Les déchirures périnéales d'origine obstétricale / Belmiloud Fatima Zohra

Public ISBD Titre : Les déchirures périnéales d'origine obstétricale : prévention et prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Belmiloud Fatima Zohra, Auteur ; Abdelli Balkis, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2021 Importance : 1 vol. (121 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Lésions traumatiques du périnée  Parturientes  Forceps  Épisiotomie  Réparation périnéale Index. décimale : 618.2 Obstétrique Résumé : Etudier les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des lésions traumatiques survenues lors des accouchements par voie basse au service de gynécologie obstétrique CHU de Bejaia et analyser les moyens de prévention appliqués. Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive analytique. Le service de Gynécologie Obstétrique du CHU de Bejaia a servi de cadre d’étude. L’étude s’est déroulée du janvier 2021 à octobre 2021. Elle a porté sur les parturientes admises au service pour un accouchement par voie basse et ayant présenté des lésions traumatiques du périnée, qui nécessitent une reprise au bloc opératoire. Nous avons colligé 52 cas de lésions traumatiques pour 3167 accouchements soit une fréquence des lésions traumatiques de 0.01%. L’âge moyen est de 32 ans et la tranche d’âge des 20-39 ans est la plus représentée 89 %. La majorité des patientes sont des primipares 69 %, la majorité des patientes n’ont aucun antécédent médical ni obstétrical, 94 % des parturientes ont menés leurs grossesses à terme (37-42 SA), la totalité des présentations est céphalique à variétés antérieures dans 85%. Les efforts expulsifs sont insuffisants dans 83% des cas, 11% a une durée d’expulsion supérieure à 30 minutes, la plupart des accouchements sont instrumental dont l’extraction par forceps obstétrical à 100%. Les lésions traumatiques sont dominées par les déchirures périnéales incomplètes à 96%. L’épisiotomie été réalisée dans les majorités des accouchements 94%. Le poids des nouveaux nés est normal (2500-4000 g) dans 92 %. Concernant les mesures préventives, la totalité des accouchements sont réalisés sans utiliser des compresses chaudes, 83% accouchements sont réalisés avec l’utilisation de l’huile lubrifiant. La réparation des lésions est faite par deux techniques surjets continus et bout à bout. Dans la majorité des cas les analgésiques et les laxatifs n’ont pas été prescrits, 6% sont mises sous régime alimentaire sans résidu. Les lésions traumatiques du périnée sont relativement peu fréquentes. Elles peuvent cependant avoir d’importantes séquelles et complications mettant parfois en jeu le pronostic maternel. Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Les déchirures périnéales d'origine obstétricale : prévention et prise en charge [texte imprimé] / Belmiloud Fatima Zohra, Auteur ; Abdelli Balkis, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2021 . - 1 vol. (121 f.) : ill. ; 30 cm. Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Lésions traumatiques du périnée  Parturientes  Forceps  Épisiotomie  Réparation périnéale Index. décimale : 618.2 Obstétrique Résumé : Etudier les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des lésions traumatiques survenues lors des accouchements par voie basse au service de gynécologie obstétrique CHU de Bejaia et analyser les moyens de prévention appliqués. Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive analytique. Le service de Gynécologie Obstétrique du CHU de Bejaia a servi de cadre d’étude. L’étude s’est déroulée du janvier 2021 à octobre 2021. Elle a porté sur les parturientes admises au service pour un accouchement par voie basse et ayant présenté des lésions traumatiques du périnée, qui nécessitent une reprise au bloc opératoire. Nous avons colligé 52 cas de lésions traumatiques pour 3167 accouchements soit une fréquence des lésions traumatiques de 0.01%. L’âge moyen est de 32 ans et la tranche d’âge des 20-39 ans est la plus représentée 89 %. La majorité des patientes sont des primipares 69 %, la majorité des patientes n’ont aucun antécédent médical ni obstétrical, 94 % des parturientes ont menés leurs grossesses à terme (37-42 SA), la totalité des présentations est céphalique à variétés antérieures dans 85%. Les efforts expulsifs sont insuffisants dans 83% des cas, 11% a une durée d’expulsion supérieure à 30 minutes, la plupart des accouchements sont instrumental dont l’extraction par forceps obstétrical à 100%. Les lésions traumatiques sont dominées par les déchirures périnéales incomplètes à 96%. L’épisiotomie été réalisée dans les majorités des accouchements 94%. Le poids des nouveaux nés est normal (2500-4000 g) dans 92 %. Concernant les mesures préventives, la totalité des accouchements sont réalisés sans utiliser des compresses chaudes, 83% accouchements sont réalisés avec l’utilisation de l’huile lubrifiant. La réparation des lésions est faite par deux techniques surjets continus et bout à bout. Dans la majorité des cas les analgésiques et les laxatifs n’ont pas été prescrits, 6% sont mises sous régime alimentaire sans résidu. Les lésions traumatiques du périnée sont relativement peu fréquentes. Elles peuvent cependant avoir d’importantes séquelles et complications mettant parfois en jeu le pronostic maternel. Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales

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Les déchirures périnéales d'origine obstétricale / Belmiloud Fatima Zohra 

Public ISBD Titre : Les déchirures périnéales d'origine obstétricale : prévention et prise en charge Type de document : document électronique Auteurs : Belmiloud Fatima Zohra, Auteur ; Abdelli Balkis, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2021 Importance : 3,50 Mo Présentation : ill. Format : Pdf Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Lésions traumatiques du périnée  Parturientes  Forceps  Épisiotomie  Réparation périnéale Index. décimale : 618.2 Obstétrique Résumé : Etudier les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des lésions traumatiques survenues lors des accouchements par voie basse au service de gynécologie obstétrique CHU de Bejaia et analyser les moyens de prévention appliqués. Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive analytique. Le service de Gynécologie Obstétrique du CHU de Bejaia a servi de cadre d’étude. L’étude s’est déroulée du janvier 2021 à octobre 2021. Elle a porté sur les parturientes admises au service pour un accouchement par voie basse et ayant présenté des lésions traumatiques du périnée, qui nécessitent une reprise au bloc opératoire. Nous avons colligé 52 cas de lésions traumatiques pour 3167 accouchements soit une fréquence des lésions traumatiques de 0.01%. L’âge moyen est de 32 ans et la tranche d’âge des 20-39 ans est la plus représentée 89 %. La majorité des patientes sont des primipares 69 %, la majorité des patientes n’ont aucun antécédent médical ni obstétrical, 94 % des parturientes ont menés leurs grossesses à terme (37-42 SA), la totalité des présentations est céphalique à variétés antérieures dans 85%. Les efforts expulsifs sont insuffisants dans 83% des cas, 11% a une durée d’expulsion supérieure à 30 minutes, la plupart des accouchements sont instrumental dont l’extraction par forceps obstétrical à 100%. Les lésions traumatiques sont dominées par les déchirures périnéales incomplètes à 96%. L’épisiotomie été réalisée dans les majorités des accouchements 94%. Le poids des nouveaux nés est normal (2500-4000 g) dans 92 %. Concernant les mesures préventives, la totalité des accouchements sont réalisés sans utiliser des compresses chaudes, 83% accouchements sont réalisés avec l’utilisation de l’huile lubrifiant. La réparation des lésions est faite par deux techniques surjets continus et bout à bout. Dans la majorité des cas les analgésiques et les laxatifs n’ont pas été prescrits, 6% sont mises sous régime alimentaire sans résidu. Les lésions traumatiques du périnée sont relativement peu fréquentes. Elles peuvent cependant avoir d’importantes séquelles et complications mettant parfois en jeu le pronostic maternel. Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Les déchirures périnéales d'origine obstétricale : prévention et prise en charge [document électronique] / Belmiloud Fatima Zohra, Auteur ; Abdelli Balkis, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2021 . - 3,50 Mo : ill. ; Pdf. Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Lésions traumatiques du périnée  Parturientes  Forceps  Épisiotomie  Réparation périnéale Index. décimale : 618.2 Obstétrique Résumé : Etudier les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des lésions traumatiques survenues lors des accouchements par voie basse au service de gynécologie obstétrique CHU de Bejaia et analyser les moyens de prévention appliqués. Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive analytique. Le service de Gynécologie Obstétrique du CHU de Bejaia a servi de cadre d’étude. L’étude s’est déroulée du janvier 2021 à octobre 2021. Elle a porté sur les parturientes admises au service pour un accouchement par voie basse et ayant présenté des lésions traumatiques du périnée, qui nécessitent une reprise au bloc opératoire. Nous avons colligé 52 cas de lésions traumatiques pour 3167 accouchements soit une fréquence des lésions traumatiques de 0.01%. L’âge moyen est de 32 ans et la tranche d’âge des 20-39 ans est la plus représentée 89 %. La majorité des patientes sont des primipares 69 %, la majorité des patientes n’ont aucun antécédent médical ni obstétrical, 94 % des parturientes ont menés leurs grossesses à terme (37-42 SA), la totalité des présentations est céphalique à variétés antérieures dans 85%. Les efforts expulsifs sont insuffisants dans 83% des cas, 11% a une durée d’expulsion supérieure à 30 minutes, la plupart des accouchements sont instrumental dont l’extraction par forceps obstétrical à 100%. Les lésions traumatiques sont dominées par les déchirures périnéales incomplètes à 96%. L’épisiotomie été réalisée dans les majorités des accouchements 94%. Le poids des nouveaux nés est normal (2500-4000 g) dans 92 %. Concernant les mesures préventives, la totalité des accouchements sont réalisés sans utiliser des compresses chaudes, 83% accouchements sont réalisés avec l’utilisation de l’huile lubrifiant. La réparation des lésions est faite par deux techniques surjets continus et bout à bout. Dans la majorité des cas les analgésiques et les laxatifs n’ont pas été prescrits, 6% sont mises sous régime alimentaire sans résidu. Les lésions traumatiques du périnée sont relativement peu fréquentes. Elles peuvent cependant avoir d’importantes séquelles et complications mettant parfois en jeu le pronostic maternel. Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales

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E _B O O K S Les déchirures périnéales d'origine obstétricale URL

Les maladies trophoblastiques gestationnelles / Mahtout Yasmine

Public ISBD Titre : Les maladies trophoblastiques gestationnelles Type de document : texte imprimé Auteurs : Mahtout Yasmine, Auteur ; Maouche Sonia, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (185 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes.Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Maladies trophoblastiques gestationnelles  La môle hydatiforme  Grossesse Index. décimale : 618 Autres branches de la médecine . Gynécologie et obstétrique Résumé : L’objectif principal de cette étude est l’évaluation du profil épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif des cas de maladies trophoblastiques gestationnelles enregistrés au niveau du CHU de Bejaia. Il s’agit d’une étude descriptive, rétrospective, portant sur 19 cas de MTG, sur une période de six mois, allant du 1 juillet 2022 au 31 décembre 2022, au niveau du service de gynécologie du CHU de Bejaia. La môle hydatiforme est une affection relativement fréquente, soit 2,7 pour 1 000 grossesses. La môle hydatiforme complète est l’entité la plus fréquente à 1,9 pour 1 000 grossesses. Les MTG ne sont plus prédominantes aux âges extrêmes mais plutôt à la tranche d’âge entre 21 et 30 ans 42,1%. Prédominance de la forme asymptomatique à 52,6%. 100% des TTG ont été diagnostiquées par la surveillance biologique post-molaire par dosage sérique de l’HCG. 100% des TTG étaient à bas risque, avec évolution favorable sous chimiothérapie. Les maladies trophoblastiques gestationnelles sont des pathologies rares, complexes, non connues par la population, et mal prise en charge ; d’où la nécessité de sensibilisation avec création de centres régionaux de proximité dans le but d’uniformiser la prise en charge. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Les maladies trophoblastiques gestationnelles [texte imprimé] / Mahtout Yasmine, Auteur ; Maouche Sonia, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (185 f.) : ill. ; 30 cm. Annexes.Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Maladies trophoblastiques gestationnelles  La môle hydatiforme  Grossesse Index. décimale : 618 Autres branches de la médecine . Gynécologie et obstétrique Résumé : L’objectif principal de cette étude est l’évaluation du profil épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif des cas de maladies trophoblastiques gestationnelles enregistrés au niveau du CHU de Bejaia. Il s’agit d’une étude descriptive, rétrospective, portant sur 19 cas de MTG, sur une période de six mois, allant du 1 juillet 2022 au 31 décembre 2022, au niveau du service de gynécologie du CHU de Bejaia. La môle hydatiforme est une affection relativement fréquente, soit 2,7 pour 1 000 grossesses. La môle hydatiforme complète est l’entité la plus fréquente à 1,9 pour 1 000 grossesses. Les MTG ne sont plus prédominantes aux âges extrêmes mais plutôt à la tranche d’âge entre 21 et 30 ans 42,1%. Prédominance de la forme asymptomatique à 52,6%. 100% des TTG ont été diagnostiquées par la surveillance biologique post-molaire par dosage sérique de l’HCG. 100% des TTG étaient à bas risque, avec évolution favorable sous chimiothérapie. Les maladies trophoblastiques gestationnelles sont des pathologies rares, complexes, non connues par la population, et mal prise en charge ; d’où la nécessité de sensibilisation avec création de centres régionaux de proximité dans le but d’uniformiser la prise en charge. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine

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Les maladies trophoblastiques gestationnelles / Mahtout Yasmine 

Public ISBD Titre : Les maladies trophoblastiques gestationnelles Type de document : document électronique Auteurs : Mahtout Yasmine, Auteur ; Maouche Sonia, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 4,41 Mo Présentation : ill. Format : Pdf Note générale : Annexes.Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Maladies trophoblastiques gestationnelles  La môle hydatiforme  Grossesse Index. décimale : 618 Autres branches de la médecine . Gynécologie et obstétrique Résumé : L’objectif principal de cette étude est l’évaluation du profil épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif des cas de maladies trophoblastiques gestationnelles enregistrés au niveau du CHU de Bejaia. Il s’agit d’une étude descriptive, rétrospective, portant sur 19 cas de MTG, sur une période de six mois, allant du 1 juillet 2022 au 31 décembre 2022, au niveau du service de gynécologie du CHU de Bejaia. La môle hydatiforme est une affection relativement fréquente, soit 2,7 pour 1 000 grossesses. La môle hydatiforme complète est l’entité la plus fréquente à 1,9 pour 1 000 grossesses. Les MTG ne sont plus prédominantes aux âges extrêmes mais plutôt à la tranche d’âge entre 21 et 30 ans 42,1%. Prédominance de la forme asymptomatique à 52,6%. 100% des TTG ont été diagnostiquées par la surveillance biologique post-molaire par dosage sérique de l’HCG. 100% des TTG étaient à bas risque, avec évolution favorable sous chimiothérapie. Les maladies trophoblastiques gestationnelles sont des pathologies rares, complexes, non connues par la population, et mal prise en charge ; d’où la nécessité de sensibilisation avec création de centres régionaux de proximité dans le but d’uniformiser la prise en charge. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Les maladies trophoblastiques gestationnelles [document électronique] / Mahtout Yasmine, Auteur ; Maouche Sonia, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 4,41 Mo : ill. ; Pdf. Annexes.Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Maladies trophoblastiques gestationnelles  La môle hydatiforme  Grossesse Index. décimale : 618 Autres branches de la médecine . Gynécologie et obstétrique Résumé : L’objectif principal de cette étude est l’évaluation du profil épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif des cas de maladies trophoblastiques gestationnelles enregistrés au niveau du CHU de Bejaia. Il s’agit d’une étude descriptive, rétrospective, portant sur 19 cas de MTG, sur une période de six mois, allant du 1 juillet 2022 au 31 décembre 2022, au niveau du service de gynécologie du CHU de Bejaia. La môle hydatiforme est une affection relativement fréquente, soit 2,7 pour 1 000 grossesses. La môle hydatiforme complète est l’entité la plus fréquente à 1,9 pour 1 000 grossesses. Les MTG ne sont plus prédominantes aux âges extrêmes mais plutôt à la tranche d’âge entre 21 et 30 ans 42,1%. Prédominance de la forme asymptomatique à 52,6%. 100% des TTG ont été diagnostiquées par la surveillance biologique post-molaire par dosage sérique de l’HCG. 100% des TTG étaient à bas risque, avec évolution favorable sous chimiothérapie. Les maladies trophoblastiques gestationnelles sont des pathologies rares, complexes, non connues par la population, et mal prise en charge ; d’où la nécessité de sensibilisation avec création de centres régionaux de proximité dans le but d’uniformiser la prise en charge. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine

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Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
CDM16/2023	CDM16/2023	Mémoire Electonique	Salle multimédia	Gynécologie-Obstétrique-Pédiatrie et Gériatrie	Exclu du prêt

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E _B O O K S Les maladies trophoblastiques gestationnelles URL

Placenta prævia complications et prise en charge / Lydia, Hammami

Public ISBD Titre : Placenta prævia complications et prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Lydia, Hammami, Auteur ; Ouardia, Chahi, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2020 Importance : 1 vol. (132 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Placenta prævia  PP  Césarienne  Métrorragies  Echographie  Prématurité Index. décimale : 618.3 Troubles de la grossesse Résumé : A travers cette étude prospective portant sur 50 cas de placenta prævia colligés à la maternité de Targa ouzemour du CHU de Bejaia durant la période allant du 1er Aout 2019 au 31 Janvier 2020, nous constatons que : - Le PP reste une complication relativement fréquente chez nous avec une incidence de 0,68%. - La tranche d’âge la plus touchée par cette affection est dans la trentaine soit >OU= 35 avec une fréquence de 40%. - Les nullipares sont les plus concernées (52%), sans négliger les primipares 28%. - Les facteurs étiologiques retrouvés sont : ATCDS de césariennes dans 44% des cas, ATCDS d’avortements dans 22% des cas, ATCDS de PP (6%), ATCDS de myome (8%) ATCDS de gestes endo-utérins (6%), malformation utérine (2%), le recours à la procréation médicalement assistée dans 2 % des cas. - Dans notre étude les métrorragies constituent le motif d’admission le plus fréquent à une fréquence de 54%. - Sur le plan para clinique l’échographie est d’une importance capitale dans le diagnostic positif et le suivi d’une grossesse avec un PP. - Le PP type III est la variété la plus fréquente avec un taux de 22%, et une présentation céphalique est retrouvée dans 72 % des cas. - L’accouchement par voie haute est à 92 % et 24 % des PP sont associés à une RPM, 10% à un placenta accreta, 6% à un HRP, 8% à une MAP. - La mortalité maternelle est nulle, avec un taux de complications de 30%. - La principale complication foetale observée est la prématurité (64% des cas). Toutes ces données permettent de mettre le point sur l’importance du suivi de la grossesse et le diagnostic précoce du placenta prævia, et la prise en charge rapide et efficace des patientes surtout en cas de placenta prævia hémorragique. Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Placenta prævia complications et prise en charge [texte imprimé] / Lydia, Hammami, Auteur ; Ouardia, Chahi, Auteur ; Dr. Mounira, Braneci, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2020 . - 1 vol. (132 f.) : ill. ; 30 cm. Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Placenta prævia  PP  Césarienne  Métrorragies  Echographie  Prématurité Index. décimale : 618.3 Troubles de la grossesse Résumé : A travers cette étude prospective portant sur 50 cas de placenta prævia colligés à la maternité de Targa ouzemour du CHU de Bejaia durant la période allant du 1er Aout 2019 au 31 Janvier 2020, nous constatons que : - Le PP reste une complication relativement fréquente chez nous avec une incidence de 0,68%. - La tranche d’âge la plus touchée par cette affection est dans la trentaine soit >OU= 35 avec une fréquence de 40%. - Les nullipares sont les plus concernées (52%), sans négliger les primipares 28%. - Les facteurs étiologiques retrouvés sont : ATCDS de césariennes dans 44% des cas, ATCDS d’avortements dans 22% des cas, ATCDS de PP (6%), ATCDS de myome (8%) ATCDS de gestes endo-utérins (6%), malformation utérine (2%), le recours à la procréation médicalement assistée dans 2 % des cas. - Dans notre étude les métrorragies constituent le motif d’admission le plus fréquent à une fréquence de 54%. - Sur le plan para clinique l’échographie est d’une importance capitale dans le diagnostic positif et le suivi d’une grossesse avec un PP. - Le PP type III est la variété la plus fréquente avec un taux de 22%, et une présentation céphalique est retrouvée dans 72 % des cas. - L’accouchement par voie haute est à 92 % et 24 % des PP sont associés à une RPM, 10% à un placenta accreta, 6% à un HRP, 8% à une MAP. - La mortalité maternelle est nulle, avec un taux de complications de 30%. - La principale complication foetale observée est la prématurité (64% des cas). Toutes ces données permettent de mettre le point sur l’importance du suivi de la grossesse et le diagnostic précoce du placenta prævia, et la prise en charge rapide et efficace des patientes surtout en cas de placenta prævia hémorragique. Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales

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M08/2020	M08/2020	Mémoire	Salle de consultation sur place	Gynécologie-Obstétrique-Pédiatrie et Gériatrie	Exclu du prêt

Placenta prævia complications et prise en charge / Lydia, Hammami 

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Prise en charge optimale des grossesses sur cicatrice de césarienne / Berza Manel

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Prise en charge optimale des grossesses sur cicatrice de césarienne / Berza Manel 

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Prise en charge des retentions de produits de conception au niveau du service gynécologie-obstétrique de Targa Ouzemour CHU de Béjaia / Messaoudi Sara

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Prise en charge des retentions de produits de conception au niveau du service gynécologie-obstétrique de Targa Ouzemour CHU de Béjaia / Messaoudi Sara 

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Rupture prématurée des membranes avant terme / Adda Lamia

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Rupture prématurée des membranes avant terme / Adda Lamia 

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