie. Au terme de cette étude, 08 cas de syndrome métabolique ont pu être diagnostiqués soit 16 %. Mais, le problème de sa prise en charge demeure. Ces patients ne bénéficient pas toujours d’une surveillance clinique et biologique suffisante. Une prise en charge globale est donc nécessaire, avec une collaboration entre psychiatre et somaticien, qui permette une évaluation du bénéfice/risque pour chaque patient et qui offre un suivi où la dimension somatique a toute sa place.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Antipsychotiques et syndrome métabolique [texte imprimé] / Azedine, Sahi, Auteur ; Tarek, Faid, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2018 . - 1 vol. (109 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Neuroleptiques Syndrome métabolique Psychiatrie Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Le syndrome métabolique concerne plus particulièrement les
patients atteints d’affections mentales sévères. Il expose à un risque accru d’accident cardio-vasculaire, à l’origine d’une surmortalité importante. L’adiposité viscérale, très fréquente chez ces patients, est à l’origine d’une insulinorésistance entretenue et aggravée par le mode de vie et les traitements neuroleptiques. Certains antipsychotique de seconde génération, entraînent plus que d’autres une prise pondérale et une résistance à l’insuline.Notre étude pratique a consisté en un dépistage du syndrome métabolique chez 50 patients hospitalisés au niveau du service de psychiatrie Hôpital FRANTZ FANON du 01 avril au 15 mai 2018 et qui ont été traités par antipsychotique, tout en évaluant la prise en charge somatique de ces derniers.
La population était constituée de 36 hommes pour 14 femmes, avec
un âge moyen de 36 ans. On a remarqué une nette difficulté
d’insertion socioprofessionnelle. En effet, 82% des patients étaient sans emploi et 90 % célibataires. 58 % étaient hospitalisés à la demande d’un tiers et 28 % sur réquisition de l’état. La durée moyenne de l’hospitalisation était de 28 jours et la durée d’évolution des troubles psychiatriques chez ces patients était en moyenne de 11 ans. La place des antipsychotiques classiques dans la prise en charge demeure importante en milieu hospitalier, 49 patients sur 50 ont été
traités par au moins un antipsychotique de première génération. Les antipsychotiques atypiques ont été prescrits chez 36 % des patients,et les anxiolytiques prescrits chez 66% des patients. Comme on a pu constater que 54 % des patient avaient un IMC > 25 kg/m2 et un patient sur deux avait une obésité abdominale. La glycémie ≥ 1 g/l a été retrouvé chez 28% des patients, le bilan lipidique n’étant pas constamment demandé a pu révéler 20% d’hypertriglycéridémie. Au terme de cette étude, 08 cas de syndrome métabolique ont pu être diagnostiqués soit 16 %. Mais, le problème de sa prise en charge demeure. Ces patients ne bénéficient pas toujours d’une surveillance clinique et biologique suffisante. Une prise en charge globale est donc nécessaire, avec une collaboration entre psychiatre et somaticien, qui permette une évaluation du bénéfice/risque pour chaque patient et qui offre un suivi où la dimension somatique a toute sa place.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M22/2018 M22/2018 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt
Titre : Antipsychotiques et syndrome métabolique Type de document : document électronique Auteurs : Azedine, Sahi, Auteur ; Tarek, Faid, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2018 Importance : 2,33 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Neuroleptiques Syndrome métabolique Psychiatrie Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Le syndrome métabolique concerne plus particulièrement les
patients atteints d’affections mentales sévères. Il expose à un risque accru d’accident cardio-vasculaire, à l’origine d’une surmortalité importante. L’adiposité viscérale, très fréquente chez ces patients, est à l’origine d’une insulinorésistance entretenue et aggravée par le mode de vie et les traitements neuroleptiques. Certains antipsychotique de seconde génération, entraînent plus que d’autres une prise pondérale et une résistance à l’insuline.Notre étude pratique a consisté en un dépistage du syndrome métabolique chez 50 patients hospitalisés au niveau du service de psychiatrie Hôpital FRANTZ FANON du 01 avril au 15 mai 2018 et qui ont été traités par antipsychotique, tout en évaluant la prise en charge somatique de ces derniers.
La population était constituée de 36 hommes pour 14 femmes, avec
un âge moyen de 36 ans. On a remarqué une nette difficulté
d’insertion socioprofessionnelle. En effet, 82% des patients étaient sans emploi et 90 % célibataires. 58 % étaient hospitalisés à la demande d’un tiers et 28 % sur réquisition de l’état. La durée moyenne de l’hospitalisation était de 28 jours et la durée d’évolution des troubles psychiatriques chez ces patients était en moyenne de 11 ans. La place des antipsychotiques classiques dans la prise en charge demeure importante en milieu hospitalier, 49 patients sur 50 ont été
traités par au moins un antipsychotique de première génération. Les antipsychotiques atypiques ont été prescrits chez 36 % des patients,et les anxiolytiques prescrits chez 66% des patients. Comme on a pu constater que 54 % des patient avaient un IMC > 25 kg/m2 et un patient sur deux avait une obésité abdominale. La glycémie ≥ 1 g/l a été retrouvé chez 28% des patients, le bilan lipidique n’étant pas constamment demandé a pu révéler 20% d’hypertriglycéridémie. Au terme de cette étude, 08 cas de syndrome métabolique ont pu être diagnostiqués soit 16 %. Mais, le problème de sa prise en charge demeure. Ces patients ne bénéficient pas toujours d’une surveillance clinique et biologique suffisante. Une prise en charge globale est donc nécessaire, avec une collaboration entre psychiatre et somaticien, qui permette une évaluation du bénéfice/risque pour chaque patient et qui offre un suivi où la dimension somatique a toute sa place.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Antipsychotiques et syndrome métabolique [document électronique] / Azedine, Sahi, Auteur ; Tarek, Faid, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2018 . - 2,33 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Neuroleptiques Syndrome métabolique Psychiatrie Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Le syndrome métabolique concerne plus particulièrement les
patients atteints d’affections mentales sévères. Il expose à un risque accru d’accident cardio-vasculaire, à l’origine d’une surmortalité importante. L’adiposité viscérale, très fréquente chez ces patients, est à l’origine d’une insulinorésistance entretenue et aggravée par le mode de vie et les traitements neuroleptiques. Certains antipsychotique de seconde génération, entraînent plus que d’autres une prise pondérale et une résistance à l’insuline.Notre étude pratique a consisté en un dépistage du syndrome métabolique chez 50 patients hospitalisés au niveau du service de psychiatrie Hôpital FRANTZ FANON du 01 avril au 15 mai 2018 et qui ont été traités par antipsychotique, tout en évaluant la prise en charge somatique de ces derniers.
La population était constituée de 36 hommes pour 14 femmes, avec
un âge moyen de 36 ans. On a remarqué une nette difficulté
d’insertion socioprofessionnelle. En effet, 82% des patients étaient sans emploi et 90 % célibataires. 58 % étaient hospitalisés à la demande d’un tiers et 28 % sur réquisition de l’état. La durée moyenne de l’hospitalisation était de 28 jours et la durée d’évolution des troubles psychiatriques chez ces patients était en moyenne de 11 ans. La place des antipsychotiques classiques dans la prise en charge demeure importante en milieu hospitalier, 49 patients sur 50 ont été
traités par au moins un antipsychotique de première génération. Les antipsychotiques atypiques ont été prescrits chez 36 % des patients,et les anxiolytiques prescrits chez 66% des patients. Comme on a pu constater que 54 % des patient avaient un IMC > 25 kg/m2 et un patient sur deux avait une obésité abdominale. La glycémie ≥ 1 g/l a été retrouvé chez 28% des patients, le bilan lipidique n’étant pas constamment demandé a pu révéler 20% d’hypertriglycéridémie. Au terme de cette étude, 08 cas de syndrome métabolique ont pu être diagnostiqués soit 16 %. Mais, le problème de sa prise en charge demeure. Ces patients ne bénéficient pas toujours d’une surveillance clinique et biologique suffisante. Une prise en charge globale est donc nécessaire, avec une collaboration entre psychiatre et somaticien, qui permette une évaluation du bénéfice/risque pour chaque patient et qui offre un suivi où la dimension somatique a toute sa place.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM22/2018 CDM22/2018 Mémoire Electonique Salle multimédia Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt Documents numériques
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Antipsychotiques et syndrome métaboliqueURL Burn out des soignants aux services d’urgences du CHU de Béjaia / Sofi, Atroun
Titre : Burn out des soignants aux services d’urgences du CHU de Béjaia Type de document : texte imprimé Auteurs : Sofi, Atroun, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2020 Importance : 1 vol. ([93 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Burnout Les soignants d’urgence Le stress Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Les soignants d’urgence sont particulièrement à risque d’épuisement professionnel. Le manque de reconnaissance, la charge de travail, la pratique de tâches ingrates sont souvent mis en avant pour expliquer ce phénomène.
Notre étude révèle des facteurs de risque de Burn out concordant avec la littérature comme l’augmentation de la charge au travail ou l’absence de pratique de loisirs. De nouveaux facteurs de risque peuvent apparaître. Parmi ces facteurs, ceux qui nous importent spécifiquement sont ceux pour lesquels des moyens de prévention existent.
La présence d’un protocole est prédictive de Burn out chez les soignants. Ce résultat incite à se questionner sur les cadres imposés aux soignants et leur degré d’autonomie. En effet, le manque d’autonomie au travail est source de tension. D'autres travaux seraient utiles pour déterminer ce qui, dans un protocole, est générateur de stress. Un protocole formulé en termes d’objectifs (par exemple « assurer une évaluation régulière de la douleur chez les patients ») et non en termes de moyens (« remplissage des Échelles Visuelles Analogiques ou Dolo plus -2 tous les matins pour chaque résident ») permettrait peut-être de donner une plus grande autonomie aux soignants. L’inclusion des soignants dans la rédaction des protocoles pour une meilleure appropriation pourrait aussi s’avérer utile.
Nous n’avons cependant pas retrouvé de différences entre ces deux populations de soignants en dehors de la présence plus fréquente d’un psychologue à temps plein dans les différents services d’urgence. Il serait pertinent de poursuivre les investigations pour mieux comprendre ce résultat.
Nous n’avons pas réussi à mettre en évidence de lien entre charge de travail des soignants et burnout alors qu’il s’agit d’un facteur de risque reconnu. Un questionnaire mal adapté au niveau de compréhension des soignants a mené à un nombre important de réponses incomplètes, notamment sur les items liés à la charge de travail. Idéalement, un nouveau questionnaire élaboré au contact des soignants pourrait permettre d’infirmer ou confirmer nos résultats.
Ce travail réaffirme que la population de soignants est à risque de burnout et permet d’en identifier les facteur de risque. La prévention de l’épuisement professionnel des soignants passe par la mise en place de mesures collectives pour lutter contre ces facteurs de risque, mais également à l’échelle individuelle, par le dépistage des sujets à risque de burn out.
Le médecin généraliste se déplaçant ou recevant des soignants travaillant au cabinet doit être sensib- ilisé à ce sujet afin de permettre un dépistage précoce et une prise en charge adaptée.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Burn out des soignants aux services d’urgences du CHU de Béjaia [texte imprimé] / Sofi, Atroun, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2020 . - 1 vol. ([93 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Burnout Les soignants d’urgence Le stress Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Les soignants d’urgence sont particulièrement à risque d’épuisement professionnel. Le manque de reconnaissance, la charge de travail, la pratique de tâches ingrates sont souvent mis en avant pour expliquer ce phénomène.
Notre étude révèle des facteurs de risque de Burn out concordant avec la littérature comme l’augmentation de la charge au travail ou l’absence de pratique de loisirs. De nouveaux facteurs de risque peuvent apparaître. Parmi ces facteurs, ceux qui nous importent spécifiquement sont ceux pour lesquels des moyens de prévention existent.
La présence d’un protocole est prédictive de Burn out chez les soignants. Ce résultat incite à se questionner sur les cadres imposés aux soignants et leur degré d’autonomie. En effet, le manque d’autonomie au travail est source de tension. D'autres travaux seraient utiles pour déterminer ce qui, dans un protocole, est générateur de stress. Un protocole formulé en termes d’objectifs (par exemple « assurer une évaluation régulière de la douleur chez les patients ») et non en termes de moyens (« remplissage des Échelles Visuelles Analogiques ou Dolo plus -2 tous les matins pour chaque résident ») permettrait peut-être de donner une plus grande autonomie aux soignants. L’inclusion des soignants dans la rédaction des protocoles pour une meilleure appropriation pourrait aussi s’avérer utile.
Nous n’avons cependant pas retrouvé de différences entre ces deux populations de soignants en dehors de la présence plus fréquente d’un psychologue à temps plein dans les différents services d’urgence. Il serait pertinent de poursuivre les investigations pour mieux comprendre ce résultat.
Nous n’avons pas réussi à mettre en évidence de lien entre charge de travail des soignants et burnout alors qu’il s’agit d’un facteur de risque reconnu. Un questionnaire mal adapté au niveau de compréhension des soignants a mené à un nombre important de réponses incomplètes, notamment sur les items liés à la charge de travail. Idéalement, un nouveau questionnaire élaboré au contact des soignants pourrait permettre d’infirmer ou confirmer nos résultats.
Ce travail réaffirme que la population de soignants est à risque de burnout et permet d’en identifier les facteur de risque. La prévention de l’épuisement professionnel des soignants passe par la mise en place de mesures collectives pour lutter contre ces facteurs de risque, mais également à l’échelle individuelle, par le dépistage des sujets à risque de burn out.
Le médecin généraliste se déplaçant ou recevant des soignants travaillant au cabinet doit être sensib- ilisé à ce sujet afin de permettre un dépistage précoce et une prise en charge adaptée.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M44/2020 M44/2020 Mémoire Magasin Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt
Titre : Burn out des soignants aux services d’urgences du CHU de Béjaia Type de document : document électronique Auteurs : Sofi, Atroun, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2020 Importance : 1,17 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Burnout Les soignants d’urgence Le stress Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Les soignants d’urgence sont particulièrement à risque d’épuisement professionnel. Le manque de reconnaissance, la charge de travail, la pratique de tâches ingrates sont souvent mis en avant pour expliquer ce phénomène.
Notre étude révèle des facteurs de risque de Burn out concordant avec la littérature comme l’augmentation de la charge au travail ou l’absence de pratique de loisirs. De nouveaux facteurs de risque peuvent apparaître. Parmi ces facteurs, ceux qui nous importent spécifiquement sont ceux pour lesquels des moyens de prévention existent.
La présence d’un protocole est prédictive de Burn out chez les soignants. Ce résultat incite à se questionner sur les cadres imposés aux soignants et leur degré d’autonomie. En effet, le manque d’autonomie au travail est source de tension. D'autres travaux seraient utiles pour déterminer ce qui, dans un protocole, est générateur de stress. Un protocole formulé en termes d’objectifs (par exemple « assurer une évaluation régulière de la douleur chez les patients ») et non en termes de moyens (« remplissage des Échelles Visuelles Analogiques ou Dolo plus -2 tous les matins pour chaque résident ») permettrait peut-être de donner une plus grande autonomie aux soignants. L’inclusion des soignants dans la rédaction des protocoles pour une meilleure appropriation pourrait aussi s’avérer utile.
Nous n’avons cependant pas retrouvé de différences entre ces deux populations de soignants en dehors de la présence plus fréquente d’un psychologue à temps plein dans les différents services d’urgence. Il serait pertinent de poursuivre les investigations pour mieux comprendre ce résultat.
Nous n’avons pas réussi à mettre en évidence de lien entre charge de travail des soignants et burnout alors qu’il s’agit d’un facteur de risque reconnu. Un questionnaire mal adapté au niveau de compréhension des soignants a mené à un nombre important de réponses incomplètes, notamment sur les items liés à la charge de travail. Idéalement, un nouveau questionnaire élaboré au contact des soignants pourrait permettre d’infirmer ou confirmer nos résultats.
Ce travail réaffirme que la population de soignants est à risque de burnout et permet d’en identifier les facteur de risque. La prévention de l’épuisement professionnel des soignants passe par la mise en place de mesures collectives pour lutter contre ces facteurs de risque, mais également à l’échelle individuelle, par le dépistage des sujets à risque de burn out.
Le médecin généraliste se déplaçant ou recevant des soignants travaillant au cabinet doit être sensib- ilisé à ce sujet afin de permettre un dépistage précoce et une prise en charge adaptée.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Burn out des soignants aux services d’urgences du CHU de Béjaia [document électronique] / Sofi, Atroun, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2020 . - 1,17 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Burnout Les soignants d’urgence Le stress Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : Les soignants d’urgence sont particulièrement à risque d’épuisement professionnel. Le manque de reconnaissance, la charge de travail, la pratique de tâches ingrates sont souvent mis en avant pour expliquer ce phénomène.
Notre étude révèle des facteurs de risque de Burn out concordant avec la littérature comme l’augmentation de la charge au travail ou l’absence de pratique de loisirs. De nouveaux facteurs de risque peuvent apparaître. Parmi ces facteurs, ceux qui nous importent spécifiquement sont ceux pour lesquels des moyens de prévention existent.
La présence d’un protocole est prédictive de Burn out chez les soignants. Ce résultat incite à se questionner sur les cadres imposés aux soignants et leur degré d’autonomie. En effet, le manque d’autonomie au travail est source de tension. D'autres travaux seraient utiles pour déterminer ce qui, dans un protocole, est générateur de stress. Un protocole formulé en termes d’objectifs (par exemple « assurer une évaluation régulière de la douleur chez les patients ») et non en termes de moyens (« remplissage des Échelles Visuelles Analogiques ou Dolo plus -2 tous les matins pour chaque résident ») permettrait peut-être de donner une plus grande autonomie aux soignants. L’inclusion des soignants dans la rédaction des protocoles pour une meilleure appropriation pourrait aussi s’avérer utile.
Nous n’avons cependant pas retrouvé de différences entre ces deux populations de soignants en dehors de la présence plus fréquente d’un psychologue à temps plein dans les différents services d’urgence. Il serait pertinent de poursuivre les investigations pour mieux comprendre ce résultat.
Nous n’avons pas réussi à mettre en évidence de lien entre charge de travail des soignants et burnout alors qu’il s’agit d’un facteur de risque reconnu. Un questionnaire mal adapté au niveau de compréhension des soignants a mené à un nombre important de réponses incomplètes, notamment sur les items liés à la charge de travail. Idéalement, un nouveau questionnaire élaboré au contact des soignants pourrait permettre d’infirmer ou confirmer nos résultats.
Ce travail réaffirme que la population de soignants est à risque de burnout et permet d’en identifier les facteur de risque. La prévention de l’épuisement professionnel des soignants passe par la mise en place de mesures collectives pour lutter contre ces facteurs de risque, mais également à l’échelle individuelle, par le dépistage des sujets à risque de burn out.
Le médecin généraliste se déplaçant ou recevant des soignants travaillant au cabinet doit être sensib- ilisé à ce sujet afin de permettre un dépistage précoce et une prise en charge adaptée.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM44/2020 CDM44/2020 Mémoire Electonique Salle multimédia Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Burn out des soignants aux services d’urgencesURL Passage à l’acte agressif chez le patient schizophrène / Yasmine Lyria Taibi
Titre : Passage à l’acte agressif chez le patient schizophrène : à propos d’une étude épidémiologique au niveau du service de psychiatrie. CHU de Béjaia. Type de document : texte imprimé Auteurs : Yasmine Lyria Taibi, Auteur ; Halim Menaouel, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2019 Importance : 1 vol. (181 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Schizophrénie Troubles psychiques Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : De cette étude il s'avère que le schizophrène avec passage à l'acte agressif se caractérise par un ensemble de paramètres qui sont:
Un jeune homme célibataire, sans profession, des antécédents carcéro-judiciaire, a forte comorbidité addictive, compte plusieurs hospitalisations à son actif, et observe très mal son traitement.La victime est le plus souvent connue du patient.
Aucune famille n'est à l'abri d'un problème de santé mentale que ce soit Schizophrénie ou une autre maladie...il faudra donc à deux fois avant de stigmatiser et d'avoir des aidées négatives concernant un malade psychiatrique.
Tous les patients schizophrène ne présentent pas un risque égal de passage à l'acte violent.
Un schizophrène peut être considéré comme dangereux tout en sachant que le simple fait de le considéré dangereux le rend justement encore plus potentiellement dangereux.
Tous les malades mentaux ne sont pas violents, et toute violence n'est pas attribuable à la maladie mentale.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Passage à l’acte agressif chez le patient schizophrène : à propos d’une étude épidémiologique au niveau du service de psychiatrie. CHU de Béjaia. [texte imprimé] / Yasmine Lyria Taibi, Auteur ; Halim Menaouel, Auteur ; Ali Pacha Dr. Nadjib, Directeur de thèse . - [S.l.] : Béjaia : Université de Béjaia, 2019 . - 1 vol. (181 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Schizophrénie Troubles psychiques Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : De cette étude il s'avère que le schizophrène avec passage à l'acte agressif se caractérise par un ensemble de paramètres qui sont:
Un jeune homme célibataire, sans profession, des antécédents carcéro-judiciaire, a forte comorbidité addictive, compte plusieurs hospitalisations à son actif, et observe très mal son traitement.La victime est le plus souvent connue du patient.
Aucune famille n'est à l'abri d'un problème de santé mentale que ce soit Schizophrénie ou une autre maladie...il faudra donc à deux fois avant de stigmatiser et d'avoir des aidées négatives concernant un malade psychiatrique.
Tous les patients schizophrène ne présentent pas un risque égal de passage à l'acte violent.
Un schizophrène peut être considéré comme dangereux tout en sachant que le simple fait de le considéré dangereux le rend justement encore plus potentiellement dangereux.
Tous les malades mentaux ne sont pas violents, et toute violence n'est pas attribuable à la maladie mentale.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M05/2019 M05/2019 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt Permalink