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dc.contributor.authorCheballah, Farid-
dc.contributor.authorSadaoui, Karim-
dc.contributor.authorMerzeg, Abdelkader ; promoteur-
dc.date.accessioned2018-01-25T08:29:39Z-
dc.date.available2018-01-25T08:29:39Z-
dc.date.issued2014-
dc.identifier.urihttp://univ-bejaia.dz/dspace/123456789/6415-
dc.descriptionArchitecture ville et territoireen_US
dc.description.abstractNotre travail de recherche sur le thème L’HABITAT COLLECTIF COLONIAL ENTRE ESPACE CON?U (PENSE) ET ESPACE HABITE (VECU) que nous avons mené consiste dans un sens à contribuer ne serait-ce que de loin a apporter un plus sur la problématique de la qualité architectural en Algérie notamment celle de l’habitat. Le constat alarmant sur la question nous a poussés à orienter notre réflexion sur l’habitat social collectif colonial réalisée dans le courant du Mouvement Moderne, dans le but d’en tirer profit pour la production architectural future. Nous avons dans un premier temps cibler notre problématique sur la question de la qualité architectural qui implique une réponse préalable que nous avons recherché dans notre héritage colonial en terme de l’habitat et de faire le lien entre le pensé des architectes et concepteurs de cette époque et le vécu des gens. Sur ce point s’explique notre démarche de travail. En second lieu, pour mieux cerner le sujet nous avons essayé comprendre l’histoire de l’habitat collectif social et leurs évolutions a traves le temps, les grands ensembles, le mouvement moderne et les déférentes tendances qui ont marqué ce mouvement. La troisième étape consiste à chercher dans le courant moderne en commençant a décrire son origine et ses différents utopie ,et les solutions qui avait pour les différentes crise de l’époque en matière de logement, ainsi les différents principes selon les écoles fondatrice de ce mouvement ,dont on cite l’école du Bauhaus et l’école corbuséenne et leur différents fondement théorique ,et dans la mesure de mieux récapituler les principe de la théorie moderniste nous avons touchez a la charte d’Athènes dont on trouve regrouper tous les principes du mouvement moderne. Apres a cette lecture historique et théorique de l’habitat collectif social et du mouvement moderne notre sujet s’est tourné sur le courant moderniste en Algérie, ces pionniers, leurs visions et leurs intentions. Et en final nous illustrant cette nouvelle identité architecturale apporter par ces moderniste, par deux exemple réalisés de Roland simounet dans Djenane Elhassaneet les Maisons de la montagne, et qui sont témoin de la mise en application de l’architecture moderne en Algérie, et par la suite plusieurs programme d’habitat collectif qui se dérivent de ses principes ont vu le jour dans toute l’Algérie suite au lancement du Plan de Constantine, comme dans notre cas la citéAmimoune. En étudiant ce cas, nous passons de la phase théorique (pensé) pour entamer la phase pratique (vécu). Dans ce chapitre le but est d’analyser les impacts de ces théories sur le vécu des occupants. Nous commençant d’abord par appréhender la question du pensé et le vécu qui est assez complexe. En seconde partie nous entamons notre cas d’étude qui est la cite Amimoune par une présentation du projet, les intentions de l’architecte envers cette réalisation, ce qui est primordiale pour comprendre l’objectif et les résultats attendus avant la construction de la cité, par la suite une analyse du cadre physique de la cité, on partant de l’organisation et la disposition du plan de masse ,étude des espaces extérieurs ,étude des plans de cellules ,et des façades d’une manière a ressortir les différents principes utilises pour pouvoir par la suite les comparer avec les principes déjà cités dans la partie du fondement théoriques et l’enquête qu’on a mené sur terrain . Dans l’étape suivante nous effectuons une enquête sur terrain sur la base d’un questionnaire établi d’une Façon à dégager les sentiments et les impressions des occupants ainsi que l’impact des espaces occupé par ces derniers sur leurs psychologies. En final, une confrontation entre le pensé découler des intentions de l’architecte et le vécu des gens résumé dans l’enquête in-situ, dans le but de vérifier notre hypothèse élaboré au début de notre travail de recherche. Cependant les résultats obtenu témoignent que notre hypothèse est partiellement vérifiable dans la mesure où nous avons constaté lors de notre entretien un certain degré de satisfaction chez les habitants concernant pas mal de point cité déjà lors de notre phase théorique à titre d’exemple l’ensoleillement, la hiérarchisation des espaces, différencier les espaces de circulation…etc. Cela dit nous avons enregistré des réponses défavorable de la par des habitats vue que la réalisation de la cité Amimoune était destinéeà loger le maximum de gens ,donc la question de l’économie dans les dimensions des espaces intérieures donne un impact chaotique sur le vécu des habitants en termes de confort, et ajouter que l’architecture moderne introduite brusquement dans la société traditionnel des autochtones (les occupants) engendre une certaine fracture dans exploitations des espaces comme l’exemple de l’espace du séjour et la cuisine qui forme une seul ,ce qui en contradiction avec les espaces de traditionnel de habitat ,et pour les espaces dégagés de grande surface dont les habitants ne peuvent pas l’exploiter d’une manière à laquelle il a était destinée comme les jardins public , Ajoutant que même si le mouvement moderne n’a pas pris la dimension de l’espace commun dans ces théories ,cette cité assure d’une manière même faible la vie en société par rapport aux changement appliqués sur l’architecture moderne en Algérie qui s’illustre dans notre cas d’étude, les coursives qui jouait le rôle de terrasse commune et qui sont ouvertes situé a intérieure de la cites et le tout donne une certaine intimité aux habitants du même quartier et résulte une certaine sensation de chez soi une fois entrer à l’intérieure de la cites. Pour conclure, nous pouvons dire que désormais cet héritage de l’habitat social collectif de la période coloniale représente une source intéressante de potentialités pouvant participer à construire un fond de ressources pour les réalisations de même type (habitat collectif), cela de par les principes qu’ils dégagent, principes en relation directe avec l’environnement bâti, les relations sociales liées au vécu, le paysage, le climat et bien d’autres éléments absent des productions actuelles dans ce domaine.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisheruniversité Abderahmane Mira Bejaiaen_US
dc.subjectHabitat collectif : Cité Amimouneen_US
dc.titleL'habitat collectif colonial entre espace conçu(pensé) et espace habité (vecu)- cas de la cité Amimouche à Béjaia.en_US
dc.typeThesisen_US
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