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La problématique de la prévention et de la prise en charge du risque sismique en Algérie

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dc.contributor.author Hamiti, Dalila
dc.contributor.author Ainouche, Mohand Cherif (Rapporteur)
dc.date.accessioned 2018-02-15T08:01:23Z
dc.date.available 2018-02-15T08:01:23Z
dc.date.issued 2010
dc.identifier.uri http://univ-bejaia.dz/dspace/123456789/7090
dc.description Option : Économie de l’Environnement en_US
dc.description.abstract Les catastrophes naturelles constituent un risque pour les pays du monde. Ce risque pourrait s’aggraver du fait du réchauffement planétaire. Ces catastrophes causent de nombreux décès et détruisent des infrastructures, des industries et des habitations. Une partie de la main-d’œuvre et de la capacité de production disparaît. Le nombre de décès causés par des catastrophes naturelles pourrait être réduit par des mesures appropriées (normes de construction, schémas d’aménagement du territoire, gestion des risques et des catastrophes). Les pertes économiques pourraient être considérablement réduites grâce à des assurances locales (obligatoires) et une réassurance internationale. Les assureurs privés et les organes gouvernementaux doivent coopérer pour atteindre cet objectif. En Algérie, après tout les malheurs que nous avons subi, du fait des catastrophes naturelles, particulièrement les séismes, ainsi que les lourds dégâts qui en résultés; il s’avère malheureusement, que nous ne sommes pas encore préparés pour gérer les crises d’une manière scientifique, méthodique et organisée. Il est utile de rappeler qu’après le séisme d’El Asnam du 10 Octobre 1980, nous avons eu le temps de capitaliser les retours d’expériences; des connaissances et des études dans le domaine de génie parasismique sont diffusées à travers tout le territoire, par des enseignements des règles parasismiques (RPA 1983, 1988, 1999, 2003), colloques, séminaires, études d’aléa et des études de micro zonage. Si l’Algérie a fait d’énormes progrès pouvant la situer au niveau des pays avancés, celles relatives au contrôle technique de la construction, à la conception et au suivi, c’est-à-dire à la maîtrise d’œuvre; des insuffisances sont mises en évidence dans la plupart des expertises et bilans de catastrophes nationales liées à la survenance d’aléas naturels ou industriels. C’est bien qu’après le séisme de Boumerdès du 21 Mai 2003, le dispositif mis en place vise à mettre, en complément des politiques de préventions et d’encadrement de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, une politique cohérente de gestion et d’indemnisation des victimes des catastrophes naturelles. L’existence du risque sismique dans notre pays, et les lourdes menaces qu’il fait peser dans les villes vulnérables du Nord, sur les populations et les potentiels économiques concentrés, exige une réaction forte de l’État, au niveau des mesures urgentes à retenir pour une mise à niveau des bases fondamentales de notre système de prévention du risque sismique et dans le même temps au niveau des actions de plus longue haleine, en vue notamment, de réduire les risques qui se concentrent sur la frange littorale du pays et d’inscrire dans la durée, notre capacité à prévenir et à gérer les risque majeurs. en_US
dc.language.iso fr en_US
dc.publisher Université Abderrahmane mira bejaia/aboudaou en_US
dc.subject Catastrophes naturelles : Risque sismique : Prévention : Gestion : Vulnérabilité en_US
dc.title La problématique de la prévention et de la prise en charge du risque sismique en Algérie en_US
dc.title.alternative Cas du séisme de Chlef (1980) et de Boumerdès (2003) en_US
dc.type Thesis en_US


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