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Auteur Dr. Said, Khiar
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Intubation difficile en obstétrique / Kefsi Zakia
Titre : Intubation difficile en obstétrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Kefsi Zakia, Auteur ; Idir Lynda, Auteur ; Dr. Said, Khiar, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2016/2017 Importance : 1 vol. (106 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Voies aériennes Obstétrique Intubation difficile Index. décimale : 617.96 Anesthésie Résumé : La gestion des voies aériennes en obstétrique reste un véritable challenge pour différentes raisons. Les modifications physiologiques et anatomiques liées à la grossesse sont responsables d’une désaturation plus rapide, d’une réduction du diamètre de la filière pharyngo-laryngée ainsi que d’une majoration du risque de régurgitation et d’inhalation du contenu gastrique dès 16 SA chez la femme enceinte. Le contexte d’urgence, voire d’extrême urgence de certaines situations et la présence de comorbidités ou de pathologies comme l’obésité ou la prééclampsie majorent d’autant les risques de difficulté de gestion des voies aériennes. L’évolution à juste titre des pratiques, avec l’essor considérable des techniques d’anesthésie/analgésie locorégionale au détriment de l’anesthésie générale limite l’apprentissage et le maintien des compétences pour l’intubation orotrachéale en obstétrique. L’apport des méthodes d’apprentissage par simulation paraît particulièrement intéressant en la matière et cette approche mérite d’être développé. Les données de la littérature indiquent que l’incidence de l’intubation difficile est d’un pour 30 et celle de l’intubation impossible d’un pour 280 en obstétrique soit huit fois plus importante que dans la population générale. Aucun critère d’intubation difficile ne s’avère suffisamment prédictif à lui seul, et en obstétrique comme dans d’autres contextes, c’est l’association de plusieurs critères qui permettra au praticien d’anticiper une intubation difficile. Pour autant, une particularité chez la femme enceinte est l’évolution de la classe de Mallampati vers une aggravation au cours de la grossesse et de l’accouchement. Pour limiter le risque d’une gestion difficile des voies aériennes et ses conséquences en obstétrique, il sera primordial et capital, en plus de privilégier les techniques d’anesthésie/analgésie locorégionale chaque fois que possible, de réaliser une évaluation soigneuse et répétée des critères d’intubation et de ventilation difficile, de prévenir systématiquement le syndrome de Mendelson par une prophylaxie médicamenteuse, et d’avoir le matériel adapté et des algorithmes de prise en charge de l’intubation difficile dans les services. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Master en Sciences Infirmières
Option : AnesthésiologieIntubation difficile en obstétrique [texte imprimé] / Kefsi Zakia, Auteur ; Idir Lynda, Auteur ; Dr. Said, Khiar, Directeur de thèse . - [S.l.] : Béjaia : Université de Béjaia, 2016/2017 . - 1 vol. (106 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Voies aériennes Obstétrique Intubation difficile Index. décimale : 617.96 Anesthésie Résumé : La gestion des voies aériennes en obstétrique reste un véritable challenge pour différentes raisons. Les modifications physiologiques et anatomiques liées à la grossesse sont responsables d’une désaturation plus rapide, d’une réduction du diamètre de la filière pharyngo-laryngée ainsi que d’une majoration du risque de régurgitation et d’inhalation du contenu gastrique dès 16 SA chez la femme enceinte. Le contexte d’urgence, voire d’extrême urgence de certaines situations et la présence de comorbidités ou de pathologies comme l’obésité ou la prééclampsie majorent d’autant les risques de difficulté de gestion des voies aériennes. L’évolution à juste titre des pratiques, avec l’essor considérable des techniques d’anesthésie/analgésie locorégionale au détriment de l’anesthésie générale limite l’apprentissage et le maintien des compétences pour l’intubation orotrachéale en obstétrique. L’apport des méthodes d’apprentissage par simulation paraît particulièrement intéressant en la matière et cette approche mérite d’être développé. Les données de la littérature indiquent que l’incidence de l’intubation difficile est d’un pour 30 et celle de l’intubation impossible d’un pour 280 en obstétrique soit huit fois plus importante que dans la population générale. Aucun critère d’intubation difficile ne s’avère suffisamment prédictif à lui seul, et en obstétrique comme dans d’autres contextes, c’est l’association de plusieurs critères qui permettra au praticien d’anticiper une intubation difficile. Pour autant, une particularité chez la femme enceinte est l’évolution de la classe de Mallampati vers une aggravation au cours de la grossesse et de l’accouchement. Pour limiter le risque d’une gestion difficile des voies aériennes et ses conséquences en obstétrique, il sera primordial et capital, en plus de privilégier les techniques d’anesthésie/analgésie locorégionale chaque fois que possible, de réaliser une évaluation soigneuse et répétée des critères d’intubation et de ventilation difficile, de prévenir systématiquement le syndrome de Mendelson par une prophylaxie médicamenteuse, et d’avoir le matériel adapté et des algorithmes de prise en charge de l’intubation difficile dans les services. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Master en Sciences Infirmières
Option : AnesthésiologieExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SIM16/2017 SIM16/2017 Mémoire Salle de consultation sur place Anesthésie Exclu du prêt
Titre : Intubation difficile en obstétrique Type de document : document électronique Auteurs : Kefsi Zakia, Auteur ; Idir Lynda, Auteur ; Dr. Said, Khiar, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2016/2017 Importance : 2,45 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Voies aériennes Obstétrique Intubation difficile Index. décimale : 617.96 Anesthésie Résumé : La gestion des voies aériennes en obstétrique reste un véritable challenge pour différentes raisons. Les modifications physiologiques et anatomiques liées à la grossesse sont responsables d’une désaturation plus rapide, d’une réduction du diamètre de la filière pharyngo-laryngée ainsi que d’une majoration du risque de régurgitation et d’inhalation du contenu gastrique dès 16 SA chez la femme enceinte. Le contexte d’urgence, voire d’extrême urgence de certaines situations et la présence de comorbidités ou de pathologies comme l’obésité ou la prééclampsie majorent d’autant les risques de difficulté de gestion des voies aériennes. L’évolution à juste titre des pratiques, avec l’essor considérable des techniques d’anesthésie/analgésie locorégionale au détriment de l’anesthésie générale limite l’apprentissage et le maintien des compétences pour l’intubation orotrachéale en obstétrique. L’apport des méthodes d’apprentissage par simulation paraît particulièrement intéressant en la matière et cette approche mérite d’être développé. Les données de la littérature indiquent que l’incidence de l’intubation difficile est d’un pour 30 et celle de l’intubation impossible d’un pour 280 en obstétrique soit huit fois plus importante que dans la population générale. Aucun critère d’intubation difficile ne s’avère suffisamment prédictif à lui seul, et en obstétrique comme dans d’autres contextes, c’est l’association de plusieurs critères qui permettra au praticien d’anticiper une intubation difficile. Pour autant, une particularité chez la femme enceinte est l’évolution de la classe de Mallampati vers une aggravation au cours de la grossesse et de l’accouchement. Pour limiter le risque d’une gestion difficile des voies aériennes et ses conséquences en obstétrique, il sera primordial et capital, en plus de privilégier les techniques d’anesthésie/analgésie locorégionale chaque fois que possible, de réaliser une évaluation soigneuse et répétée des critères d’intubation et de ventilation difficile, de prévenir systématiquement le syndrome de Mendelson par une prophylaxie médicamenteuse, et d’avoir le matériel adapté et des algorithmes de prise en charge de l’intubation difficile dans les services. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Master en Sciences Infirmières
Option : AnesthésiologieIntubation difficile en obstétrique [document électronique] / Kefsi Zakia, Auteur ; Idir Lynda, Auteur ; Dr. Said, Khiar, Directeur de thèse . - [S.l.] : Béjaia : Université de Béjaia, 2016/2017 . - 2,45 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Voies aériennes Obstétrique Intubation difficile Index. décimale : 617.96 Anesthésie Résumé : La gestion des voies aériennes en obstétrique reste un véritable challenge pour différentes raisons. Les modifications physiologiques et anatomiques liées à la grossesse sont responsables d’une désaturation plus rapide, d’une réduction du diamètre de la filière pharyngo-laryngée ainsi que d’une majoration du risque de régurgitation et d’inhalation du contenu gastrique dès 16 SA chez la femme enceinte. Le contexte d’urgence, voire d’extrême urgence de certaines situations et la présence de comorbidités ou de pathologies comme l’obésité ou la prééclampsie majorent d’autant les risques de difficulté de gestion des voies aériennes. L’évolution à juste titre des pratiques, avec l’essor considérable des techniques d’anesthésie/analgésie locorégionale au détriment de l’anesthésie générale limite l’apprentissage et le maintien des compétences pour l’intubation orotrachéale en obstétrique. L’apport des méthodes d’apprentissage par simulation paraît particulièrement intéressant en la matière et cette approche mérite d’être développé. Les données de la littérature indiquent que l’incidence de l’intubation difficile est d’un pour 30 et celle de l’intubation impossible d’un pour 280 en obstétrique soit huit fois plus importante que dans la population générale. Aucun critère d’intubation difficile ne s’avère suffisamment prédictif à lui seul, et en obstétrique comme dans d’autres contextes, c’est l’association de plusieurs critères qui permettra au praticien d’anticiper une intubation difficile. Pour autant, une particularité chez la femme enceinte est l’évolution de la classe de Mallampati vers une aggravation au cours de la grossesse et de l’accouchement. Pour limiter le risque d’une gestion difficile des voies aériennes et ses conséquences en obstétrique, il sera primordial et capital, en plus de privilégier les techniques d’anesthésie/analgésie locorégionale chaque fois que possible, de réaliser une évaluation soigneuse et répétée des critères d’intubation et de ventilation difficile, de prévenir systématiquement le syndrome de Mendelson par une prophylaxie médicamenteuse, et d’avoir le matériel adapté et des algorithmes de prise en charge de l’intubation difficile dans les services. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Master en Sciences Infirmières
Option : AnesthésiologieExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDSIM16/2017 CDSIM16/2017 Mémoire Electonique Salle multimédia Anesthésie Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Intubation difficile en obstétriqueURL Pancréatite aiguë grave en réanimation / Kahina, Benmeziane
Titre : Pancréatite aiguë grave en réanimation Type de document : texte imprimé Auteurs : Kahina, Benmeziane, Auteur ; Basma, Sekfali, Auteur ; Dr. Said, Khiar, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2017 Importance : 1 vol. (117 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr.
Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Pancréatite aiguë grave Réanimation Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : La pancréatite aiguë grave est une affection relativement fréquente, dont l’évolution est souvent émaillée des complications qui sont difficilement prévisible. La pancréatite aiguë sévère est grevée d’une mortalité avoisinant 10 à 20 %. La cause principale de mortalité est de nos jours l’infection des tissus (péri) pancréatiques nécrosés. Néanmoins, la défaillance multiviscérale précoce, apparaissant durant la première semaine d’évolution, reste une source considérable de morbidité et est encore à l’origine de 20 à 50 % des décès malgré les progrès de la réanimation.
L’activation prématurée des pro-enzymes digestives, une atteinte précoce de la microcirculation pancréatique, et la stimulation excessive des cellules immunitaires effectrices sont les trois mécanismes physiopathologiques interactifs de la nécrose glandulaire. Ces dernières années, le syndrome de réponse inflammatoire systémique et le cortège de médiateurs activés en cascade sont apparus comme l’élément clé déterminant les lésions tissulaires à distance de la glande.
La PAG constitue une urgence thérapeutique, nécessitant une prise en charge complexe, précoce et multidisciplinaire, qui reste essentiellement symptomatique, malgré la meilleure compréhension des mécanismes physiopathologiques impliqués dans la maladie. Ainsi, des modalités thérapeutiques non chirurgicales et non spécifiques à la pancréatite aiguë ont été étudiées pour limiter la défaillance multiviscérale, prévenir l’infection pancréatique, diminuer le recours à la chirurgie et améliorer la survie de ces patients.
Notre travail se propose d’analyser le profil épidémiologique, les aspects cliniques, les impératifs thérapeutiques et le pronostic de la PAG par une étude rétrospective étendue sur 3 ans, ayant colligé 11 observations.
La PAG représente 1,34% d’hospitalisation à notre niveau durant cette période avec un pic de fréquence de survenue entre 60 et 80 ans et une nette prédominance féminine. Les scores clinico-biologiques ont été difficile à réaliser. Le score de Balthazar été fait chez tous les patient retrouvant une prédominance de grade E. L’étiologie la plus fréquente est la lithiase vésiculaire qui est de 72,72% des étiologies. Un traitement médical symptomatique était de mise chez tous nos patients, aucun patient n’ayant été candidat à un traitement endoscopique, et seulement 02 femmes ont bénéficié d’un traitement chirurgical. Les défaillances viscérales sont retrouvées chez 09 patients, la mortalité enregistré à notre niveau n’est pas négligeable qui est de 45,45%.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Pancréatite aiguë grave en réanimation [texte imprimé] / Kahina, Benmeziane, Auteur ; Basma, Sekfali, Auteur ; Dr. Said, Khiar, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2017 . - 1 vol. (117 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Pancréatite aiguë grave Réanimation Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : La pancréatite aiguë grave est une affection relativement fréquente, dont l’évolution est souvent émaillée des complications qui sont difficilement prévisible. La pancréatite aiguë sévère est grevée d’une mortalité avoisinant 10 à 20 %. La cause principale de mortalité est de nos jours l’infection des tissus (péri) pancréatiques nécrosés. Néanmoins, la défaillance multiviscérale précoce, apparaissant durant la première semaine d’évolution, reste une source considérable de morbidité et est encore à l’origine de 20 à 50 % des décès malgré les progrès de la réanimation.
L’activation prématurée des pro-enzymes digestives, une atteinte précoce de la microcirculation pancréatique, et la stimulation excessive des cellules immunitaires effectrices sont les trois mécanismes physiopathologiques interactifs de la nécrose glandulaire. Ces dernières années, le syndrome de réponse inflammatoire systémique et le cortège de médiateurs activés en cascade sont apparus comme l’élément clé déterminant les lésions tissulaires à distance de la glande.
La PAG constitue une urgence thérapeutique, nécessitant une prise en charge complexe, précoce et multidisciplinaire, qui reste essentiellement symptomatique, malgré la meilleure compréhension des mécanismes physiopathologiques impliqués dans la maladie. Ainsi, des modalités thérapeutiques non chirurgicales et non spécifiques à la pancréatite aiguë ont été étudiées pour limiter la défaillance multiviscérale, prévenir l’infection pancréatique, diminuer le recours à la chirurgie et améliorer la survie de ces patients.
Notre travail se propose d’analyser le profil épidémiologique, les aspects cliniques, les impératifs thérapeutiques et le pronostic de la PAG par une étude rétrospective étendue sur 3 ans, ayant colligé 11 observations.
La PAG représente 1,34% d’hospitalisation à notre niveau durant cette période avec un pic de fréquence de survenue entre 60 et 80 ans et une nette prédominance féminine. Les scores clinico-biologiques ont été difficile à réaliser. Le score de Balthazar été fait chez tous les patient retrouvant une prédominance de grade E. L’étiologie la plus fréquente est la lithiase vésiculaire qui est de 72,72% des étiologies. Un traitement médical symptomatique était de mise chez tous nos patients, aucun patient n’ayant été candidat à un traitement endoscopique, et seulement 02 femmes ont bénéficié d’un traitement chirurgical. Les défaillances viscérales sont retrouvées chez 09 patients, la mortalité enregistré à notre niveau n’est pas négligeable qui est de 45,45%.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M42/2017 M42/2017 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies du système digestif.Gastro-entérologie Exclu du prêt
Titre : Pancréatite aiguë grave en réanimation Type de document : document électronique Auteurs : Kahina, Benmeziane, Auteur ; Basma, Sekfali, Auteur ; Dr. Said, Khiar, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2017 Importance : 8,68 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr.
Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Pancréatite aiguë grave Réanimation Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : La pancréatite aiguë grave est une affection relativement fréquente, dont l’évolution est souvent émaillée des complications qui sont difficilement prévisible. La pancréatite aiguë sévère est grevée d’une mortalité avoisinant 10 à 20 %. La cause principale de mortalité est de nos jours l’infection des tissus (péri) pancréatiques nécrosés. Néanmoins, la défaillance multiviscérale précoce, apparaissant durant la première semaine d’évolution, reste une source considérable de morbidité et est encore à l’origine de 20 à 50 % des décès malgré les progrès de la réanimation.
L’activation prématurée des pro-enzymes digestives, une atteinte précoce de la microcirculation pancréatique, et la stimulation excessive des cellules immunitaires effectrices sont les trois mécanismes physiopathologiques interactifs de la nécrose glandulaire. Ces dernières années, le syndrome de réponse inflammatoire systémique et le cortège de médiateurs activés en cascade sont apparus comme l’élément clé déterminant les lésions tissulaires à distance de la glande.
La PAG constitue une urgence thérapeutique, nécessitant une prise en charge complexe, précoce et multidisciplinaire, qui reste essentiellement symptomatique, malgré la meilleure compréhension des mécanismes physiopathologiques impliqués dans la maladie. Ainsi, des modalités thérapeutiques non chirurgicales et non spécifiques à la pancréatite aiguë ont été étudiées pour limiter la défaillance multiviscérale, prévenir l’infection pancréatique, diminuer le recours à la chirurgie et améliorer la survie de ces patients.
Notre travail se propose d’analyser le profil épidémiologique, les aspects cliniques, les impératifs thérapeutiques et le pronostic de la PAG par une étude rétrospective étendue sur 3 ans, ayant colligé 11 observations.
La PAG représente 1,34% d’hospitalisation à notre niveau durant cette période avec un pic de fréquence de survenue entre 60 et 80 ans et une nette prédominance féminine. Les scores clinico-biologiques ont été difficile à réaliser. Le score de Balthazar été fait chez tous les patient retrouvant une prédominance de grade E. L’étiologie la plus fréquente est la lithiase vésiculaire qui est de 72,72% des étiologies. Un traitement médical symptomatique était de mise chez tous nos patients, aucun patient n’ayant été candidat à un traitement endoscopique, et seulement 02 femmes ont bénéficié d’un traitement chirurgical. Les défaillances viscérales sont retrouvées chez 09 patients, la mortalité enregistré à notre niveau n’est pas négligeable qui est de 45,45%.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Pancréatite aiguë grave en réanimation [document électronique] / Kahina, Benmeziane, Auteur ; Basma, Sekfali, Auteur ; Dr. Said, Khiar, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2017 . - 8,68 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Pancréatite aiguë grave Réanimation Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : La pancréatite aiguë grave est une affection relativement fréquente, dont l’évolution est souvent émaillée des complications qui sont difficilement prévisible. La pancréatite aiguë sévère est grevée d’une mortalité avoisinant 10 à 20 %. La cause principale de mortalité est de nos jours l’infection des tissus (péri) pancréatiques nécrosés. Néanmoins, la défaillance multiviscérale précoce, apparaissant durant la première semaine d’évolution, reste une source considérable de morbidité et est encore à l’origine de 20 à 50 % des décès malgré les progrès de la réanimation.
L’activation prématurée des pro-enzymes digestives, une atteinte précoce de la microcirculation pancréatique, et la stimulation excessive des cellules immunitaires effectrices sont les trois mécanismes physiopathologiques interactifs de la nécrose glandulaire. Ces dernières années, le syndrome de réponse inflammatoire systémique et le cortège de médiateurs activés en cascade sont apparus comme l’élément clé déterminant les lésions tissulaires à distance de la glande.
La PAG constitue une urgence thérapeutique, nécessitant une prise en charge complexe, précoce et multidisciplinaire, qui reste essentiellement symptomatique, malgré la meilleure compréhension des mécanismes physiopathologiques impliqués dans la maladie. Ainsi, des modalités thérapeutiques non chirurgicales et non spécifiques à la pancréatite aiguë ont été étudiées pour limiter la défaillance multiviscérale, prévenir l’infection pancréatique, diminuer le recours à la chirurgie et améliorer la survie de ces patients.
Notre travail se propose d’analyser le profil épidémiologique, les aspects cliniques, les impératifs thérapeutiques et le pronostic de la PAG par une étude rétrospective étendue sur 3 ans, ayant colligé 11 observations.
La PAG représente 1,34% d’hospitalisation à notre niveau durant cette période avec un pic de fréquence de survenue entre 60 et 80 ans et une nette prédominance féminine. Les scores clinico-biologiques ont été difficile à réaliser. Le score de Balthazar été fait chez tous les patient retrouvant une prédominance de grade E. L’étiologie la plus fréquente est la lithiase vésiculaire qui est de 72,72% des étiologies. Un traitement médical symptomatique était de mise chez tous nos patients, aucun patient n’ayant été candidat à un traitement endoscopique, et seulement 02 femmes ont bénéficié d’un traitement chirurgical. Les défaillances viscérales sont retrouvées chez 09 patients, la mortalité enregistré à notre niveau n’est pas négligeable qui est de 45,45%.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM42/2017 CDM42/2017 Mémoire Electonique Salle multimédia Maladies du système digestif.Gastro-entérologie Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Pancréatite aiguë grave en réanimationURL