Abstract:
Les suspensions élastiques à caractère antivibratoire et antichoc semblent une
technologie déjà très connue et largement diffusée dans l’industrie. Et pourtant on pourrait en
obtenir beaucoup plus d’avantages en conduisant une analyse plus précise de chaque
application pour sélectionner des composants de découplage et de suspension présentant les
performances les plus utiles. Les principaux axes d’amélioration sont:
— la disponibilité d’élastomères très amortis de plus en plus performants en terme de stabilité
en température, de résistance au fluage et de tenue mécanique, permettent d’obtenir des
suspensions purement élastomère présentant des coefficients de surtension.
— une maîtrise des fabrications de série permettant un appareil, précis des différents
isolateurs d’une suspension, les isolateurs les plus basse fréquences, permettent donc de
constituer des suspensions parfaitement homogènes quelque soit la complexité des liens d’une
machine avec son environnement.
Les principales techniques d’analyse des vibrations et d’essai en dynamique des
structures ont été présentées de manière synthétique. Moyennant certaines hypothèses,
l’analyse permet de représenter convenablement les phénomènes et de traiter des structures
relativement complexes à condition de disposer d’outils de calcul et d’expérimentation
adaptés, et d’adopter une logique de développement cohérente.
Les comportements vibratoires des machines sont extrêmement variés. Ils sont
typiques de la machine envisagée. Chaque machine est le siège d’excitations dynamiques
extrêmement diverses et spécifiques de son fonctionnement. Les organes fixes et mobiles sont
des structures vibrantes. L’ensemble vit et répond en fonction de ses caractéristiques modales
et de ses capacités d’amortissement.
Chaque régime vibratoire génère des contraintes dynamiques qui sollicitent les pièces
en fatigue. Il est impossible qu’une machine, dont la conception devient de plus en plus
poussée sous l’aspect énergétique, ne vibre pas, mais tout le savoir-faire du constructeur
s’attache à ce que les capacités de résistance en fatigue puissent admettre ces contraintes
alternées.
Pour ce qui nous concerne, malgré les difficultés rencontrées telles que l’interprétation
des résultats lors des études de cas pratique ; le manque de moyens de techniques (matériels),
le temps nécessaire à l’approfondissement du projet (par exemple variation de la charge
déséquilibre « m » ou nivaux du rotor le diamètre de balourd) et les surface des amortisseurs..,
ce projet nous a apporté beaucoup de connaissances sur la mesures des vibrations des
machines tournante, la connaissance d’utilisation des appareils de mesure des vibrations tel
que les accéléromètres, Oscilloscope digitale avec ses fonctions mathématiques et le
traitement de données sur son logiciel Open-Choice installé sur micro-ordinateur, ça nous a aussi permis de travailler dans des condition similaires à celle de l’industrie.