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6 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Pronostic'
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Cancer de la vésicule biliaire / Kirouane Fatima
Titre : Cancer de la vésicule biliaire : étude rétrospective sur 91 cas au service de chirurgie viscérale au CHU de Bejaïa. Type de document : texte imprimé Auteurs : Kirouane Fatima, Auteur ; Yahiaoui Hassiba, Auteur ; Dr. Salim Belkherchi, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (271 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr.
AnnexesLangues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Cancer de la vésicule biliaire Découverte histologique Lithiases vésiculaires Prise en charge Chirurgie Pronostic Index. décimale : 616.99 Tumeurs et maladies diverses Résumé : Le cancer de la vésicule biliaire est une pathologie grave avec une survie à 5 ans tous stades confondus inférieure à 5 %. Ce pronostic péjoratif est surtout rattaché au diagnostic à des stades avancés, rendant ainsi les moyens thérapeutiques restreints.
Le but de notre étude est d’établir une vue d’ensemble sur ce cancer et d’établir un lien entre les circonstances de découverte et le pronostic.
Il s’agit d’une étude rétrospective portée sur 91 cas diagnostiqués de cancer de la vésicule biliaire au niveau du service de chirurgie viscérale du CHU de Bejaïa sur une durée de 93 mois (allant de fin 2014 au mois de juin 2022). Les paramètres étudiés sont l’âge, le sexe, la symptomatologie clinique (douleurs, ictère, masse palpable et ascite, les signes généraux et d’autres signes associés), en plus des circonstances de découverte, les examens d’imagerie (échographie, TDM et/ou IRM), les examens biologiques dont les marqueurs tumoraux (CA19.9 et ACE), l’analyse anatomo-pathologique, la prise en charge thérapeutique et l’évolution.les 62 ans. La lithiase vésiculaire est le principal facteur de risque de cette néoplasie.
Dans 43.95% des cas, le cancer de la VB est découvert de façon fortuite après examen anatomopathologique de la pièce
de cholécystectomie.
Les 51.64% autres cas ont décrit des manifestations cliniques polymorphes, dominées par la douleur de l’hypochondre
droit (70.32 %) puis, l’amaigrissement (36.26 %) ensuite,l’ictère (29.67 %) et les vomissements (24.17%). Une masse palpable à l’examen physique est retrouvée chez 31.16 % des patients.
L’échographie est l’examen de première intention, elle a évoqué le diagnostic dans 71% des cas. Le scanner a permis de suspecter le diagnostic dans 71% des cas et faire le bilan d’extension et de résécabilité.
Les adénocarcinomes représentent 94% des cas de notre étude, dont 56% sont bien différenciés, 29% sont moyennement différenciés, 7% sont bien à moyennement différenciés, 2% sont moyennement à peu différenciés et 2% bien à peu différenciés.
Les carcinomes à double composante glandulaire et épidermoïde représentent 3% des cas de cette étude.
Les tumeurs sont classées T1 dans 10% des cas, T2 dans 17% des cas, T3 dans 29% des cas et T4 dans 44% des cas. Un envahissement ganglionnaire est présent dans 52,5% des cas.56,5% des patients ont bénéficié d’un geste chirurgical
curatif, tandis qu’une chirurgie palliative a été préconisée dans 12,1% des cas.
Notre étude attire l’attention sur l’intérêt de l’examen histologique systématique de toutes les pièces de cholécystectomie pour les pathologies biliaires bénignes et malignes.
L’étude anatomopathologique demeure le seul moyen permettant le diagnostic de certitude, la stadification et l’orientation de la démarche thérapeutique.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Cancer de la vésicule biliaire : étude rétrospective sur 91 cas au service de chirurgie viscérale au CHU de Bejaïa. [texte imprimé] / Kirouane Fatima, Auteur ; Yahiaoui Hassiba, Auteur ; Dr. Salim Belkherchi, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2022 . - 1 vol. (271 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Annexes
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Cancer de la vésicule biliaire Découverte histologique Lithiases vésiculaires Prise en charge Chirurgie Pronostic Index. décimale : 616.99 Tumeurs et maladies diverses Résumé : Le cancer de la vésicule biliaire est une pathologie grave avec une survie à 5 ans tous stades confondus inférieure à 5 %. Ce pronostic péjoratif est surtout rattaché au diagnostic à des stades avancés, rendant ainsi les moyens thérapeutiques restreints.
Le but de notre étude est d’établir une vue d’ensemble sur ce cancer et d’établir un lien entre les circonstances de découverte et le pronostic.
Il s’agit d’une étude rétrospective portée sur 91 cas diagnostiqués de cancer de la vésicule biliaire au niveau du service de chirurgie viscérale du CHU de Bejaïa sur une durée de 93 mois (allant de fin 2014 au mois de juin 2022). Les paramètres étudiés sont l’âge, le sexe, la symptomatologie clinique (douleurs, ictère, masse palpable et ascite, les signes généraux et d’autres signes associés), en plus des circonstances de découverte, les examens d’imagerie (échographie, TDM et/ou IRM), les examens biologiques dont les marqueurs tumoraux (CA19.9 et ACE), l’analyse anatomo-pathologique, la prise en charge thérapeutique et l’évolution.les 62 ans. La lithiase vésiculaire est le principal facteur de risque de cette néoplasie.
Dans 43.95% des cas, le cancer de la VB est découvert de façon fortuite après examen anatomopathologique de la pièce
de cholécystectomie.
Les 51.64% autres cas ont décrit des manifestations cliniques polymorphes, dominées par la douleur de l’hypochondre
droit (70.32 %) puis, l’amaigrissement (36.26 %) ensuite,l’ictère (29.67 %) et les vomissements (24.17%). Une masse palpable à l’examen physique est retrouvée chez 31.16 % des patients.
L’échographie est l’examen de première intention, elle a évoqué le diagnostic dans 71% des cas. Le scanner a permis de suspecter le diagnostic dans 71% des cas et faire le bilan d’extension et de résécabilité.
Les adénocarcinomes représentent 94% des cas de notre étude, dont 56% sont bien différenciés, 29% sont moyennement différenciés, 7% sont bien à moyennement différenciés, 2% sont moyennement à peu différenciés et 2% bien à peu différenciés.
Les carcinomes à double composante glandulaire et épidermoïde représentent 3% des cas de cette étude.
Les tumeurs sont classées T1 dans 10% des cas, T2 dans 17% des cas, T3 dans 29% des cas et T4 dans 44% des cas. Un envahissement ganglionnaire est présent dans 52,5% des cas.56,5% des patients ont bénéficié d’un geste chirurgical
curatif, tandis qu’une chirurgie palliative a été préconisée dans 12,1% des cas.
Notre étude attire l’attention sur l’intérêt de l’examen histologique systématique de toutes les pièces de cholécystectomie pour les pathologies biliaires bénignes et malignes.
L’étude anatomopathologique demeure le seul moyen permettant le diagnostic de certitude, la stadification et l’orientation de la démarche thérapeutique.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M01/2022 M01/2022 Mémoire Salle de consultation sur place Tumeurs et maladies diverses Exclu du prêt
Titre : Cancer de la vésicule biliaire : étude rétrospective sur 91 cas au service de chirurgie viscérale au CHU de Bejaïa. Type de document : document électronique Auteurs : Kirouane Fatima, Auteur ; Yahiaoui Hassiba, Auteur ; Dr. Salim Belkherchi, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2022 Importance : 7,07 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Cancer vésicule biliaire Découverte histologique Lithiases vésiculaires Prise en charge Chirurgie Pronostic Index. décimale : 616.99 Tumeurs et maladies diverses Résumé : Le cancer de la vésicule biliaire est une pathologie grave avec une survie à 5 ans tous stades confondus inférieure à 5 %. Ce pronostic péjoratif est surtout rattaché au diagnostic à des stades avancés, rendant ainsi les moyens thérapeutiques restreints.
Le but de notre étude est d’établir une vue d’ensemble sur ce cancer et d’établir un lien entre les circonstances de découverte et le pronostic.
Il s’agit d’une étude rétrospective portée sur 91 cas diagnostiqués de cancer de la vésicule biliaire au niveau du service de chirurgie viscérale du CHU de Bejaïa sur une durée de 93 mois (allant de fin 2014 au mois de juin 2022). Les paramètres étudiés sont l’âge, le sexe, la symptomatologie clinique (douleurs, ictère, masse palpable et ascite, les signes généraux et d’autres signes associés), en plus des circonstances de découverte, les examens d’imagerie (échographie, TDM et/ou IRM), les examens biologiques dont les marqueurs tumoraux (CA19.9 et ACE), l’analyse anatomo-pathologique, la prise en charge thérapeutique et l’évolution.les 62 ans. La lithiase vésiculaire est le principal facteur de risque de cette néoplasie.
Dans 43.95% des cas, le cancer de la VB est découvert de façon fortuite après examen anatomopathologique de la pièce
de cholécystectomie.
Les 51.64% autres cas ont décrit des manifestations cliniques polymorphes, dominées par la douleur de l’hypochondre
droit (70.32 %) puis, l’amaigrissement (36.26 %) ensuite,l’ictère (29.67 %) et les vomissements (24.17%). Une masse palpable à l’examen physique est retrouvée chez 31.16 % des patients.
L’échographie est l’examen de première intention, elle a évoqué le diagnostic dans 71% des cas. Le scanner a permis de suspecter le diagnostic dans 71% des cas et faire le bilan d’extension et de résécabilité.
Les adénocarcinomes représentent 94% des cas de notre étude, dont 56% sont bien différenciés, 29% sont moyennement différenciés, 7% sont bien à moyennement différenciés, 2% sont moyennement à peu différenciés et 2% bien à peu différenciés.
Les carcinomes à double composante glandulaire et épidermoïde représentent 3% des cas de cette étude.
Les tumeurs sont classées T1 dans 10% des cas, T2 dans 17% des cas, T3 dans 29% des cas et T4 dans 44% des cas. Un envahissement ganglionnaire est présent dans 52,5% des cas.56,5% des patients ont bénéficié d’un geste chirurgical
curatif, tandis qu’une chirurgie palliative a été préconisée dans 12,1% des cas.
Notre étude attire l’attention sur l’intérêt de l’examen histologique systématique de toutes les pièces de cholécystectomie pour les pathologies biliaires bénignes et malignes.
L’étude anatomopathologique demeure le seul moyen permettant le diagnostic de certitude, la stadification et l’orientation de la démarche thérapeutique.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Cancer de la vésicule biliaire : étude rétrospective sur 91 cas au service de chirurgie viscérale au CHU de Bejaïa. [document électronique] / Kirouane Fatima, Auteur ; Yahiaoui Hassiba, Auteur ; Dr. Salim Belkherchi, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2022 . - 7,07 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Cancer vésicule biliaire Découverte histologique Lithiases vésiculaires Prise en charge Chirurgie Pronostic Index. décimale : 616.99 Tumeurs et maladies diverses Résumé : Le cancer de la vésicule biliaire est une pathologie grave avec une survie à 5 ans tous stades confondus inférieure à 5 %. Ce pronostic péjoratif est surtout rattaché au diagnostic à des stades avancés, rendant ainsi les moyens thérapeutiques restreints.
Le but de notre étude est d’établir une vue d’ensemble sur ce cancer et d’établir un lien entre les circonstances de découverte et le pronostic.
Il s’agit d’une étude rétrospective portée sur 91 cas diagnostiqués de cancer de la vésicule biliaire au niveau du service de chirurgie viscérale du CHU de Bejaïa sur une durée de 93 mois (allant de fin 2014 au mois de juin 2022). Les paramètres étudiés sont l’âge, le sexe, la symptomatologie clinique (douleurs, ictère, masse palpable et ascite, les signes généraux et d’autres signes associés), en plus des circonstances de découverte, les examens d’imagerie (échographie, TDM et/ou IRM), les examens biologiques dont les marqueurs tumoraux (CA19.9 et ACE), l’analyse anatomo-pathologique, la prise en charge thérapeutique et l’évolution.les 62 ans. La lithiase vésiculaire est le principal facteur de risque de cette néoplasie.
Dans 43.95% des cas, le cancer de la VB est découvert de façon fortuite après examen anatomopathologique de la pièce
de cholécystectomie.
Les 51.64% autres cas ont décrit des manifestations cliniques polymorphes, dominées par la douleur de l’hypochondre
droit (70.32 %) puis, l’amaigrissement (36.26 %) ensuite,l’ictère (29.67 %) et les vomissements (24.17%). Une masse palpable à l’examen physique est retrouvée chez 31.16 % des patients.
L’échographie est l’examen de première intention, elle a évoqué le diagnostic dans 71% des cas. Le scanner a permis de suspecter le diagnostic dans 71% des cas et faire le bilan d’extension et de résécabilité.
Les adénocarcinomes représentent 94% des cas de notre étude, dont 56% sont bien différenciés, 29% sont moyennement différenciés, 7% sont bien à moyennement différenciés, 2% sont moyennement à peu différenciés et 2% bien à peu différenciés.
Les carcinomes à double composante glandulaire et épidermoïde représentent 3% des cas de cette étude.
Les tumeurs sont classées T1 dans 10% des cas, T2 dans 17% des cas, T3 dans 29% des cas et T4 dans 44% des cas. Un envahissement ganglionnaire est présent dans 52,5% des cas.56,5% des patients ont bénéficié d’un geste chirurgical
curatif, tandis qu’une chirurgie palliative a été préconisée dans 12,1% des cas.
Notre étude attire l’attention sur l’intérêt de l’examen histologique systématique de toutes les pièces de cholécystectomie pour les pathologies biliaires bénignes et malignes.
L’étude anatomopathologique demeure le seul moyen permettant le diagnostic de certitude, la stadification et l’orientation de la démarche thérapeutique.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM01/2022 CDM01/2022 Mémoire Electonique Salle multimédia Tumeurs et maladies diverses Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Cancer de la vésicule biliaire étude rétrospective sur 91URL Prévalence de l’anémie par carence martiale et sa prise en charge chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque au service de cardiologie du CHU Béjaia / Arroul Sarah
Titre : Prévalence de l’anémie par carence martiale et sa prise en charge chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque au service de cardiologie du CHU Béjaia Type de document : texte imprimé Auteurs : Arroul Sarah, Auteur ; Kaabache Lamia, Auteur ; Kachenoura Pr. Adjia, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (139 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexe
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Insuffisance cardiaque Anémie Carence martiale Fer intraveineux Pronostic Index. décimale : 616.1 Maladies de l'appareil cardio-vasculaire Résumé : L’insuffisance cardiaque (IC) est l’incapacité du cœur à assurer un débit correct pour couvrir les besoins de l’organisme ; elle est de prévalence croissante et le plus souvent associée à certaines comorbidités non cardiovasculaires dont l’anémie est la plus fréquente constituant un facteur de mauvais pronostic chez ces patients.
L’objectif principal de ce travail est d’évaluer la prévalence de l’anémie par carence martiale chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque dans le service de cardiologie de Bejaïa ; secondairement décrire le profil épidémiologique, répertorier les étiologies de l’IC chez ces patients et enfin rapporter le protocole de la prise en charge de l’anémie au cours de l’IC au niveau du service de cardiologie du CHU de Bejaïa.
Il s’agit d’une étude observationnelle rétrospective à visée descriptive sur une période de 18 mois allant du 01 août 2021 au 01 janvier 2023.
L’étude s’est déroulée au niveau du service de cardiologie du CHU Khelil Amrane de Bejaïa, elle a inclus les patients hospitalisés durant les 18 mois qui répondent aux critères d’inclusion et d’exclusion et chez qui le diagnostic de l’insuffisance cardiaque est retenu soit 1er épisode ou récidive.
Nous avons étudié la présentation clinique ; les facteurs de risque ; les étiologies ; les comorbidités de l’insuffisance cardiaque ; le profil épidémiologique des patients présentant une anémie et la stratégie thérapeutique de l’IC associée à l’anémie carentielle.
L’étude a porté sur 122 patients, 50,82% des hommes contre 49,18% des femmes. L’âge moyen est de 67,63 ± 14,33 ans. Le sexe ratio est de 1,03. La prévalence de l’insuffisance cardiaque est de 6,45% durant la période de cette étude. Les hospitalisations pour un 1er épisode d’IC présentent 61,48%, suivi des récidives présentant 38,52%. L’IC à fraction d’éjection réduite est retrouvée chez 55,74% des patients contre 18,03% pour l’IC à FEVG modérément réduite et 26,23% pour l’IC à FEVG préservée. Une fibrillation atriale est présente chez 47,54% contre 52,46% pour le rythme sinusal. L’étiologie valvulaire est la plus fréquente avec un pourcentage de 50% suivie par la cardiomyopathie dilatée avec 20,49% et la cardiomyopathie ischémique avec 17,21%. L’HTA avec son pourcentage de (78,33%) présente le principal facteur de risque cardio-vasculaire, suivi par le diabète (55%) et la dyslipidémie (53,33%). Les comorbidités rapportées sont l’hypothyroïdie (30,33%,) l’hyperthyroïdie (13,11%), les pathologies pulmonaires (40,16%) et les pathologies digestives (11,48%). L’anémie est retrouvée chez 59,02% des patients en insuffisance cardiaque, l’âge moyen des patients anémiques est de 71,45 ±12,60 ans versus l’âge moyen des patients non anémiques 62±14,91 ans. Les malades de sexe féminin sont plus touchés par cette anémie avec un pourcentage de 56,94%. Une fibrillation atriale est retrouvée chez 52,78% des patients anémiques. Une fraction d’éjection du ventricule gauche réduite est retrouvée chez 50% des patients anémiques. Une altération sévère de la fonction rénale est retrouvée chez 22,22% des patients anémiques. La carence martiale est retrouvée chez (64,75%) des patients dont (74,68%) sont anémiques et (25,32%) non anémiques. Le fer oral est prescrit chez 27,85% des patients carentiels, le fer intraveineux est prescrit chez 72,15% des patients carentiels. Parmi les patients rehospitalisés pour récidive d’IC 72,34% sont anémiques versus 27,66% non anémiques. Dans cette étude le décès est observé chez (15,57%) des patients. L’anémie est présente chez (78,95%) des patients décidés dont 53,33% sont des femmes et 46,67% sont des hommes.
L’association insuffisance cardiaque et anémie par carence mariale est fréquente, le pronostic déjà sombre des patients insuffisants cardiaques est plus aggravé par cette anémie et cette carence ; d’où la nécessité de sa prise en charge précoce et adéquate.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Prévalence de l’anémie par carence martiale et sa prise en charge chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque au service de cardiologie du CHU Béjaia [texte imprimé] / Arroul Sarah, Auteur ; Kaabache Lamia, Auteur ; Kachenoura Pr. Adjia, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (139 f.) : ill. ; 30 cm.
Annexe
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Insuffisance cardiaque Anémie Carence martiale Fer intraveineux Pronostic Index. décimale : 616.1 Maladies de l'appareil cardio-vasculaire Résumé : L’insuffisance cardiaque (IC) est l’incapacité du cœur à assurer un débit correct pour couvrir les besoins de l’organisme ; elle est de prévalence croissante et le plus souvent associée à certaines comorbidités non cardiovasculaires dont l’anémie est la plus fréquente constituant un facteur de mauvais pronostic chez ces patients.
L’objectif principal de ce travail est d’évaluer la prévalence de l’anémie par carence martiale chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque dans le service de cardiologie de Bejaïa ; secondairement décrire le profil épidémiologique, répertorier les étiologies de l’IC chez ces patients et enfin rapporter le protocole de la prise en charge de l’anémie au cours de l’IC au niveau du service de cardiologie du CHU de Bejaïa.
Il s’agit d’une étude observationnelle rétrospective à visée descriptive sur une période de 18 mois allant du 01 août 2021 au 01 janvier 2023.
L’étude s’est déroulée au niveau du service de cardiologie du CHU Khelil Amrane de Bejaïa, elle a inclus les patients hospitalisés durant les 18 mois qui répondent aux critères d’inclusion et d’exclusion et chez qui le diagnostic de l’insuffisance cardiaque est retenu soit 1er épisode ou récidive.
Nous avons étudié la présentation clinique ; les facteurs de risque ; les étiologies ; les comorbidités de l’insuffisance cardiaque ; le profil épidémiologique des patients présentant une anémie et la stratégie thérapeutique de l’IC associée à l’anémie carentielle.
L’étude a porté sur 122 patients, 50,82% des hommes contre 49,18% des femmes. L’âge moyen est de 67,63 ± 14,33 ans. Le sexe ratio est de 1,03. La prévalence de l’insuffisance cardiaque est de 6,45% durant la période de cette étude. Les hospitalisations pour un 1er épisode d’IC présentent 61,48%, suivi des récidives présentant 38,52%. L’IC à fraction d’éjection réduite est retrouvée chez 55,74% des patients contre 18,03% pour l’IC à FEVG modérément réduite et 26,23% pour l’IC à FEVG préservée. Une fibrillation atriale est présente chez 47,54% contre 52,46% pour le rythme sinusal. L’étiologie valvulaire est la plus fréquente avec un pourcentage de 50% suivie par la cardiomyopathie dilatée avec 20,49% et la cardiomyopathie ischémique avec 17,21%. L’HTA avec son pourcentage de (78,33%) présente le principal facteur de risque cardio-vasculaire, suivi par le diabète (55%) et la dyslipidémie (53,33%). Les comorbidités rapportées sont l’hypothyroïdie (30,33%,) l’hyperthyroïdie (13,11%), les pathologies pulmonaires (40,16%) et les pathologies digestives (11,48%). L’anémie est retrouvée chez 59,02% des patients en insuffisance cardiaque, l’âge moyen des patients anémiques est de 71,45 ±12,60 ans versus l’âge moyen des patients non anémiques 62±14,91 ans. Les malades de sexe féminin sont plus touchés par cette anémie avec un pourcentage de 56,94%. Une fibrillation atriale est retrouvée chez 52,78% des patients anémiques. Une fraction d’éjection du ventricule gauche réduite est retrouvée chez 50% des patients anémiques. Une altération sévère de la fonction rénale est retrouvée chez 22,22% des patients anémiques. La carence martiale est retrouvée chez (64,75%) des patients dont (74,68%) sont anémiques et (25,32%) non anémiques. Le fer oral est prescrit chez 27,85% des patients carentiels, le fer intraveineux est prescrit chez 72,15% des patients carentiels. Parmi les patients rehospitalisés pour récidive d’IC 72,34% sont anémiques versus 27,66% non anémiques. Dans cette étude le décès est observé chez (15,57%) des patients. L’anémie est présente chez (78,95%) des patients décidés dont 53,33% sont des femmes et 46,67% sont des hommes.
L’association insuffisance cardiaque et anémie par carence mariale est fréquente, le pronostic déjà sombre des patients insuffisants cardiaques est plus aggravé par cette anémie et cette carence ; d’où la nécessité de sa prise en charge précoce et adéquate.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M27/2023 M27/2023 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies de l'appareil cardiovasculaire Exclu du prêt Prévalence de l’anémie par carence martiale et sa prise en charge chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque au service de cardiologie du CHU Béjaia / Arroul Sarah
Titre : Prévalence de l’anémie par carence martiale et sa prise en charge chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque au service de cardiologie du CHU Béjaia Type de document : document électronique Auteurs : Arroul Sarah, Auteur ; Kaabache Lamia, Auteur ; Kachenoura Pr. Adjia, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 3,77 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Insuffisance cardiaque Anémie Carence martiale Fer intraveineux Pronostic Index. décimale : 616.1 Maladies de l'appareil cardio-vasculaire Résumé : L’insuffisance cardiaque (IC) est l’incapacité du cœur à assurer un débit correct pour couvrir les besoins de l’organisme ; elle est de prévalence croissante et le plus souvent associée à certaines comorbidités non cardiovasculaires dont l’anémie est la plus fréquente constituant un facteur de mauvais pronostic chez ces patients.
L’objectif principal de ce travail est d’évaluer la prévalence de l’anémie par carence martiale chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque dans le service de cardiologie de Bejaïa ; secondairement décrire le profil épidémiologique, répertorier les étiologies de l’IC chez ces patients et enfin rapporter le protocole de la prise en charge de l’anémie au cours de l’IC au niveau du service de cardiologie du CHU de Bejaïa.
Il s’agit d’une étude observationnelle rétrospective à visée descriptive sur une période de 18 mois allant du 01 août 2021 au 01 janvier 2023.
L’étude s’est déroulée au niveau du service de cardiologie du CHU Khelil Amrane de Bejaïa, elle a inclus les patients hospitalisés durant les 18 mois qui répondent aux critères d’inclusion et d’exclusion et chez qui le diagnostic de l’insuffisance cardiaque est retenu soit 1er épisode ou récidive.
Nous avons étudié la présentation clinique ; les facteurs de risque ; les étiologies ; les comorbidités de l’insuffisance cardiaque ; le profil épidémiologique des patients présentant une anémie et la stratégie thérapeutique de l’IC associée à l’anémie carentielle.
L’étude a porté sur 122 patients, 50,82% des hommes contre 49,18% des femmes. L’âge moyen est de 67,63 ± 14,33 ans. Le sexe ratio est de 1,03. La prévalence de l’insuffisance cardiaque est de 6,45% durant la période de cette étude. Les hospitalisations pour un 1er épisode d’IC présentent 61,48%, suivi des récidives présentant 38,52%. L’IC à fraction d’éjection réduite est retrouvée chez 55,74% des patients contre 18,03% pour l’IC à FEVG modérément réduite et 26,23% pour l’IC à FEVG préservée. Une fibrillation atriale est présente chez 47,54% contre 52,46% pour le rythme sinusal. L’étiologie valvulaire est la plus fréquente avec un pourcentage de 50% suivie par la cardiomyopathie dilatée avec 20,49% et la cardiomyopathie ischémique avec 17,21%. L’HTA avec son pourcentage de (78,33%) présente le principal facteur de risque cardio-vasculaire, suivi par le diabète (55%) et la dyslipidémie (53,33%). Les comorbidités rapportées sont l’hypothyroïdie (30,33%,) l’hyperthyroïdie (13,11%), les pathologies pulmonaires (40,16%) et les pathologies digestives (11,48%). L’anémie est retrouvée chez 59,02% des patients en insuffisance cardiaque, l’âge moyen des patients anémiques est de 71,45 ±12,60 ans versus l’âge moyen des patients non anémiques 62±14,91 ans. Les malades de sexe féminin sont plus touchés par cette anémie avec un pourcentage de 56,94%. Une fibrillation atriale est retrouvée chez 52,78% des patients anémiques. Une fraction d’éjection du ventricule gauche réduite est retrouvée chez 50% des patients anémiques. Une altération sévère de la fonction rénale est retrouvée chez 22,22% des patients anémiques. La carence martiale est retrouvée chez (64,75%) des patients dont (74,68%) sont anémiques et (25,32%) non anémiques. Le fer oral est prescrit chez 27,85% des patients carentiels, le fer intraveineux est prescrit chez 72,15% des patients carentiels. Parmi les patients rehospitalisés pour récidive d’IC 72,34% sont anémiques versus 27,66% non anémiques. Dans cette étude le décès est observé chez (15,57%) des patients. L’anémie est présente chez (78,95%) des patients décidés dont 53,33% sont des femmes et 46,67% sont des hommes.
L’association insuffisance cardiaque et anémie par carence mariale est fréquente, le pronostic déjà sombre des patients insuffisants cardiaques est plus aggravé par cette anémie et cette carence ; d’où la nécessité de sa prise en charge précoce et adéquate.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Prévalence de l’anémie par carence martiale et sa prise en charge chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque au service de cardiologie du CHU Béjaia [document électronique] / Arroul Sarah, Auteur ; Kaabache Lamia, Auteur ; Kachenoura Pr. Adjia, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 3,77 Mo : ill. ; Pdf.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Insuffisance cardiaque Anémie Carence martiale Fer intraveineux Pronostic Index. décimale : 616.1 Maladies de l'appareil cardio-vasculaire Résumé : L’insuffisance cardiaque (IC) est l’incapacité du cœur à assurer un débit correct pour couvrir les besoins de l’organisme ; elle est de prévalence croissante et le plus souvent associée à certaines comorbidités non cardiovasculaires dont l’anémie est la plus fréquente constituant un facteur de mauvais pronostic chez ces patients.
L’objectif principal de ce travail est d’évaluer la prévalence de l’anémie par carence martiale chez les patients hospitalisés pour insuffisance cardiaque dans le service de cardiologie de Bejaïa ; secondairement décrire le profil épidémiologique, répertorier les étiologies de l’IC chez ces patients et enfin rapporter le protocole de la prise en charge de l’anémie au cours de l’IC au niveau du service de cardiologie du CHU de Bejaïa.
Il s’agit d’une étude observationnelle rétrospective à visée descriptive sur une période de 18 mois allant du 01 août 2021 au 01 janvier 2023.
L’étude s’est déroulée au niveau du service de cardiologie du CHU Khelil Amrane de Bejaïa, elle a inclus les patients hospitalisés durant les 18 mois qui répondent aux critères d’inclusion et d’exclusion et chez qui le diagnostic de l’insuffisance cardiaque est retenu soit 1er épisode ou récidive.
Nous avons étudié la présentation clinique ; les facteurs de risque ; les étiologies ; les comorbidités de l’insuffisance cardiaque ; le profil épidémiologique des patients présentant une anémie et la stratégie thérapeutique de l’IC associée à l’anémie carentielle.
L’étude a porté sur 122 patients, 50,82% des hommes contre 49,18% des femmes. L’âge moyen est de 67,63 ± 14,33 ans. Le sexe ratio est de 1,03. La prévalence de l’insuffisance cardiaque est de 6,45% durant la période de cette étude. Les hospitalisations pour un 1er épisode d’IC présentent 61,48%, suivi des récidives présentant 38,52%. L’IC à fraction d’éjection réduite est retrouvée chez 55,74% des patients contre 18,03% pour l’IC à FEVG modérément réduite et 26,23% pour l’IC à FEVG préservée. Une fibrillation atriale est présente chez 47,54% contre 52,46% pour le rythme sinusal. L’étiologie valvulaire est la plus fréquente avec un pourcentage de 50% suivie par la cardiomyopathie dilatée avec 20,49% et la cardiomyopathie ischémique avec 17,21%. L’HTA avec son pourcentage de (78,33%) présente le principal facteur de risque cardio-vasculaire, suivi par le diabète (55%) et la dyslipidémie (53,33%). Les comorbidités rapportées sont l’hypothyroïdie (30,33%,) l’hyperthyroïdie (13,11%), les pathologies pulmonaires (40,16%) et les pathologies digestives (11,48%). L’anémie est retrouvée chez 59,02% des patients en insuffisance cardiaque, l’âge moyen des patients anémiques est de 71,45 ±12,60 ans versus l’âge moyen des patients non anémiques 62±14,91 ans. Les malades de sexe féminin sont plus touchés par cette anémie avec un pourcentage de 56,94%. Une fibrillation atriale est retrouvée chez 52,78% des patients anémiques. Une fraction d’éjection du ventricule gauche réduite est retrouvée chez 50% des patients anémiques. Une altération sévère de la fonction rénale est retrouvée chez 22,22% des patients anémiques. La carence martiale est retrouvée chez (64,75%) des patients dont (74,68%) sont anémiques et (25,32%) non anémiques. Le fer oral est prescrit chez 27,85% des patients carentiels, le fer intraveineux est prescrit chez 72,15% des patients carentiels. Parmi les patients rehospitalisés pour récidive d’IC 72,34% sont anémiques versus 27,66% non anémiques. Dans cette étude le décès est observé chez (15,57%) des patients. L’anémie est présente chez (78,95%) des patients décidés dont 53,33% sont des femmes et 46,67% sont des hommes.
L’association insuffisance cardiaque et anémie par carence mariale est fréquente, le pronostic déjà sombre des patients insuffisants cardiaques est plus aggravé par cette anémie et cette carence ; d’où la nécessité de sa prise en charge précoce et adéquate.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM27/2023 CDM27/2023 Mémoire Electonique Salle de consultation sur place Maladies de l'appareil cardiovasculaire Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Prévalence de l’anémie par carence martiale et sa prise en chargeURL Cancer bronchique primitif / Imene Bouhraoua
Titre : Cancer bronchique primitif : profil épidémiologique au sein du service de pneumologie CHU de Bejaia Type de document : texte imprimé Auteurs : Imene Bouhraoua, Auteur ; Nadjet Meziane, Auteur ; Hadj Mohand Dr. Fariza, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2019 Importance : 1 vol. (152 f.) Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Cancer bronchique primitif Chirurgie Chimiothérapie Traitement palliatif Pronostic Mortalité Index. décimale : 616.99 Tumeurs et maladies diverses Résumé : Le cancer bronchique est un problème de santé publique, car son incidence ne cesse d’augmenter. Il constitue la première cause de mortalité chez l’homme à l’échelle mondiale. L’objectif de ce travail était de décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, diagnostiques, thérapeutiques et pronostiques du cancer bronchique au sein du service de pneumologie du CHU de Bejaia.
Cette étude a porté sur 83 cas de cancer bronchique colligés au service de pneumologie du centre hospitalier universitaire de Bejaïa, sur une période de 03 ans, allant de Janvier 2016 à Décembre 2018.
Les caractéristiques générales dans notre série rejoignent globalement les constats des autres séries nationales et internationales. Le délai de consultation prolongé et la fréquence des signes cliniques respiratoire et extra-respiratoire évoquant une extension locorégionale et à distance de la maladie et les données des examens para cliniques témoignent d’un retard diagnostique rendant ainsi les possibilités thérapeutiques très limitées.
Au terme de cette étude il ressort le retard diagnostique des CBP, le taux faible d’opérabilité et le taux de survie retrouvés médiocres. D’où la nécessité du dépistage précoce et d’une prévention basée sur la lutte antitabac.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Cancer bronchique primitif : profil épidémiologique au sein du service de pneumologie CHU de Bejaia [texte imprimé] / Imene Bouhraoua, Auteur ; Nadjet Meziane, Auteur ; Hadj Mohand Dr. Fariza, Directeur de thèse . - [S.l.] : Béjaia : Université de Béjaia, 2019 . - 1 vol. (152 f.) : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Cancer bronchique primitif Chirurgie Chimiothérapie Traitement palliatif Pronostic Mortalité Index. décimale : 616.99 Tumeurs et maladies diverses Résumé : Le cancer bronchique est un problème de santé publique, car son incidence ne cesse d’augmenter. Il constitue la première cause de mortalité chez l’homme à l’échelle mondiale. L’objectif de ce travail était de décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, diagnostiques, thérapeutiques et pronostiques du cancer bronchique au sein du service de pneumologie du CHU de Bejaia.
Cette étude a porté sur 83 cas de cancer bronchique colligés au service de pneumologie du centre hospitalier universitaire de Bejaïa, sur une période de 03 ans, allant de Janvier 2016 à Décembre 2018.
Les caractéristiques générales dans notre série rejoignent globalement les constats des autres séries nationales et internationales. Le délai de consultation prolongé et la fréquence des signes cliniques respiratoire et extra-respiratoire évoquant une extension locorégionale et à distance de la maladie et les données des examens para cliniques témoignent d’un retard diagnostique rendant ainsi les possibilités thérapeutiques très limitées.
Au terme de cette étude il ressort le retard diagnostique des CBP, le taux faible d’opérabilité et le taux de survie retrouvés médiocres. D’où la nécessité du dépistage précoce et d’une prévention basée sur la lutte antitabac.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M26/2019 M26/2019 Mémoire Salle de consultation sur place Tumeurs et maladies diverses Exclu du prêt Permalink