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Auteur Hamdi Badry
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Prise en charge de la sclérose en plaques au CHU de Béjaia / Hamdi Badry
Titre : Prise en charge de la sclérose en plaques au CHU de Béjaia Type de document : texte imprimé Auteurs : Hamdi Badry, Auteur ; Lainser Massinissa, Auteur ; Dr. Saddek, Khellaf, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (157 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : la sclérose en plaques Maladie chronique Prise en charge Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : La sclérose en plaques(SEP) est une maladie chronique, auto immune, inflammatoire, démyélinisante et dégénérative du système nerveux central entrainant un handicap parfois sévère.
L’objectif est d’écrire le profil clinique, para clinique et thérapeutiques des patients atteints de la SEP suivis au CHU de Bejaia.
Il s’agit d’une étude descriptive transversale faite sur des malades qui présentent une SEP, suivis au niveau du service de Médecine interne du CHU de Khellil Amrane à Bejaia. Les données étaient collectées grâce à un questionnaire adapté. L’analyse des résultats a été faite par le logiciel IBM SPSS version 26.
Nous avons colligé 152 cas de SEP avec un sex-ratio F/H de2, 4.L’âge moyen de début de la maladie est estimé a 32,51± 10,15 années.
L’analyse uni variée a objectivé : un âge moyen de diagnostic de 34 ,34 ± 10,31 années avec un délai moyen de diagnostic de 1,8 % ± 2,9 année.136 cas (89,5%) avaient une forme rémittente récurrente (RR) dont 26 cas de SEP agressive(AG) , 14 cas (9,2%) avaient une forme secondairement progressive(SP), et 2 cas (1,3%) de forme progressive primaire(PP). 36% de nos patients avaient une présentation initiale poly symptomatique. Les Manifestations sensitives étaient le signe révélateur chez la plupart de nos patients dans 38 % des cas, suivis des troubles moteurs dans 35% des cas et des manifestations optiques dans 30% des cas. Une moyenne poussée –année de 0,68 ± 0,46. Un EDSS moyen lors de la dernière consultation à 3,2 ± 2,1. Un taux moyen de la vitamine D de 35,26 ± 19,5. Les zones périventriculaires (97%) ,juxtacorticales (81%), sous tentorielles (58%) et médullaires (59%) sont les plus touchées à L’IRM. 47% des patients avaient des lésions actives au moment du diagnostic, tandis que (9%) avaient des lésions axono-myéliniques sévères (présence de trous noirs). 86% de nos patients sont sous traitement de première ligne représenté majoritairement par les interférons beta, soit 68 (52%) sous Rebif et 39 (30%) sous Avonex. Le reste des patients traités sont sous traitement de deuxième ligne à savoir: 9 (7%) sous Tysabri, 6 (5%) sous rituximab et 3(2%)sous Imurel.
L’analyse bivariée a retrouvé un lien statistiquement significatif entre : âge de début et/ou de diagnostic supérieur à 50 ans et le passage à la forme secondairement progressive ; Sémiologie de début motrice et le handicap majeur (EDSS de 6 et plus), risque de développer une forme agressive et le passage à la progression ; Sémiologie de début optique et la tendance à une forme non sévère (EDSS < 3) ; Sémiologie sous tentorielle et le recours à la thérapeutique de deuxième ligne (Rituximab) ; Déficit ou carence en vitamine D et le risque de développer une forme agressive primaire ou secondairement progressive ; La présence à L’IRM de diagnostic, de lésions actives et/ou lésion sous tentorielle et/ou médullaire et le risque de développer une forme agressive et/ou un handicap majeur ; La présence à L’IRM de diagnostic de lésion au niveau du nerf optique et la tendance à une forme moins sévère de la maladie(EDSS <3); La présence d’élargissement ou l’apparition de nouvelles lésions à L’IRM de suivi et le risque de développer une forme agressive ou le passage à la progression; la présence de trous noir(Black Holes )à L'IRM et le risque de développer une forme agressive, le passage à la progression et le recours à la thérapeutique de deuxième ligne.
L’aboutissement de cette étude suggère qu’un âge de diagnostic ≥ 50 ans, une carence en vitamine D, une sémiologie de début motrice ou cérébelleuse, une présence à L’IRM de diagnostic de lésions actives et/ou lésions sous tentorielles et/ou médullaires, ainsi que la présence de trous noirs (Black Holes ), serait associés à un pronostic plus défavorable de la maladie et un facteur de risque majeur de SEP agressive ou de passage vers la progression, recommandant ainsi le recours à une stratégie d’escalade thérapeutique ou d’induction.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Prise en charge de la sclérose en plaques au CHU de Béjaia [texte imprimé] / Hamdi Badry, Auteur ; Lainser Massinissa, Auteur ; Dr. Saddek, Khellaf, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (157 f.) : ill. ; 30 cm.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : la sclérose en plaques Maladie chronique Prise en charge Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : La sclérose en plaques(SEP) est une maladie chronique, auto immune, inflammatoire, démyélinisante et dégénérative du système nerveux central entrainant un handicap parfois sévère.
L’objectif est d’écrire le profil clinique, para clinique et thérapeutiques des patients atteints de la SEP suivis au CHU de Bejaia.
Il s’agit d’une étude descriptive transversale faite sur des malades qui présentent une SEP, suivis au niveau du service de Médecine interne du CHU de Khellil Amrane à Bejaia. Les données étaient collectées grâce à un questionnaire adapté. L’analyse des résultats a été faite par le logiciel IBM SPSS version 26.
Nous avons colligé 152 cas de SEP avec un sex-ratio F/H de2, 4.L’âge moyen de début de la maladie est estimé a 32,51± 10,15 années.
L’analyse uni variée a objectivé : un âge moyen de diagnostic de 34 ,34 ± 10,31 années avec un délai moyen de diagnostic de 1,8 % ± 2,9 année.136 cas (89,5%) avaient une forme rémittente récurrente (RR) dont 26 cas de SEP agressive(AG) , 14 cas (9,2%) avaient une forme secondairement progressive(SP), et 2 cas (1,3%) de forme progressive primaire(PP). 36% de nos patients avaient une présentation initiale poly symptomatique. Les Manifestations sensitives étaient le signe révélateur chez la plupart de nos patients dans 38 % des cas, suivis des troubles moteurs dans 35% des cas et des manifestations optiques dans 30% des cas. Une moyenne poussée –année de 0,68 ± 0,46. Un EDSS moyen lors de la dernière consultation à 3,2 ± 2,1. Un taux moyen de la vitamine D de 35,26 ± 19,5. Les zones périventriculaires (97%) ,juxtacorticales (81%), sous tentorielles (58%) et médullaires (59%) sont les plus touchées à L’IRM. 47% des patients avaient des lésions actives au moment du diagnostic, tandis que (9%) avaient des lésions axono-myéliniques sévères (présence de trous noirs). 86% de nos patients sont sous traitement de première ligne représenté majoritairement par les interférons beta, soit 68 (52%) sous Rebif et 39 (30%) sous Avonex. Le reste des patients traités sont sous traitement de deuxième ligne à savoir: 9 (7%) sous Tysabri, 6 (5%) sous rituximab et 3(2%)sous Imurel.
L’analyse bivariée a retrouvé un lien statistiquement significatif entre : âge de début et/ou de diagnostic supérieur à 50 ans et le passage à la forme secondairement progressive ; Sémiologie de début motrice et le handicap majeur (EDSS de 6 et plus), risque de développer une forme agressive et le passage à la progression ; Sémiologie de début optique et la tendance à une forme non sévère (EDSS < 3) ; Sémiologie sous tentorielle et le recours à la thérapeutique de deuxième ligne (Rituximab) ; Déficit ou carence en vitamine D et le risque de développer une forme agressive primaire ou secondairement progressive ; La présence à L’IRM de diagnostic, de lésions actives et/ou lésion sous tentorielle et/ou médullaire et le risque de développer une forme agressive et/ou un handicap majeur ; La présence à L’IRM de diagnostic de lésion au niveau du nerf optique et la tendance à une forme moins sévère de la maladie(EDSS <3); La présence d’élargissement ou l’apparition de nouvelles lésions à L’IRM de suivi et le risque de développer une forme agressive ou le passage à la progression; la présence de trous noir(Black Holes )à L'IRM et le risque de développer une forme agressive, le passage à la progression et le recours à la thérapeutique de deuxième ligne.
L’aboutissement de cette étude suggère qu’un âge de diagnostic ≥ 50 ans, une carence en vitamine D, une sémiologie de début motrice ou cérébelleuse, une présence à L’IRM de diagnostic de lésions actives et/ou lésions sous tentorielles et/ou médullaires, ainsi que la présence de trous noirs (Black Holes ), serait associés à un pronostic plus défavorable de la maladie et un facteur de risque majeur de SEP agressive ou de passage vers la progression, recommandant ainsi le recours à une stratégie d’escalade thérapeutique ou d’induction.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M31/2023 M31/2023 Mémoire Salle de consultation sur place Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt
Titre : Prise en charge de la sclérose en plaques au CHU de Béjaia Type de document : document électronique Auteurs : Hamdi Badry, Auteur ; Lainser Massinissa, Auteur ; Dr. Saddek, Khellaf, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 5,23 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : la sclérose en plaques Maladie chronique Prise en charge Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : La sclérose en plaques(SEP) est une maladie chronique, auto immune, inflammatoire, démyélinisante et dégénérative du système nerveux central entrainant un handicap parfois sévère.
L’objectif est d’écrire le profil clinique, para clinique et thérapeutiques des patients atteints de la SEP suivis au CHU de Bejaia.
Il s’agit d’une étude descriptive transversale faite sur des malades qui présentent une SEP, suivis au niveau du service de Médecine interne du CHU de Khellil Amrane à Bejaia. Les données étaient collectées grâce à un questionnaire adapté. L’analyse des résultats a été faite par le logiciel IBM SPSS version 26.
Nous avons colligé 152 cas de SEP avec un sex-ratio F/H de2, 4.L’âge moyen de début de la maladie est estimé a 32,51± 10,15 années.
L’analyse uni variée a objectivé : un âge moyen de diagnostic de 34 ,34 ± 10,31 années avec un délai moyen de diagnostic de 1,8 % ± 2,9 année.136 cas (89,5%) avaient une forme rémittente récurrente (RR) dont 26 cas de SEP agressive(AG) , 14 cas (9,2%) avaient une forme secondairement progressive(SP), et 2 cas (1,3%) de forme progressive primaire(PP). 36% de nos patients avaient une présentation initiale poly symptomatique. Les Manifestations sensitives étaient le signe révélateur chez la plupart de nos patients dans 38 % des cas, suivis des troubles moteurs dans 35% des cas et des manifestations optiques dans 30% des cas. Une moyenne poussée –année de 0,68 ± 0,46. Un EDSS moyen lors de la dernière consultation à 3,2 ± 2,1. Un taux moyen de la vitamine D de 35,26 ± 19,5. Les zones périventriculaires (97%) ,juxtacorticales (81%), sous tentorielles (58%) et médullaires (59%) sont les plus touchées à L’IRM. 47% des patients avaient des lésions actives au moment du diagnostic, tandis que (9%) avaient des lésions axono-myéliniques sévères (présence de trous noirs). 86% de nos patients sont sous traitement de première ligne représenté majoritairement par les interférons beta, soit 68 (52%) sous Rebif et 39 (30%) sous Avonex. Le reste des patients traités sont sous traitement de deuxième ligne à savoir: 9 (7%) sous Tysabri, 6 (5%) sous rituximab et 3(2%)sous Imurel.
L’analyse bivariée a retrouvé un lien statistiquement significatif entre : âge de début et/ou de diagnostic supérieur à 50 ans et le passage à la forme secondairement progressive ; Sémiologie de début motrice et le handicap majeur (EDSS de 6 et plus), risque de développer une forme agressive et le passage à la progression ; Sémiologie de début optique et la tendance à une forme non sévère (EDSS < 3) ; Sémiologie sous tentorielle et le recours à la thérapeutique de deuxième ligne (Rituximab) ; Déficit ou carence en vitamine D et le risque de développer une forme agressive primaire ou secondairement progressive ; La présence à L’IRM de diagnostic, de lésions actives et/ou lésion sous tentorielle et/ou médullaire et le risque de développer une forme agressive et/ou un handicap majeur ; La présence à L’IRM de diagnostic de lésion au niveau du nerf optique et la tendance à une forme moins sévère de la maladie(EDSS <3); La présence d’élargissement ou l’apparition de nouvelles lésions à L’IRM de suivi et le risque de développer une forme agressive ou le passage à la progression; la présence de trous noir(Black Holes )à L'IRM et le risque de développer une forme agressive, le passage à la progression et le recours à la thérapeutique de deuxième ligne.
L’aboutissement de cette étude suggère qu’un âge de diagnostic ≥ 50 ans, une carence en vitamine D, une sémiologie de début motrice ou cérébelleuse, une présence à L’IRM de diagnostic de lésions actives et/ou lésions sous tentorielles et/ou médullaires, ainsi que la présence de trous noirs (Black Holes ), serait associés à un pronostic plus défavorable de la maladie et un facteur de risque majeur de SEP agressive ou de passage vers la progression, recommandant ainsi le recours à une stratégie d’escalade thérapeutique ou d’induction.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Prise en charge de la sclérose en plaques au CHU de Béjaia [document électronique] / Hamdi Badry, Auteur ; Lainser Massinissa, Auteur ; Dr. Saddek, Khellaf, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 5,23 Mo : ill. ; Pdf.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : la sclérose en plaques Maladie chronique Prise en charge Index. décimale : 616.8 Maladies du système nerveux. Troubles psychiques Résumé : La sclérose en plaques(SEP) est une maladie chronique, auto immune, inflammatoire, démyélinisante et dégénérative du système nerveux central entrainant un handicap parfois sévère.
L’objectif est d’écrire le profil clinique, para clinique et thérapeutiques des patients atteints de la SEP suivis au CHU de Bejaia.
Il s’agit d’une étude descriptive transversale faite sur des malades qui présentent une SEP, suivis au niveau du service de Médecine interne du CHU de Khellil Amrane à Bejaia. Les données étaient collectées grâce à un questionnaire adapté. L’analyse des résultats a été faite par le logiciel IBM SPSS version 26.
Nous avons colligé 152 cas de SEP avec un sex-ratio F/H de2, 4.L’âge moyen de début de la maladie est estimé a 32,51± 10,15 années.
L’analyse uni variée a objectivé : un âge moyen de diagnostic de 34 ,34 ± 10,31 années avec un délai moyen de diagnostic de 1,8 % ± 2,9 année.136 cas (89,5%) avaient une forme rémittente récurrente (RR) dont 26 cas de SEP agressive(AG) , 14 cas (9,2%) avaient une forme secondairement progressive(SP), et 2 cas (1,3%) de forme progressive primaire(PP). 36% de nos patients avaient une présentation initiale poly symptomatique. Les Manifestations sensitives étaient le signe révélateur chez la plupart de nos patients dans 38 % des cas, suivis des troubles moteurs dans 35% des cas et des manifestations optiques dans 30% des cas. Une moyenne poussée –année de 0,68 ± 0,46. Un EDSS moyen lors de la dernière consultation à 3,2 ± 2,1. Un taux moyen de la vitamine D de 35,26 ± 19,5. Les zones périventriculaires (97%) ,juxtacorticales (81%), sous tentorielles (58%) et médullaires (59%) sont les plus touchées à L’IRM. 47% des patients avaient des lésions actives au moment du diagnostic, tandis que (9%) avaient des lésions axono-myéliniques sévères (présence de trous noirs). 86% de nos patients sont sous traitement de première ligne représenté majoritairement par les interférons beta, soit 68 (52%) sous Rebif et 39 (30%) sous Avonex. Le reste des patients traités sont sous traitement de deuxième ligne à savoir: 9 (7%) sous Tysabri, 6 (5%) sous rituximab et 3(2%)sous Imurel.
L’analyse bivariée a retrouvé un lien statistiquement significatif entre : âge de début et/ou de diagnostic supérieur à 50 ans et le passage à la forme secondairement progressive ; Sémiologie de début motrice et le handicap majeur (EDSS de 6 et plus), risque de développer une forme agressive et le passage à la progression ; Sémiologie de début optique et la tendance à une forme non sévère (EDSS < 3) ; Sémiologie sous tentorielle et le recours à la thérapeutique de deuxième ligne (Rituximab) ; Déficit ou carence en vitamine D et le risque de développer une forme agressive primaire ou secondairement progressive ; La présence à L’IRM de diagnostic, de lésions actives et/ou lésion sous tentorielle et/ou médullaire et le risque de développer une forme agressive et/ou un handicap majeur ; La présence à L’IRM de diagnostic de lésion au niveau du nerf optique et la tendance à une forme moins sévère de la maladie(EDSS <3); La présence d’élargissement ou l’apparition de nouvelles lésions à L’IRM de suivi et le risque de développer une forme agressive ou le passage à la progression; la présence de trous noir(Black Holes )à L'IRM et le risque de développer une forme agressive, le passage à la progression et le recours à la thérapeutique de deuxième ligne.
L’aboutissement de cette étude suggère qu’un âge de diagnostic ≥ 50 ans, une carence en vitamine D, une sémiologie de début motrice ou cérébelleuse, une présence à L’IRM de diagnostic de lésions actives et/ou lésions sous tentorielles et/ou médullaires, ainsi que la présence de trous noirs (Black Holes ), serait associés à un pronostic plus défavorable de la maladie et un facteur de risque majeur de SEP agressive ou de passage vers la progression, recommandant ainsi le recours à une stratégie d’escalade thérapeutique ou d’induction.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM31/2023 CDM31/2023 Mémoire Electonique Salle multimédia Maladies du système nerveux. Neurologie. Troubles psychiques Exclu du prêt Documents numériques
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