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Auteur Belloul Pr.Meriem
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Les hépatites auto-immunes / Djallil Assia
Titre : Les hépatites auto-immunes Type de document : texte imprimé Auteurs : Djallil Assia, Auteur ; Meroul Wissem, Auteur ; Belloul Pr.Meriem, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (155 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Hépatites auto-immunes Maladie du foie Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : L’hépatite auto-immune est une maladie inflammatoire du foie d’origine dysimmunitaire, d’étiologie non encore connue, qui touche principalement les femmes d’âge jeune. Elle peut avoir un large éventail de présentations cliniques allant des formes asymptomatiques à l'insuffisance hépatique aiguë sévère. Les éléments du diagnostic et les modalités du
traitement sont actuellement bien codifiés. Les traitements disponibles sont efficaces, mais de beaucoup d’effets secondaires leurs sont associés. En absence de traitement, la maladie est fatale.
L’objectif global de ce projet est de déterminer le profil épidémiologique, clinique, paraclinique, évolutif et thérapeutique des patients atteints d’HAI au niveau de l’unité d’Hépato-Gastro-entérologie du CHU de Khelil Amrane de Bejaia depuis sa création en 2014.
Ce travail était une étude descriptive transversale, ayant porté sur 22 patients atteints d’HAI quel que soit son stade, et qu’elle soit associé ou non à d’autres maladies. Par l’intermédiaire d’un questionnaire, des données anamnestiques, cliniques, paracliniques et thérapeutiques ont été recueillis.
Cette étude a répertorié 22 cas, il s’agissait de 20 femmes et 02 hommes, le sexe ratio était de 0.1, l’âge moyen au diagnostic était de 43.7ans pour les deux sexes confondues. 55% des patients avaient un terrain d’auto-immunités connue dont (13.6%) avaient un lupus, la thyroïdite auto immune a été notée chez (9%), la maladie cœliaque chez (9%);le syndrome sec chez (9%), Les autres maladies étaient retrouvées à des taux moindres notamment : la PR, le diabète type 1, AHAI, le vitiligo, PTI.
31.18% de nos patients étaient asymptomatiques au moment du diagnostic et 68.18% étaient symptomatiques, les symptômes les plus fréquents étaient l’asthénie retrouvée chez ( 63.63 %) suivi de l’ictère noté chez (54.5%).
Le bilan biologique a retrouvé : une cytolyse hépatique chez (95.45%) de nos patients,(64%) et une cholestase associée chez (64%).
Selon les résultats du bilan immunologique nous avons retrouvé HAI type 1 chez (81.81%) des patients, HAI type 2 chez (4.54%), et chez (13.63%) HAI était séronégative.
Les AAN étaient le plus souvent positifs dans (72.3 %) des cas, suivi des anticorps anti-muscle lisse qui étaient positifs chez (50%) des cas, les AC anti LKM et les AC anti SLA étaient positifs chez (9 %) des cas, alors que AC anti LC1 ont été positifs que chez (4.5%) des cas.
L’échographie abdomino- pelvienne a été réalisée chez (90.9%) ; revenant en faveur Un foie dysmorphique compatible avec une cirrhose dans (55%) des cas, une ascite et une splénomégalie ont été retrouvée chez (30%) des cas.
La FOGD a été réalisée chez (63%) des cas objectivant des signes d’hypertension portale chez (71.4%) des cas et une gastrite à HP chez (21.42%) des cas.
La biopsie hépatique a été réalisée chez (68.18%) de nos patients ayant retrouvé une Infiltration lymphoplasmocytaire chez (100%) des cas, une nécrose en pont chez (73.3%), une hépatite d’interface chez (60%) des cas ; un foie de cirrhose a été noté chez (46.6%) des cas.
Un syndrome de chevauchement a été retrouvé chez (63.6%) des cas, dont (78.6%) c’était HAI_CBP et dans (21.4%) c’était une association HAI_CSP.
(95.4%) des patients ont été traitées. (81.81%) étaient sous combo thérapie et (13.63%) entaient sous mono thérapie.
AUDC a été introduit en association au traitement d’HAI chez (63.63 %) des cas atteints de syndrome de chevauchement.
Des effets secondaires au traitement ont été notés chez (54.5%) des cas.
Une rémission a été notée chez (68.18%) des cas, une réponse incomplète chez (16.6%) et une rechute chez (4.5%) des cas.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Les hépatites auto-immunes [texte imprimé] / Djallil Assia, Auteur ; Meroul Wissem, Auteur ; Belloul Pr.Meriem, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (155 f.) : ill. ; 30 cm.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Hépatites auto-immunes Maladie du foie Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : L’hépatite auto-immune est une maladie inflammatoire du foie d’origine dysimmunitaire, d’étiologie non encore connue, qui touche principalement les femmes d’âge jeune. Elle peut avoir un large éventail de présentations cliniques allant des formes asymptomatiques à l'insuffisance hépatique aiguë sévère. Les éléments du diagnostic et les modalités du
traitement sont actuellement bien codifiés. Les traitements disponibles sont efficaces, mais de beaucoup d’effets secondaires leurs sont associés. En absence de traitement, la maladie est fatale.
L’objectif global de ce projet est de déterminer le profil épidémiologique, clinique, paraclinique, évolutif et thérapeutique des patients atteints d’HAI au niveau de l’unité d’Hépato-Gastro-entérologie du CHU de Khelil Amrane de Bejaia depuis sa création en 2014.
Ce travail était une étude descriptive transversale, ayant porté sur 22 patients atteints d’HAI quel que soit son stade, et qu’elle soit associé ou non à d’autres maladies. Par l’intermédiaire d’un questionnaire, des données anamnestiques, cliniques, paracliniques et thérapeutiques ont été recueillis.
Cette étude a répertorié 22 cas, il s’agissait de 20 femmes et 02 hommes, le sexe ratio était de 0.1, l’âge moyen au diagnostic était de 43.7ans pour les deux sexes confondues. 55% des patients avaient un terrain d’auto-immunités connue dont (13.6%) avaient un lupus, la thyroïdite auto immune a été notée chez (9%), la maladie cœliaque chez (9%);le syndrome sec chez (9%), Les autres maladies étaient retrouvées à des taux moindres notamment : la PR, le diabète type 1, AHAI, le vitiligo, PTI.
31.18% de nos patients étaient asymptomatiques au moment du diagnostic et 68.18% étaient symptomatiques, les symptômes les plus fréquents étaient l’asthénie retrouvée chez ( 63.63 %) suivi de l’ictère noté chez (54.5%).
Le bilan biologique a retrouvé : une cytolyse hépatique chez (95.45%) de nos patients,(64%) et une cholestase associée chez (64%).
Selon les résultats du bilan immunologique nous avons retrouvé HAI type 1 chez (81.81%) des patients, HAI type 2 chez (4.54%), et chez (13.63%) HAI était séronégative.
Les AAN étaient le plus souvent positifs dans (72.3 %) des cas, suivi des anticorps anti-muscle lisse qui étaient positifs chez (50%) des cas, les AC anti LKM et les AC anti SLA étaient positifs chez (9 %) des cas, alors que AC anti LC1 ont été positifs que chez (4.5%) des cas.
L’échographie abdomino- pelvienne a été réalisée chez (90.9%) ; revenant en faveur Un foie dysmorphique compatible avec une cirrhose dans (55%) des cas, une ascite et une splénomégalie ont été retrouvée chez (30%) des cas.
La FOGD a été réalisée chez (63%) des cas objectivant des signes d’hypertension portale chez (71.4%) des cas et une gastrite à HP chez (21.42%) des cas.
La biopsie hépatique a été réalisée chez (68.18%) de nos patients ayant retrouvé une Infiltration lymphoplasmocytaire chez (100%) des cas, une nécrose en pont chez (73.3%), une hépatite d’interface chez (60%) des cas ; un foie de cirrhose a été noté chez (46.6%) des cas.
Un syndrome de chevauchement a été retrouvé chez (63.6%) des cas, dont (78.6%) c’était HAI_CBP et dans (21.4%) c’était une association HAI_CSP.
(95.4%) des patients ont été traitées. (81.81%) étaient sous combo thérapie et (13.63%) entaient sous mono thérapie.
AUDC a été introduit en association au traitement d’HAI chez (63.63 %) des cas atteints de syndrome de chevauchement.
Des effets secondaires au traitement ont été notés chez (54.5%) des cas.
Une rémission a été notée chez (68.18%) des cas, une réponse incomplète chez (16.6%) et une rechute chez (4.5%) des cas.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M17/2023 M17/2023 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies du système digestif.Gastro-entérologie Exclu du prêt
Titre : Les hépatites auto-immunes Type de document : document électronique Auteurs : Djallil Assia, Auteur ; Meroul Wissem, Auteur ; Belloul Pr.Meriem, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 4,85 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Hépatites auto-immunes Maladie du foie Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : L’hépatite auto-immune est une maladie inflammatoire du foie d’origine dysimmunitaire, d’étiologie non encore connue, qui touche principalement les femmes d’âge jeune. Elle peut avoir un large éventail de présentations cliniques allant des formes asymptomatiques à l'insuffisance hépatique aiguë sévère. Les éléments du diagnostic et les modalités du
traitement sont actuellement bien codifiés. Les traitements disponibles sont efficaces, mais de beaucoup d’effets secondaires leurs sont associés. En absence de traitement, la maladie est fatale.
L’objectif global de ce projet est de déterminer le profil épidémiologique, clinique, paraclinique, évolutif et thérapeutique des patients atteints d’HAI au niveau de l’unité d’Hépato-Gastro-entérologie du CHU de Khelil Amrane de Bejaia depuis sa création en 2014.
Ce travail était une étude descriptive transversale, ayant porté sur 22 patients atteints d’HAI quel que soit son stade, et qu’elle soit associé ou non à d’autres maladies. Par l’intermédiaire d’un questionnaire, des données anamnestiques, cliniques, paracliniques et thérapeutiques ont été recueillis.
Cette étude a répertorié 22 cas, il s’agissait de 20 femmes et 02 hommes, le sexe ratio était de 0.1, l’âge moyen au diagnostic était de 43.7ans pour les deux sexes confondues. 55% des patients avaient un terrain d’auto-immunités connue dont (13.6%) avaient un lupus, la thyroïdite auto immune a été notée chez (9%), la maladie cœliaque chez (9%);le syndrome sec chez (9%), Les autres maladies étaient retrouvées à des taux moindres notamment : la PR, le diabète type 1, AHAI, le vitiligo, PTI.
31.18% de nos patients étaient asymptomatiques au moment du diagnostic et 68.18% étaient symptomatiques, les symptômes les plus fréquents étaient l’asthénie retrouvée chez ( 63.63 %) suivi de l’ictère noté chez (54.5%).
Le bilan biologique a retrouvé : une cytolyse hépatique chez (95.45%) de nos patients,(64%) et une cholestase associée chez (64%).
Selon les résultats du bilan immunologique nous avons retrouvé HAI type 1 chez (81.81%) des patients, HAI type 2 chez (4.54%), et chez (13.63%) HAI était séronégative.
Les AAN étaient le plus souvent positifs dans (72.3 %) des cas, suivi des anticorps anti-muscle lisse qui étaient positifs chez (50%) des cas, les AC anti LKM et les AC anti SLA étaient positifs chez (9 %) des cas, alors que AC anti LC1 ont été positifs que chez (4.5%) des cas.
L’échographie abdomino- pelvienne a été réalisée chez (90.9%) ; revenant en faveur Un foie dysmorphique compatible avec une cirrhose dans (55%) des cas, une ascite et une splénomégalie ont été retrouvée chez (30%) des cas.
La FOGD a été réalisée chez (63%) des cas objectivant des signes d’hypertension portale chez (71.4%) des cas et une gastrite à HP chez (21.42%) des cas.
La biopsie hépatique a été réalisée chez (68.18%) de nos patients ayant retrouvé une Infiltration lymphoplasmocytaire chez (100%) des cas, une nécrose en pont chez (73.3%), une hépatite d’interface chez (60%) des cas ; un foie de cirrhose a été noté chez (46.6%) des cas.
Un syndrome de chevauchement a été retrouvé chez (63.6%) des cas, dont (78.6%) c’était HAI_CBP et dans (21.4%) c’était une association HAI_CSP.
(95.4%) des patients ont été traitées. (81.81%) étaient sous combo thérapie et (13.63%) entaient sous mono thérapie.
AUDC a été introduit en association au traitement d’HAI chez (63.63 %) des cas atteints de syndrome de chevauchement.
Des effets secondaires au traitement ont été notés chez (54.5%) des cas.
Une rémission a été notée chez (68.18%) des cas, une réponse incomplète chez (16.6%) et une rechute chez (4.5%) des cas.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Les hépatites auto-immunes [document électronique] / Djallil Assia, Auteur ; Meroul Wissem, Auteur ; Belloul Pr.Meriem, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 4,85 Mo : ill. ; Pdf.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Hépatites auto-immunes Maladie du foie Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : L’hépatite auto-immune est une maladie inflammatoire du foie d’origine dysimmunitaire, d’étiologie non encore connue, qui touche principalement les femmes d’âge jeune. Elle peut avoir un large éventail de présentations cliniques allant des formes asymptomatiques à l'insuffisance hépatique aiguë sévère. Les éléments du diagnostic et les modalités du
traitement sont actuellement bien codifiés. Les traitements disponibles sont efficaces, mais de beaucoup d’effets secondaires leurs sont associés. En absence de traitement, la maladie est fatale.
L’objectif global de ce projet est de déterminer le profil épidémiologique, clinique, paraclinique, évolutif et thérapeutique des patients atteints d’HAI au niveau de l’unité d’Hépato-Gastro-entérologie du CHU de Khelil Amrane de Bejaia depuis sa création en 2014.
Ce travail était une étude descriptive transversale, ayant porté sur 22 patients atteints d’HAI quel que soit son stade, et qu’elle soit associé ou non à d’autres maladies. Par l’intermédiaire d’un questionnaire, des données anamnestiques, cliniques, paracliniques et thérapeutiques ont été recueillis.
Cette étude a répertorié 22 cas, il s’agissait de 20 femmes et 02 hommes, le sexe ratio était de 0.1, l’âge moyen au diagnostic était de 43.7ans pour les deux sexes confondues. 55% des patients avaient un terrain d’auto-immunités connue dont (13.6%) avaient un lupus, la thyroïdite auto immune a été notée chez (9%), la maladie cœliaque chez (9%);le syndrome sec chez (9%), Les autres maladies étaient retrouvées à des taux moindres notamment : la PR, le diabète type 1, AHAI, le vitiligo, PTI.
31.18% de nos patients étaient asymptomatiques au moment du diagnostic et 68.18% étaient symptomatiques, les symptômes les plus fréquents étaient l’asthénie retrouvée chez ( 63.63 %) suivi de l’ictère noté chez (54.5%).
Le bilan biologique a retrouvé : une cytolyse hépatique chez (95.45%) de nos patients,(64%) et une cholestase associée chez (64%).
Selon les résultats du bilan immunologique nous avons retrouvé HAI type 1 chez (81.81%) des patients, HAI type 2 chez (4.54%), et chez (13.63%) HAI était séronégative.
Les AAN étaient le plus souvent positifs dans (72.3 %) des cas, suivi des anticorps anti-muscle lisse qui étaient positifs chez (50%) des cas, les AC anti LKM et les AC anti SLA étaient positifs chez (9 %) des cas, alors que AC anti LC1 ont été positifs que chez (4.5%) des cas.
L’échographie abdomino- pelvienne a été réalisée chez (90.9%) ; revenant en faveur Un foie dysmorphique compatible avec une cirrhose dans (55%) des cas, une ascite et une splénomégalie ont été retrouvée chez (30%) des cas.
La FOGD a été réalisée chez (63%) des cas objectivant des signes d’hypertension portale chez (71.4%) des cas et une gastrite à HP chez (21.42%) des cas.
La biopsie hépatique a été réalisée chez (68.18%) de nos patients ayant retrouvé une Infiltration lymphoplasmocytaire chez (100%) des cas, une nécrose en pont chez (73.3%), une hépatite d’interface chez (60%) des cas ; un foie de cirrhose a été noté chez (46.6%) des cas.
Un syndrome de chevauchement a été retrouvé chez (63.6%) des cas, dont (78.6%) c’était HAI_CBP et dans (21.4%) c’était une association HAI_CSP.
(95.4%) des patients ont été traitées. (81.81%) étaient sous combo thérapie et (13.63%) entaient sous mono thérapie.
AUDC a été introduit en association au traitement d’HAI chez (63.63 %) des cas atteints de syndrome de chevauchement.
Des effets secondaires au traitement ont été notés chez (54.5%) des cas.
Une rémission a été notée chez (68.18%) des cas, une réponse incomplète chez (16.6%) et une rechute chez (4.5%) des cas.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
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Les hépatites auto immunesURL Les maladies inflammatoires de l'intestin (MICI) chez les sujet âgés au niveau du CHU De Bejaia / Boucherba Assia
Titre : Les maladies inflammatoires de l'intestin (MICI) chez les sujet âgés au niveau du CHU De Bejaia Type de document : texte imprimé Auteurs : Boucherba Assia, Auteur ; Bouaiche Ryme, Auteur ; Belloul Pr.Meriem, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (137 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Maladies inflammatoires Maladies Intestinales Maladies chroniques Sujets âgés Intestins Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : Les maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) chez les sujets âgés sont des maladies chroniques diagnostiquées à partir de 60 ans ; évoluant par poussées entrecoupées de périodes de rémission dont le diagnostic repose sur un faisceau d’arguments cliniques,morphologiques et histologiques, permettant de distinguer les cas de MC de la RCUH.
L’objectif principal de notre travail est d’établir un profil épidémiologie, clinique, thérapeutique et évolutif des patients atteints de MICI à un âge avancé au niveau du CHU de Béjaia, par une étude transversale, descriptive. Par l’intermédiaire d’un questionnaire, des données anamnestiques, clinique, para clinique et thérapeutique ont été recueillis.
Dans notre série, parmi 375 patients atteints de MICI de tous âge confondu, seulement 20 patients ont été diagnostiqué à un âge supérieur ou égal à 60 ans avec un âge moyen de 70,7 +/8,4. Le sexe ratio(H/F) était de 1,5. 15 % des patients étaient ou avaient un antécédent de tabagisme et 70 % présentant au moins une comorbidité associée.
Il s’agit de MC dans 75 % des cas et de RCUH dans 25 % des cas. 15 % des sujets ont présenté un antécédent familial de MICI de 1er ou de 2 ème degré.
Au cours de la maladie, la majorité des patients ont présenté des diarrhées chroniques (60%)dans la MC et des diarrhées glairo-sanglantes (60%) dans la RCUH ; associées à un amaigrissement dans 13 % et 20% des cas respectivement.
Dans la MC, la localisation iléale était la plus fréquente et le phénotype inflammatoire était le plus représentant.
Dans la RCUH, la localisation rectocolite gauche et pan colique sont les plus fréquemment retrouvées à des taux similaires.04 patients ont été opéré avant l’initiation du traitement, 03 dans le cadre de complication et 01 pour CROHN jéjunal d’accès inaccessible.
La plupart de nos patients étaient traité par les 5- ASA (60%), 33,3% par les IS et seulement 6,7% ont eu recours à la biothérapie.
Aucun patient n’a eu recours à la chirurgie après initiation du traitement de fond.Parmi les 20 patients, 16 ont eu une rémission clinique (80 %) ; dont 20 % ont nécessité un switch suite à un échec (10%), à une intolérance (5%) ou à une non observance du traitement.02 patients sont décédés.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Les maladies inflammatoires de l'intestin (MICI) chez les sujet âgés au niveau du CHU De Bejaia [texte imprimé] / Boucherba Assia, Auteur ; Bouaiche Ryme, Auteur ; Belloul Pr.Meriem, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2022 . - 1 vol. (137 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Maladies inflammatoires Maladies Intestinales Maladies chroniques Sujets âgés Intestins Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : Les maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) chez les sujets âgés sont des maladies chroniques diagnostiquées à partir de 60 ans ; évoluant par poussées entrecoupées de périodes de rémission dont le diagnostic repose sur un faisceau d’arguments cliniques,morphologiques et histologiques, permettant de distinguer les cas de MC de la RCUH.
L’objectif principal de notre travail est d’établir un profil épidémiologie, clinique, thérapeutique et évolutif des patients atteints de MICI à un âge avancé au niveau du CHU de Béjaia, par une étude transversale, descriptive. Par l’intermédiaire d’un questionnaire, des données anamnestiques, clinique, para clinique et thérapeutique ont été recueillis.
Dans notre série, parmi 375 patients atteints de MICI de tous âge confondu, seulement 20 patients ont été diagnostiqué à un âge supérieur ou égal à 60 ans avec un âge moyen de 70,7 +/8,4. Le sexe ratio(H/F) était de 1,5. 15 % des patients étaient ou avaient un antécédent de tabagisme et 70 % présentant au moins une comorbidité associée.
Il s’agit de MC dans 75 % des cas et de RCUH dans 25 % des cas. 15 % des sujets ont présenté un antécédent familial de MICI de 1er ou de 2 ème degré.
Au cours de la maladie, la majorité des patients ont présenté des diarrhées chroniques (60%)dans la MC et des diarrhées glairo-sanglantes (60%) dans la RCUH ; associées à un amaigrissement dans 13 % et 20% des cas respectivement.
Dans la MC, la localisation iléale était la plus fréquente et le phénotype inflammatoire était le plus représentant.
Dans la RCUH, la localisation rectocolite gauche et pan colique sont les plus fréquemment retrouvées à des taux similaires.04 patients ont été opéré avant l’initiation du traitement, 03 dans le cadre de complication et 01 pour CROHN jéjunal d’accès inaccessible.
La plupart de nos patients étaient traité par les 5- ASA (60%), 33,3% par les IS et seulement 6,7% ont eu recours à la biothérapie.
Aucun patient n’a eu recours à la chirurgie après initiation du traitement de fond.Parmi les 20 patients, 16 ont eu une rémission clinique (80 %) ; dont 20 % ont nécessité un switch suite à un échec (10%), à une intolérance (5%) ou à une non observance du traitement.02 patients sont décédés.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M64/2022 M64/2022 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies du système digestif.Gastro-entérologie Exclu du prêt Les maladies inflammatoires de l'intestin (MICI) chez les sujet âgés au niveau du CHU De Bejaia / Boucherba Assia
Titre : Les maladies inflammatoires de l'intestin (MICI) chez les sujet âgés au niveau du CHU De Bejaia Type de document : document électronique Auteurs : Boucherba Assia, Auteur ; Bouaiche Ryme, Auteur ; Belloul Pr.Meriem, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2022 Importance : 5,21 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Maladies inflammatoires Intestinales Maladies chroniques Sujets âgés Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : Les maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) chez les sujets âgés sont des maladies chroniques diagnostiquées à partir de 60 ans ; évoluant par poussées entrecoupées de périodes de rémission dont le diagnostic repose sur un faisceau d’arguments cliniques,morphologiques et histologiques, permettant de distinguer les cas de MC de la RCUH.
L’objectif principal de notre travail est d’établir un profil épidémiologie, clinique, thérapeutique et évolutif des patients atteints de MICI à un âge avancé au niveau du CHU de Béjaia, par une étude transversale, descriptive. Par l’intermédiaire d’un questionnaire, des données anamnestiques, clinique, para clinique et thérapeutique ont été recueillis.
Dans notre série, parmi 375 patients atteints de MICI de tous âge confondu, seulement 20 patients ont été diagnostiqué à un âge supérieur ou égal à 60 ans avec un âge moyen de 70,7 +/8,4. Le sexe ratio(H/F) était de 1,5. 15 % des patients étaient ou avaient un antécédent de tabagisme et 70 % présentant au moins une comorbidité associée.
Il s’agit de MC dans 75 % des cas et de RCUH dans 25 % des cas. 15 % des sujets ont présenté un antécédent familial de MICI de 1er ou de 2 ème degré.
Au cours de la maladie, la majorité des patients ont présenté des diarrhées chroniques (60%)dans la MC et des diarrhées glairo-sanglantes (60%) dans la RCUH ; associées à un amaigrissement dans 13 % et 20% des cas respectivement.
Dans la MC, la localisation iléale était la plus fréquente et le phénotype inflammatoire était le plus représentant.
Dans la RCUH, la localisation rectocolite gauche et pan colique sont les plus fréquemment retrouvées à des taux similaires.04 patients ont été opéré avant l’initiation du traitement, 03 dans le cadre de complication et 01 pour CROHN jéjunal d’accès inaccessible.
La plupart de nos patients étaient traité par les 5- ASA (60%), 33,3% par les IS et seulement 6,7% ont eu recours à la biothérapie.
Aucun patient n’a eu recours à la chirurgie après initiation du traitement de fond.Parmi les 20 patients, 16 ont eu une rémission clinique (80 %) ; dont 20 % ont nécessité un switch suite à un échec (10%), à une intolérance (5%) ou à une non observance du traitement.02 patients sont décédés.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Les maladies inflammatoires de l'intestin (MICI) chez les sujet âgés au niveau du CHU De Bejaia [document électronique] / Boucherba Assia, Auteur ; Bouaiche Ryme, Auteur ; Belloul Pr.Meriem, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2022 . - 5,21 Mo : ill. ; Pdf.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Maladies inflammatoires Intestinales Maladies chroniques Sujets âgés Index. décimale : 616.3 Maladies du système digestif. Gastro-entérologie Résumé : Les maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) chez les sujets âgés sont des maladies chroniques diagnostiquées à partir de 60 ans ; évoluant par poussées entrecoupées de périodes de rémission dont le diagnostic repose sur un faisceau d’arguments cliniques,morphologiques et histologiques, permettant de distinguer les cas de MC de la RCUH.
L’objectif principal de notre travail est d’établir un profil épidémiologie, clinique, thérapeutique et évolutif des patients atteints de MICI à un âge avancé au niveau du CHU de Béjaia, par une étude transversale, descriptive. Par l’intermédiaire d’un questionnaire, des données anamnestiques, clinique, para clinique et thérapeutique ont été recueillis.
Dans notre série, parmi 375 patients atteints de MICI de tous âge confondu, seulement 20 patients ont été diagnostiqué à un âge supérieur ou égal à 60 ans avec un âge moyen de 70,7 +/8,4. Le sexe ratio(H/F) était de 1,5. 15 % des patients étaient ou avaient un antécédent de tabagisme et 70 % présentant au moins une comorbidité associée.
Il s’agit de MC dans 75 % des cas et de RCUH dans 25 % des cas. 15 % des sujets ont présenté un antécédent familial de MICI de 1er ou de 2 ème degré.
Au cours de la maladie, la majorité des patients ont présenté des diarrhées chroniques (60%)dans la MC et des diarrhées glairo-sanglantes (60%) dans la RCUH ; associées à un amaigrissement dans 13 % et 20% des cas respectivement.
Dans la MC, la localisation iléale était la plus fréquente et le phénotype inflammatoire était le plus représentant.
Dans la RCUH, la localisation rectocolite gauche et pan colique sont les plus fréquemment retrouvées à des taux similaires.04 patients ont été opéré avant l’initiation du traitement, 03 dans le cadre de complication et 01 pour CROHN jéjunal d’accès inaccessible.
La plupart de nos patients étaient traité par les 5- ASA (60%), 33,3% par les IS et seulement 6,7% ont eu recours à la biothérapie.
Aucun patient n’a eu recours à la chirurgie après initiation du traitement de fond.Parmi les 20 patients, 16 ont eu une rémission clinique (80 %) ; dont 20 % ont nécessité un switch suite à un échec (10%), à une intolérance (5%) ou à une non observance du traitement.02 patients sont décédés.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM64/2022 CDM64/2022 Mémoire Electonique Salle de consultation sur place Maladies du système digestif.Gastro-entérologie Exclu du prêt Documents numériques
E _B O O K S
Les maladies inflammatoires de l'intestin MICI chez les sujet âgés au niveau du CHU De BejaiaURL