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Auteur Taazibet Ahmed
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Grossesse extra utérine / Taazibet Ahmed
Titre : Grossesse extra utérine Type de document : texte imprimé Auteurs : Taazibet Ahmed, Auteur ; Ait Kheddache Khellaf, Auteur ; Dr. Allaoua, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2015 Importance : 1 vol. (104 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Grossesse Grossesse extra utérine Index. décimale : 618 Autres branches de la médecine . Gynécologie et obstétrique Résumé : A travers cette étude rétrospective portant sur 39 cas de GEU colligés à la maternité de CHU de Béjaia durant la période allant du janvier 2014 au décembre 2014, nous constatons que: La GEU reste une affection relativement fréquente chez nous avec un taux de 0.48%. La tranche d’âge la plus touchée par cette pathologie se situe entre 20 et 30 ans avec une fréquence de 46%.
Les nullipares sont les plus concernées sans négliger les multipares.
Les facteurs de risque les plus fréquentes des GEU sont : les interventions chirurgicales
et les antécédents de GEU.
La triade classique : douleur ; aménorrhée ; métrorragie a été révélatrice dans près de 53,8 %. Cependant, il faut penser à la GEU devant l’association de 2 ou même un seul signe clinique chez une femme jeune surtout si elle présente des facteurs de risque.
Sur le plan para clinique : l’échographie et le dosage de HCG plasmatiques sont d’un grand apport pour le diagnostic positif. La grande majorité des GEU était localisée au niveau tubaire et particulièrement au niveau ampullaire : 53,84%.
Le traitement chirurgical par laparotomie a été radical dans 72%. Il n’a été conservateur que dans 28% des cas, 5% des patientes étaient sujettes à l’abstention thérapeutique, les suites opératoires étaient simples pour la majorité des patientes.
Le devenir obstétrical n’a pu être précisé : la totalité des patientes ont été perdues de vue.
Toutes ces données permettent de mettre le point sur l’importance du diagnostic précoce, le suivi gynéco obstétrical des femmes en âge de procréer, le traitement efficace de la pathologie tubaire surtout par le traitement adéquat les IST pour réduire ainsi la fréquence des GEU.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Doctorat en médecine Grossesse extra utérine [texte imprimé] / Taazibet Ahmed, Auteur ; Ait Kheddache Khellaf, Auteur ; Dr. Allaoua, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2015 . - 1 vol. (104 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Grossesse Grossesse extra utérine Index. décimale : 618 Autres branches de la médecine . Gynécologie et obstétrique Résumé : A travers cette étude rétrospective portant sur 39 cas de GEU colligés à la maternité de CHU de Béjaia durant la période allant du janvier 2014 au décembre 2014, nous constatons que: La GEU reste une affection relativement fréquente chez nous avec un taux de 0.48%. La tranche d’âge la plus touchée par cette pathologie se situe entre 20 et 30 ans avec une fréquence de 46%.
Les nullipares sont les plus concernées sans négliger les multipares.
Les facteurs de risque les plus fréquentes des GEU sont : les interventions chirurgicales
et les antécédents de GEU.
La triade classique : douleur ; aménorrhée ; métrorragie a été révélatrice dans près de 53,8 %. Cependant, il faut penser à la GEU devant l’association de 2 ou même un seul signe clinique chez une femme jeune surtout si elle présente des facteurs de risque.
Sur le plan para clinique : l’échographie et le dosage de HCG plasmatiques sont d’un grand apport pour le diagnostic positif. La grande majorité des GEU était localisée au niveau tubaire et particulièrement au niveau ampullaire : 53,84%.
Le traitement chirurgical par laparotomie a été radical dans 72%. Il n’a été conservateur que dans 28% des cas, 5% des patientes étaient sujettes à l’abstention thérapeutique, les suites opératoires étaient simples pour la majorité des patientes.
Le devenir obstétrical n’a pu être précisé : la totalité des patientes ont été perdues de vue.
Toutes ces données permettent de mettre le point sur l’importance du diagnostic précoce, le suivi gynéco obstétrical des femmes en âge de procréer, le traitement efficace de la pathologie tubaire surtout par le traitement adéquat les IST pour réduire ainsi la fréquence des GEU.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Doctorat en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M44/2015 M44/2015 Mémoire Salle de consultation sur place Gynécologie-Obstétrique-Pédiatrie et Gériatrie Exclu du prêt
Titre : Grossesse extra utérine Type de document : document électronique Auteurs : Taazibet Ahmed, Auteur ; Ait Kheddache Khellaf, Auteur ; Dr. Allaoua, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Université de Béjaia Année de publication : 2015 Importance : 17,5 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : Grossesse Grossesse extra utérine Index. décimale : 618 Autres branches de la médecine . Gynécologie et obstétrique Résumé : A travers cette étude rétrospective portant sur 39 cas de GEU colligés à la maternité de CHU de Bejaia durant la période allant du janvier 2014 au décembre 2014, nous constatons que: La GEU reste une affection relativement fréquente chez nous avec un taux de 0.48%. La tranche d’âge la plus touchée par cette pathologie se situe entre 20 et 30 ans avec une fréquence de 46%.
Les nullipares sont les plus concernées sans négliger les multipares.
Les facteurs de risque les plus fréquentes des GEU sont : les interventions chirurgicales
et les antécédents de GEU.
La triade classique : douleur ; aménorrhée ; métrorragie a été révélatrice dans près de 53,8 %. Cependant, il faut penser à la GEU devant l’association de 2 ou même un seul signe clinique chez une femme jeune surtout si elle présente des facteurs de risque.
Sur le plan para clinique : l’échographie et le dosage de HCG plasmatiques sont d’un grand apport pour le diagnostic positif. La grande majorité des GEU était localisée au niveau tubaire et particulièrement au niveau ampullaire : 53,84%.
Le traitement chirurgical par laparotomie a été radical dans 72%. il n’a été conservateur que dans 28% des cas, 5% des patientes étaient sujettes à l’abstention thérapeutique, les suites opératoires étaient simples pour la majorité des patientes.
Le devenir obstétrical n’a pu être précisé : la totalité des patientes ont été perdues de vue.
Toutes ces données permettent de mettre le point sur l’importance du diagnostic précoce, le suivi gynéco obstétrical des femmes en âge de procréer, le traitement efficace de la pathologie tubaire surtout par le traitement adéquat les IST pour réduire ainsi la fréquence des GEU.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Doctorat en médecine Grossesse extra utérine [document électronique] / Taazibet Ahmed, Auteur ; Ait Kheddache Khellaf, Auteur ; Dr. Allaoua, Directeur de thèse . - Béjaia : Université de Béjaia, 2015 . - 17,5 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Mots-clés : Grossesse Grossesse extra utérine Index. décimale : 618 Autres branches de la médecine . Gynécologie et obstétrique Résumé : A travers cette étude rétrospective portant sur 39 cas de GEU colligés à la maternité de CHU de Bejaia durant la période allant du janvier 2014 au décembre 2014, nous constatons que: La GEU reste une affection relativement fréquente chez nous avec un taux de 0.48%. La tranche d’âge la plus touchée par cette pathologie se situe entre 20 et 30 ans avec une fréquence de 46%.
Les nullipares sont les plus concernées sans négliger les multipares.
Les facteurs de risque les plus fréquentes des GEU sont : les interventions chirurgicales
et les antécédents de GEU.
La triade classique : douleur ; aménorrhée ; métrorragie a été révélatrice dans près de 53,8 %. Cependant, il faut penser à la GEU devant l’association de 2 ou même un seul signe clinique chez une femme jeune surtout si elle présente des facteurs de risque.
Sur le plan para clinique : l’échographie et le dosage de HCG plasmatiques sont d’un grand apport pour le diagnostic positif. La grande majorité des GEU était localisée au niveau tubaire et particulièrement au niveau ampullaire : 53,84%.
Le traitement chirurgical par laparotomie a été radical dans 72%. il n’a été conservateur que dans 28% des cas, 5% des patientes étaient sujettes à l’abstention thérapeutique, les suites opératoires étaient simples pour la majorité des patientes.
Le devenir obstétrical n’a pu être précisé : la totalité des patientes ont été perdues de vue.
Toutes ces données permettent de mettre le point sur l’importance du diagnostic précoce, le suivi gynéco obstétrical des femmes en âge de procréer, le traitement efficace de la pathologie tubaire surtout par le traitement adéquat les IST pour réduire ainsi la fréquence des GEU.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme Doctorat en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM44/2015 CDM44/2015 Mémoire Electonique Salle multimédia Gynécologie-Obstétrique-Pédiatrie et Gériatrie Exclu du prêt Documents numériques
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