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L'homme pouvant être atteint dans son patrimoine ou dans son intégrité physique à l'occasion
de certains sinistres, recherche tout naturellement un moyen qui puisse lui garantir la sécurité
ou la prise en charge des dommages subi.
En effet, depuis son apparition jusqu’à nos jour, l’assurance n’a pas cessé d’évoluer pour
devenir une catégorie importante des investisseurs institutionnels à travers les masses
financières qu’elles drainent.
En Algérie, les sociétés d’assurance, interviennent sur le marché des capitaux notamment sur
le marché obligataire et celui des valeurs mobilières en prenant la position de prêteurs, ce qui
fait d’elles une catégorie non négligeable d’investisseurs institutionnels. Cependant, le
montant des placements effectués par ces sociétés reste très dérisoire et ne représente que
0.99% du PIB, rapporté au montant total des investissements au niveau national (Formation
Brute du Capital Fixe), il ne représente que 3% en 2011.
A travers notre réflexion, nous constatons qu’en dépit de la libéralisation du secteur
assurantiel suite à l’ordonnance N°95-07 du 25 janvier 1995, amendée et modifié par
l’ordonnance N° 06-04 du 20 février 2006, ce dernier demeure toujours sous exploité, ce qui
réduit sa contribution dans l’économie nationale. |
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