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Suite aux différentes faillites intervenues dans le monde bancaire depuis les années 70, il
apparait très clairement que les deux notions « banque-risque » sont intimement liées, sauf
que la prise en compte des risques au sein de la banque apparait.
C’est dans ce contexte que s’inscrivent les travaux du comité de Bâle qui définissent
l’ensemble des règles prudentielles applicables et qui sont recommandés par tous les
systèmes financiers nationaux , dont les banques centrales sont chargées de superviser. Ces
recommandations formulées par le comité de Bâle sont appliquées par plusieurs pays, et qui
demeurent insuffisantes pour résoudre l’ensemble des crises cycliques enregistrées, d’où la
persistance de ce comité à innover pour juguler les distorsions (anomalies) existantes de Bâle
1, on est passé à Bâle 2 et aujourd’hui à Bâle 3.
A la longue, tous les pays se sont dotés d’un système de supervision et de contrôle
réglementaire, ces pays ont imposés une réglementation inspirée des travaux de comité de
Bâle, spécifique aux activités bancaires, dont l’application fait l’objet d’un contrôle approprié.
Comme tous les pays, l’Algérie c’est dotée d’un système de réglementation et de
supervision prudentielle, à travers deux(02) principaux piliers, à savoir le contrôle sur pièces
et le contrôle sur place, dont la commission bancaire est l’autorité en charge de la
supervision bancaire. |
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