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Auteur Dr. Khaled,Djoulane
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Anesthésie en neurochirurgie / Brahimi Nadia
Titre : Anesthésie en neurochirurgie Type de document : texte imprimé Auteurs : Brahimi Nadia, Auteur ; Kenza, Tala, Auteur ; Dr. Hayet, Hadjadj, Directeur de thèse ; Dr. Khaled,Djoulane, Autre Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2016/2017 Importance : 1 vol. (184 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Pathologies neurologiques Positions cérébrale Neuroanesthésie ACSOS Complications Index. décimale : 617.96 Anesthésie Résumé : L’anesthésie en neurochirurgie demande une connaissance approfondie de la physio-anatomie et physiopathologie des affections traitées par le neurochirurgien. La neurochirurgie touche différentes parties du système nerveux et se caractérise par des pathologies très différentes : vasculaires, tumorales, traumatiques, mal formatives, rachidiennes et neurodégénératives.
L’agent anesthésique protecteur magique n’existe pas en neuroanesthésie .La stratégie anesthésique doit chercher à baisser le volume et la tension cérébrale (détente cérébrale ). Les mesures de neuroprotection permettent de protéger le système nerveux central lors d’ischémie et de prévenir les
ACSOS.
Le risque de survenue d'une complication positionnelle est constant quelle que soit la position opératoire. Les conséquences fonctionnelles et parfois vitales de ces complications nous interdisent de banaliser l'installation de l'opéré. Des mesures simples, associées à une surveillance constante et
orientée, permettent d'en diminuer l'incidence. Le chirurgien et l'anesthésiste installent ensemble le malade sur la table opératoire. L'anesthésiste doit veiller à ce que les grandes fonctions vitales ne soient pas perturbées par l'installation demandée par le chirurgien.Les bonnes conditions de travail au
niveau du bloc opératoire permettent d’optimiser la prévention des complications anesthésiques per et post opératoire et de faciliter le travail de l’anesthésiste.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Master en Sciences Infirmières
Option : AnesthésiologieAnesthésie en neurochirurgie [texte imprimé] / Brahimi Nadia, Auteur ; Kenza, Tala, Auteur ; Dr. Hayet, Hadjadj, Directeur de thèse ; Dr. Khaled,Djoulane, Autre . - [S.l.] : Béjaia : Université de Béjaia, 2016/2017 . - 1 vol. (184 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Pathologies neurologiques Positions cérébrale Neuroanesthésie ACSOS Complications Index. décimale : 617.96 Anesthésie Résumé : L’anesthésie en neurochirurgie demande une connaissance approfondie de la physio-anatomie et physiopathologie des affections traitées par le neurochirurgien. La neurochirurgie touche différentes parties du système nerveux et se caractérise par des pathologies très différentes : vasculaires, tumorales, traumatiques, mal formatives, rachidiennes et neurodégénératives.
L’agent anesthésique protecteur magique n’existe pas en neuroanesthésie .La stratégie anesthésique doit chercher à baisser le volume et la tension cérébrale (détente cérébrale ). Les mesures de neuroprotection permettent de protéger le système nerveux central lors d’ischémie et de prévenir les
ACSOS.
Le risque de survenue d'une complication positionnelle est constant quelle que soit la position opératoire. Les conséquences fonctionnelles et parfois vitales de ces complications nous interdisent de banaliser l'installation de l'opéré. Des mesures simples, associées à une surveillance constante et
orientée, permettent d'en diminuer l'incidence. Le chirurgien et l'anesthésiste installent ensemble le malade sur la table opératoire. L'anesthésiste doit veiller à ce que les grandes fonctions vitales ne soient pas perturbées par l'installation demandée par le chirurgien.Les bonnes conditions de travail au
niveau du bloc opératoire permettent d’optimiser la prévention des complications anesthésiques per et post opératoire et de faciliter le travail de l’anesthésiste.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Master en Sciences Infirmières
Option : AnesthésiologieExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité SIM18/2017 SIM18/2017 Mémoire Salle de consultation sur place Anesthésie Exclu du prêt
Titre : Aspect anatomopathologique des glioblastomes Type de document : document électronique Auteurs : Hafsi Amel, Auteur ; Dr. Khaled,Djoulane, Directeur de thèse ; Dr. Frissou, Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 18,5 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Glioblastomes Aspect anatomopathologique Prise en charge Index. décimale : 617.4 Chirurgie des systèmes Résumé : Ce travail est une étude rétrospective qui rapporte l’analyse descriptive de 20 cas de glioblastomes intracrâniens pris en charge au CHU de Bejaia durant 06 mois entre janvier et juin 2023.
La tranche d’âge la plus touchée a été comprise entre 31-40 et 61-70 ans avec un âge moyen de 35,5 et 65.5 ans. La prédominance masculine a été nette avec un sexe ratio de 1.22.
La plupart de nos malades (45%) ont consulté dans un délai ne dépassant pas un mois, la symptomatologie clinique a été dominée par le syndrome d’hypertension intracrânienne (70%).
L’examen tomodensitométrique cérébral a été réalisé dans 60% et l’imagerie par résonance magnétique dans 55% des cas, la localisation sus-tentorielle était de loin la plus importante (90%).
La chirurgie d’exérèse était macroscopiquement totale chez 70% des patients, partielle chez 25% des cas, et la biopsie a été pratiquée dans 5% des cas.
Les suites post opératoires étaient simples dans 90%, tandis qu’un malade (5%) avait aggravé nettement son déficit en post opératoire immédiat. Les causes les plus dominantes étaient les poussées œdémateuses cérébrales et la méningite nosocomiale.
Le diagnostic positif était posé par l’examen anatomopathologique qui révèle un glioblastome dans 90% et 10% d’astrocytome.
On avait noté 2 cas de récidive tumorale, repris pour exérèse large et complément radiothérapeutique , la survie globale n’a pas été précisée, car le suivi des patients est difficile du fait de l’absence actuellement d’un service de radiothérapie au sein de notre CHU.
Le pronostic reste mauvais. Son amélioration est liée à la qualité de prise en charge thérapeutique, et aux progrès de la recherche fondamentale et clinique.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Aspect anatomopathologique des glioblastomes [document électronique] / Hafsi Amel, Auteur ; Dr. Khaled,Djoulane, Directeur de thèse ; Dr. Frissou, Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 18,5 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Glioblastomes Aspect anatomopathologique Prise en charge Index. décimale : 617.4 Chirurgie des systèmes Résumé : Ce travail est une étude rétrospective qui rapporte l’analyse descriptive de 20 cas de glioblastomes intracrâniens pris en charge au CHU de Bejaia durant 06 mois entre janvier et juin 2023.
La tranche d’âge la plus touchée a été comprise entre 31-40 et 61-70 ans avec un âge moyen de 35,5 et 65.5 ans. La prédominance masculine a été nette avec un sexe ratio de 1.22.
La plupart de nos malades (45%) ont consulté dans un délai ne dépassant pas un mois, la symptomatologie clinique a été dominée par le syndrome d’hypertension intracrânienne (70%).
L’examen tomodensitométrique cérébral a été réalisé dans 60% et l’imagerie par résonance magnétique dans 55% des cas, la localisation sus-tentorielle était de loin la plus importante (90%).
La chirurgie d’exérèse était macroscopiquement totale chez 70% des patients, partielle chez 25% des cas, et la biopsie a été pratiquée dans 5% des cas.
Les suites post opératoires étaient simples dans 90%, tandis qu’un malade (5%) avait aggravé nettement son déficit en post opératoire immédiat. Les causes les plus dominantes étaient les poussées œdémateuses cérébrales et la méningite nosocomiale.
Le diagnostic positif était posé par l’examen anatomopathologique qui révèle un glioblastome dans 90% et 10% d’astrocytome.
On avait noté 2 cas de récidive tumorale, repris pour exérèse large et complément radiothérapeutique , la survie globale n’a pas été précisée, car le suivi des patients est difficile du fait de l’absence actuellement d’un service de radiothérapie au sein de notre CHU.
Le pronostic reste mauvais. Son amélioration est liée à la qualité de prise en charge thérapeutique, et aux progrès de la recherche fondamentale et clinique.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM81/2023 CDM81/2023 Mémoire Electonique Salle multimédia Chirurgie des systèmes Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Aspect anatomopathologique des glioblastomesURL Traumatisme du rachis cervical de l'enfant / Klioua Siham
Titre : Traumatisme du rachis cervical de l'enfant : prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Klioua Siham, Auteur ; Ladjouzi Lydia, Auteur ; Dr. Khaled,Djoulane, Directeur de thèse ; Dr. Rabah, Chenna, Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (168 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Traumatisme Rachis cervical Enfant Prise en charge Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les traumatismes du rachis cervical chez l’enfant sont graves car ils peuvent engager le pronostic fonctionnel et /ou vital. L’imagerie médicale est indispensable dans le bilan des lésions traumatiques du rachis cervical. Elle intervient tant dans le diagnostic que dans la surveillance thérapeutique, d’où la nécessité d’un diagnostic précoce et d’une prise en charge rapide et adéquate.
Notre travail est une étude hybride (rétrospective et prospective), concernant 25 cas de traumatisme du rachis cervical chez l’enfant, pris en charge au niveau du service de Neurochirurgie du CHU de Bejaia, sur une période de 05 ans et 08 mois (janvier 2016 à août 2022).
Il ressort de notre étude :
La moyenne d’hospitalisation à notre niveau est e 5 cas par an.La moyenne d’âge de nos patients est de 07 ans avec un intervalle d’âge allant de 2 à 15 ans.
La tranche d’âge la plus touchée est celle de 4 ans-8 ans.La prédominance du sexe féminin à 68% avec une sex-ratio de 0.47.Les chutes constituent la première cause du traumatisme du rachis cervical chez l’enfant (64% de cas) suivi des accidents de la voie publique (12% de cas).
L’hyper flexion rotation est le mécanisme le plus fréquent avec 56%.La présence des signes neurologiques a été constaté chez 03 patients soit 12%.et absent chez 88%.Tous les patients de notre série ont bénéficié d’un bilan radiologique complet.Le rachis cervical supérieur est le plus atteint (84% des cas).La lésion traumatique associée la plus fréquente
est le traumatisme cranio-facial retrouvé chez 17 patients soit 68%.Les luxations rotatoires C1-C2 représentent 80%, suivi de fractures de l’odontoïde à 32% des cas.
Tous nos patients ont bénéficié d’un traitement médical et d’un traitement orthopédique et aucun enfant n’a eu recours à la chirurgie.03 cas de nos patients ont présenté une complication infectieuse soit 12% et 02 cas ont présenté un déplacement secondaire après 2 mois.L’évolution était favorable chez la plupart des patients.
Les traumatismes du rachis cervical chez l’enfant bien que rares, restent des lésions graves jusqu’à preuve du contraire avec un risque de lésions neurologiques. Ces traumatismes peuvent soit être isolés (sport, traumatisme direct, etc.), soit entrer dans le cadre d’un contexte de polytraumatisme (accident de la voie publique, chute d’une grande hauteur, etc.) associant alors d’autres lésions, d’où l’intérêt de lutter contre la survenue de ces traumatismes en insistant sur le renforcement des mesures de prévention.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Traumatisme du rachis cervical de l'enfant : prise en charge [texte imprimé] / Klioua Siham, Auteur ; Ladjouzi Lydia, Auteur ; Dr. Khaled,Djoulane, Directeur de thèse ; Dr. Rabah, Chenna, Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2022 . - 1 vol. (168 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Traumatisme Rachis cervical Enfant Prise en charge Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les traumatismes du rachis cervical chez l’enfant sont graves car ils peuvent engager le pronostic fonctionnel et /ou vital. L’imagerie médicale est indispensable dans le bilan des lésions traumatiques du rachis cervical. Elle intervient tant dans le diagnostic que dans la surveillance thérapeutique, d’où la nécessité d’un diagnostic précoce et d’une prise en charge rapide et adéquate.
Notre travail est une étude hybride (rétrospective et prospective), concernant 25 cas de traumatisme du rachis cervical chez l’enfant, pris en charge au niveau du service de Neurochirurgie du CHU de Bejaia, sur une période de 05 ans et 08 mois (janvier 2016 à août 2022).
Il ressort de notre étude :
La moyenne d’hospitalisation à notre niveau est e 5 cas par an.La moyenne d’âge de nos patients est de 07 ans avec un intervalle d’âge allant de 2 à 15 ans.
La tranche d’âge la plus touchée est celle de 4 ans-8 ans.La prédominance du sexe féminin à 68% avec une sex-ratio de 0.47.Les chutes constituent la première cause du traumatisme du rachis cervical chez l’enfant (64% de cas) suivi des accidents de la voie publique (12% de cas).
L’hyper flexion rotation est le mécanisme le plus fréquent avec 56%.La présence des signes neurologiques a été constaté chez 03 patients soit 12%.et absent chez 88%.Tous les patients de notre série ont bénéficié d’un bilan radiologique complet.Le rachis cervical supérieur est le plus atteint (84% des cas).La lésion traumatique associée la plus fréquente
est le traumatisme cranio-facial retrouvé chez 17 patients soit 68%.Les luxations rotatoires C1-C2 représentent 80%, suivi de fractures de l’odontoïde à 32% des cas.
Tous nos patients ont bénéficié d’un traitement médical et d’un traitement orthopédique et aucun enfant n’a eu recours à la chirurgie.03 cas de nos patients ont présenté une complication infectieuse soit 12% et 02 cas ont présenté un déplacement secondaire après 2 mois.L’évolution était favorable chez la plupart des patients.
Les traumatismes du rachis cervical chez l’enfant bien que rares, restent des lésions graves jusqu’à preuve du contraire avec un risque de lésions neurologiques. Ces traumatismes peuvent soit être isolés (sport, traumatisme direct, etc.), soit entrer dans le cadre d’un contexte de polytraumatisme (accident de la voie publique, chute d’une grande hauteur, etc.) associant alors d’autres lésions, d’où l’intérêt de lutter contre la survenue de ces traumatismes en insistant sur le renforcement des mesures de prévention.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M37/2022 M37/2022 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt