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La maladie rénale est l'un des problèmes de santé publique qui touche une population dont les risques de complications infectieuses sont importants. Cette maladie, souvent silencieuse, ne peut être identifiée qu'à son stade terminal. Malheureusement les quelques traitements existant s'avèrent efficace que pour ralentir la maladie. On distingue deux types de maladies rénales : l'insuffisance rénale aigue (IRA) et l'insuffisance rénale chronique terminale (IRCT). L'annonce de l'insuffisance rénale chronique terminale à plus ou moins long terme, il est certain que le patient sera mis en dialyse ou greffé, donc ne peut compter sur son propre corps devenu incapables de le faire vivre. Cela lui inflige de sérieuses blessures physiologiques et psychologiques, affectives, émotionnelles et perturbe sa relation avec son environnement particulièrement celui immédiat. Plusieurs femmes en hémodialyse déclarent vivre des difficultés sexuelles en étant hémodialysées qui ne reconnaissaient pas auparavant. Ces déclarations nécessitent une écoute formée pour meilleure prise en charge. On a évalués dans ce travail de recherche, les caractéristiques de la vie sexuelle chez les femmes hémodialysés sur quatre(4) cas. Dans cette démarche, on a eu recours à un guide d'entretien, qui a permis de recueillir des informations sur les cas, ainsi que le test TAT, qui a permis d'évaluer les caractéristiques de la vie sexuelle. Effectivement les quatre cas ont confirmé les hypothèses concernant la vie sexuelle des femmes atteintes par l'insuffisance rénale chronique dont cette dernière détermine la relation conjugale. Il reste à souligner que ces hypothèses sont réfutables et non absolues, car les résultats obtenus de la population d'étude qui est restreinte, ne représentent pas la population mère de toutes les femmes hémodialysées |
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