dc.description.abstract |
Le travail ici présenté consiste à traiter la question du devenir de l’école, qui s’impose comme une question d’une importance capitale, étudier l’école n’est jamais simplifié par la complexité, et l’interférence de plusieurs domaines, tenter de les mettre en relation d’harmonie, est un peu comme une aventure dangereuse, mais amusante, et séduisante, il serait difficile effectivement mais pas si l’en prend du plaisir à le faire, on peut pas défendre le jeu, sans présenter soi-même ce caractère d’amusement, on peut par l’esprit joueur accomplir des choses d’apparence impossible. (Comme ici gagner un peu plus en écrit …)
Il est question ici d’affronter l’école aux nouvelles avancées de la recherche dans les différents domaines y afférents, notamment la santé, le socioculturel, etc., et de répondre à notre question problématique qui s’interroge de l’avenir de l’école aujourd’hui, l’hypothèse richement documentée qu’est de défendre que l’espace de l’école et celui de la ville devraient se confondre. Les objectifs fixés au début du travail à savoir ; La construction d’un référentiel caractérisant l’espace confondu de l’école et de la ville : Rôle rituel des enfants dans la ville, et l’intégration de l’enfant dans les opérations de planification urbaine, qui devrait se faire sans ségrégation entre les tranches d’âge, il faut que tout le monde trouve son compte à la ville.Admettre que le jeu est un impératif éducationnel, l’exploration du milieu de vie est plus qu’un besoin, améliore l’intégration sociale et lutte contre l’exclusion sociale ;
L’esprit communautaire est nécessaire à l’épanouissement des enfants toute ruée vers l’individualisme défavorise leur développement naturel, la forme de propriété foncière, impacte la vie des enfants, il faut aller vers plus d’espace public, il faut également pouvoir faire confiance à la communauté à la même image de la culture allemande ou kabyle.
Le problème n’est pas génétique, l’enfant est bon de nature, ceci dit qu’il faut investir davantage le milieu urbain, l’instruction formelle devra se contenter de doter les enfants des trois R, clés du savoir et la connaissance humaine.
Le toucher fait l’intelligence des sociétés, la tendance serait l’effacement des interdits, rendre la ville accessible, offrant beaucoup d’opportunité du toucher, ceci dit confondre l’espace de l’école et celui de la ville, on apprend partout et tout le temps, intégrer le facteur risque dans les aménagements de terrains de jeux d’enfants, c’est un besoin naturel Les technologies numériques comme outil potentiel pour contrecarrer la ruée vers l’individualisme et enfin la révision des temps et rythmes scolaires afin de renouer contact avec le monde extérieur s’inscrit dans la volonté de privilégier une vie active.
Les autres objectifs dressés, comme éveiller l’intérêt autour de cette question vont sans dire. |
en_US |