Abstract:
Le commerce international est né pour répondre aux besoins des pays ayant des échanges
économiques et commerciaux au-delà des frontières géographiques et aussi en raison de la
différence des richesses des pays et leurs développements dans les différents secteurs et
domaines.
Cette variété des rapports a contribué à l’émergence d’un capitalisme florissant qui à son
tour a développé une base solide dans l’industrie et des techniques modernes pour améliorer
les rendements des entreprises1.
Devant cette nécessité des échanges internationaux et l’intégration croissante des
économies mondiales, aucun pays ne peut donc se permettre de vivre en autarcie.
Les théories du commerce international présentent les échanges commerciaux comme
étant une solution pour la notion du développement : selon l’économiste britannique Adam
SMITH l’échange permet alors la satisfaction des besoins en permettant aux individus de se
procurer ce qu’ils convoitent sans nécessairement avoir à le produire eux-mêmes.
La découverte de nouveaux territoires, synonyme de nouveaux biens, constitue le facteur
qui explique le développement de l’échange. Le commerce international regroupe l’ensemble
des échanges des biens et services entre agents résidents sur des territoires économiques
différents2, car aucun pays, quels que soient sa puissance et son niveau de développement, ne
peut assurer une place mondiale sans échanges.
Les échanges internationaux évoluent d'une manière plus remarquable pendant un demi siècle
et à un rythme deux fois plus supérieur à celui du développement économique. Pour
cela, le commerce mondial est quatorze fois (14fois) plus important qu'il ne le fut à la fin de la
Seconde Guerre mondiale et cela à une vitesse qui commence même à inquiéter les acteurs du
commerce international à ces jours3.
Au lendemain de la 2e guerre mondiale les efforts sur la libéralisation du