Abstract:
Notre recherche s'inscrit dans la préparation du diplôme de master en psychologie du Travail et des organisations, effectuées à la recherche sur l'incidence des conditions de travail pendant la période de covid-19 sur la souffrance des infirmiers. Afin d'atteindre les objectifs tracés dans la présente ?tude scientifique, des questions ont été émises au départ, ainsi des hypothèses souvent avancées pour justifier ces résultats reposent sur le classement en trois dimensions des conditions de travail. premier dimension, les conditions psychologiques qui basent sur attitude des performances des salariés pour exécute leur tache dans le second dimension qui consiste les conditions physiques sont liées à l'environnement physique qui contient le bruit, la température irritante et toxique, les vibrations, et En troisième dimension qualifier les conditions organisationnelles qui contiennent la relation avec le hiérarchie dans l'entreprise et la communication entre les salariés. La deuxième étude sur la souffrance au travail qui vise comme objectif général de raffiner la compréhension de la relation entre la conciliation travail-famille et la souffrance au travail, On entend souvent dire que le travail est idéal pour l'intégration sociale, qu'il permet la réalisation de soi, mais au quotidien, il semble que ce n'est pas toujours une réalité. Souvent, le travail est synonyme de souffrance, ce dernier peut être considéré comme construit multidimensionnel. Dans cette perspective la souffrance au travail peut être abordée à travers cinq dimensions développées par le modèle de krasek Christophe Dejours. Dans la présente recherche, nous avons opté pour une approche multidimensionnelle qui décrit les dimensions de la souffrance au travail Dans la première dimension, qualifié le Stress, peut être définit comme l'ensemble des perturbations biologiques et psychiques provoquées par une agression quelconque sur un organisme. Il survient lorsqu'il y a un déséquilibre entre la perception qu'une personne a des contraintes imposées par son environnement et la perception qu'elle a de ses propres ressources pour y faire face. Dans la seconde dimension qui consiste l'épuisement, c'est l'état d'une personne de métier dont les forces physique et le tonus nerveux se trouve réduit par suite d'une charge de travail, excessive ou de conditions d'exercice éprouvant, ce sentiment de découragement qui s'empare de beaucoup de travailleurs sociaux à un moment de leur carrière. le troisième dimension consiste le harcèlement morale considéré comme la situation de souffrance la plus destructrice et la plus traumatique. Elle est également la forme pour laquelle les sanctions sont les plus importantes pour l'auteur comme pour le travailleur, âpres on a le quatrième Dimension qui consiste le mal-être qui désigne un état pénible et dans lequel ne sont pas, se profond le sentiment de malaise générale peut être d'origine physique ou psychique, et le dernier dimension qui découle d'aliénation qui est désigne une altération des capacités mentale d'un individus et engendre dans certains cas des conséquence juridique comme l'irresponsabilité pénale ou le placement sous un régime de protection comme la tutelle. Pour atteindre les objectifs de notre recherche, nous avons opté pour une démarche méthodologique quantitative. Cette contribution cherche à démontrer les incidences que peuvent engendrer les conditions de travail sur la souffrance au travail des infirmiers dans l'EPH de sidi aich, Cette méthode nous a conduits à appliquer un questionnaire construit de 58 questions réparties en trois axes : données personnelles, les conditions de travail, et souffrance au travail. Ce questionnaire a été distribué auprès d'un échantillon stratifié proportionnel constitué de 58 travailleurs de toutes catégories socioprofessionnels confondues comme d'autres variables socioprofessionnelles. et ce, selon les résultats obtenus lors des calculs, pour l'hypothèse qui dit : " Il ya une relation entre les conditions de travail et la souffrance au travail ". et cela vérifie par le coefficient de corrélation (r=0,210) et par une signification (p= 0,068) On peut remarquer d'après ces résultats que il ya une relation positive faible entre les deux variable. Donc notre hypothèse est confirmée