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Néphrectomie sous cœlioscopie chez l'enfant au service de chirurgie pédiatrique du CHU de Bejaia / Djeha Manel
Titre : Néphrectomie sous cœlioscopie chez l'enfant au service de chirurgie pédiatrique du CHU de Bejaia : (à propos de 19 cas) Type de document : texte imprimé Auteurs : Djeha Manel, Auteur ; Hamdi Melissa Manel, Auteur ; Dr. Lounis, Boudiaf, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2024 Importance : 1 vol. (170 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes.Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Enfant Néphrectomie Coelioscopie Rein muet Transpéritonéale Rétropéritonéale Mini invasive Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : La néphrectomie cœlioscopique est une technique mini-invasive qui désigne l’ablation chirurgicale d’un rein à l’aide d’un laparoscope. C’est une décision thérapeutique de dernier recours devant un rein non fonctionnelle et symptomatique. On distingue 2 types de néphrectomie : Totale et partielle. Avec deux voie d’abord possible transpéritonéale et rétropéritonéale.
Il s’agit d’une étude rétrospective menée au service de chirurgie infantile du CHU de Bejaia incluant 19 enfants ayant bénéficié d’une néphrectomie par cœlioscopie totale ou partielle entre janvier 2019 et avril 2021. L’objectif de ce travail est de rapporter l’expérience du service de chirurgie infantile du CHU de Bejaia. Et d’analyser les résultats de la néphrectomie lararoscopique en termes de faisabilité et de morbidité.
19 enfants ont été opérés. L’âge moyen des patients était de 4,8 ans (58mois) et le sex-ratio de 0,35 avec une prédominance féminine. le côté le plus opéré été le côté gauche (63,2%). Le diagnostic était suspecté en anténatal dans 31,5 % des cas. Chez 5.3% la découverte a été fortuite en postnatal, 63.2% des enfants été symptomatique, le maitre symptôme était l’infection urinaire chez 84.2%, suivi par les douleurs type lombaires ou abdominales chroniques (42.1%). Les troubles urinaires ont été retrouvés chez 26.3% des patients. La fonction rénale était correcte chez tous les malades, l’ECBU est revenu positif chez 1 patients dont les germes isolés étaient Escherichia coli. L’imagerie comportait l’échographie et la scintigraphie rénale réalisées chez tous nos patients, une cystographie chez 12 patients (63.2%), une UIV chez 5 patients (26.3%), une TDM chez 03 patients (15.8%). Les pathologies ayant nécessité une néphrectomie étaient dominées par duplication pyélo- urétérale à 42,1% suivie par le reflux vésico-urétéral à 36,8% puis le syndrome de la jonction pyélo-urétérale à 10,5%. La dysplasie rénale multikystique et le méga-uretère primitif été les moins fréquents avec un pourcentage chacun de 5,3%. La voie d’abord utilisée chez tous les patients était la voie transpéritonéale. Parmi les néphrectomies réalisées, 57,9 % étaient totales et 42,1 % étaient partielles (urétéro-néphrectomies partielles). La durée moyenne de l’intervention était de 2h30min (150min) avec des extrêmes de 1h40min à
4h (100min - 240min). Aucune complication peropératoire n’a été enregistrée. Et aucune conversion vers la voie ouverte n’a été nécessaire. La durée moyenne d’hospitalisation était de 3 jours avec des extrêmes allant de 1 à 8 jours. Les suites opératoires étaient simples pour tous les patients, avec un taux global de complications de 21,1 %. Tous les patients ont été suivis régulièrement, avec un recul moyen de 30 mois. ils ont bénéficié tous d'une échographie, tandis que la scintigraphie a été réalisée uniquement dans deux cas. Le taux global de succès était de 90%.
Cette expérience avec la néphrectomie cœlioscopique a révélé qu’elle est une intervention chirurgicale efficace, réalisable et bénéfique pour l’enfant. Elle offre une bonne qualité de vie postopératoire et présente moins de complications. Dans notre service, cette approche « mini-invasive » a complètement modifié l’approche chirurgicale des uro-néphropathies pédiatriques.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Néphrectomie sous cœlioscopie chez l'enfant au service de chirurgie pédiatrique du CHU de Bejaia : (à propos de 19 cas) [texte imprimé] / Djeha Manel, Auteur ; Hamdi Melissa Manel, Auteur ; Dr. Lounis, Boudiaf, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2024 . - 1 vol. (170 f.) : ill. ; 30 cm.
Annexes.Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Enfant Néphrectomie Coelioscopie Rein muet Transpéritonéale Rétropéritonéale Mini invasive Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : La néphrectomie cœlioscopique est une technique mini-invasive qui désigne l’ablation chirurgicale d’un rein à l’aide d’un laparoscope. C’est une décision thérapeutique de dernier recours devant un rein non fonctionnelle et symptomatique. On distingue 2 types de néphrectomie : Totale et partielle. Avec deux voie d’abord possible transpéritonéale et rétropéritonéale.
Il s’agit d’une étude rétrospective menée au service de chirurgie infantile du CHU de Bejaia incluant 19 enfants ayant bénéficié d’une néphrectomie par cœlioscopie totale ou partielle entre janvier 2019 et avril 2021. L’objectif de ce travail est de rapporter l’expérience du service de chirurgie infantile du CHU de Bejaia. Et d’analyser les résultats de la néphrectomie lararoscopique en termes de faisabilité et de morbidité.
19 enfants ont été opérés. L’âge moyen des patients était de 4,8 ans (58mois) et le sex-ratio de 0,35 avec une prédominance féminine. le côté le plus opéré été le côté gauche (63,2%). Le diagnostic était suspecté en anténatal dans 31,5 % des cas. Chez 5.3% la découverte a été fortuite en postnatal, 63.2% des enfants été symptomatique, le maitre symptôme était l’infection urinaire chez 84.2%, suivi par les douleurs type lombaires ou abdominales chroniques (42.1%). Les troubles urinaires ont été retrouvés chez 26.3% des patients. La fonction rénale était correcte chez tous les malades, l’ECBU est revenu positif chez 1 patients dont les germes isolés étaient Escherichia coli. L’imagerie comportait l’échographie et la scintigraphie rénale réalisées chez tous nos patients, une cystographie chez 12 patients (63.2%), une UIV chez 5 patients (26.3%), une TDM chez 03 patients (15.8%). Les pathologies ayant nécessité une néphrectomie étaient dominées par duplication pyélo- urétérale à 42,1% suivie par le reflux vésico-urétéral à 36,8% puis le syndrome de la jonction pyélo-urétérale à 10,5%. La dysplasie rénale multikystique et le méga-uretère primitif été les moins fréquents avec un pourcentage chacun de 5,3%. La voie d’abord utilisée chez tous les patients était la voie transpéritonéale. Parmi les néphrectomies réalisées, 57,9 % étaient totales et 42,1 % étaient partielles (urétéro-néphrectomies partielles). La durée moyenne de l’intervention était de 2h30min (150min) avec des extrêmes de 1h40min à
4h (100min - 240min). Aucune complication peropératoire n’a été enregistrée. Et aucune conversion vers la voie ouverte n’a été nécessaire. La durée moyenne d’hospitalisation était de 3 jours avec des extrêmes allant de 1 à 8 jours. Les suites opératoires étaient simples pour tous les patients, avec un taux global de complications de 21,1 %. Tous les patients ont été suivis régulièrement, avec un recul moyen de 30 mois. ils ont bénéficié tous d'une échographie, tandis que la scintigraphie a été réalisée uniquement dans deux cas. Le taux global de succès était de 90%.
Cette expérience avec la néphrectomie cœlioscopique a révélé qu’elle est une intervention chirurgicale efficace, réalisable et bénéfique pour l’enfant. Elle offre une bonne qualité de vie postopératoire et présente moins de complications. Dans notre service, cette approche « mini-invasive » a complètement modifié l’approche chirurgicale des uro-néphropathies pédiatriques.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M21/2024 M21/2024 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt Néphrectomie sous cœlioscopie chez l'enfant au service de chirurgie pédiatrique du CHU de Bejaia / Djeha Manel
Titre : Néphrectomie sous cœlioscopie chez l'enfant au service de chirurgie pédiatrique du CHU de Bejaia : (à propos de 19 cas) Type de document : document électronique Auteurs : Djeha Manel, Auteur ; Hamdi Melissa Manel, Auteur ; Dr. Lounis, Boudiaf, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2024 Importance : 4,78 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Annexes.Bibliogr. Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Enfant Néphrectomie Coelioscopie Rein muet Transpéritonéale Rétropéritonéale Mini invasive Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : La néphrectomie cœlioscopique est une technique mini-invasive qui désigne l’ablation chirurgicale d’un rein à l’aide d’un laparoscope. C’est une décision thérapeutique de dernier recours devant un rein non fonctionnelle et symptomatique. On distingue 2 types de néphrectomie : Totale et partielle. Avec deux voie d’abord possible transpéritonéale et rétropéritonéale.
Il s’agit d’une étude rétrospective menée au service de chirurgie infantile du CHU de Bejaia incluant 19 enfants ayant bénéficié d’une néphrectomie par cœlioscopie totale ou partielle entre janvier 2019 et avril 2021. L’objectif de ce travail est de rapporter l’expérience du service de chirurgie infantile du CHU de Bejaia. Et d’analyser les résultats de la néphrectomie lararoscopique en termes de faisabilité et de morbidité.
19 enfants ont été opérés. L’âge moyen des patients était de 4,8 ans (58mois) et le sex-ratio de 0,35 avec une prédominance féminine. le côté le plus opéré été le côté gauche (63,2%). Le diagnostic était suspecté en anténatal dans 31,5 % des cas. Chez 5.3% la découverte a été fortuite en postnatal, 63.2% des enfants été symptomatique, le maitre symptôme était l’infection urinaire chez 84.2%, suivi par les douleurs type lombaires ou abdominales chroniques (42.1%). Les troubles urinaires ont été retrouvés chez 26.3% des patients. La fonction rénale était correcte chez tous les malades, l’ECBU est revenu positif chez 1 patients dont les germes isolés étaient Escherichia coli. L’imagerie comportait l’échographie et la scintigraphie rénale réalisées chez tous nos patients, une cystographie chez 12 patients (63.2%), une UIV chez 5 patients (26.3%), une TDM chez 03 patients (15.8%). Les pathologies ayant nécessité une néphrectomie étaient dominées par duplication pyélo- urétérale à 42,1% suivie par le reflux vésico-urétéral à 36,8% puis le syndrome de la jonction pyélo-urétérale à 10,5%. La dysplasie rénale multikystique et le méga-uretère primitif été les moins fréquents avec un pourcentage chacun de 5,3%. La voie d’abord utilisée chez tous les patients était la voie transpéritonéale. Parmi les néphrectomies réalisées, 57,9 % étaient totales et 42,1 % étaient partielles (urétéro-néphrectomies partielles). La durée moyenne de l’intervention était de 2h30min (150min) avec des extrêmes de 1h40min à
4h (100min - 240min). Aucune complication peropératoire n’a été enregistrée. Et aucune conversion vers la voie ouverte n’a été nécessaire. La durée moyenne d’hospitalisation était de 3 jours avec des extrêmes allant de 1 à 8 jours. Les suites opératoires étaient simples pour tous les patients, avec un taux global de complications de 21,1 %. Tous les patients ont été suivis régulièrement, avec un recul moyen de 30 mois. ils ont bénéficié tous d'une échographie, tandis que la scintigraphie a été réalisée uniquement dans deux cas. Le taux global de succès était de 90%.
Cette expérience avec la néphrectomie cœlioscopique a révélé qu’elle est une intervention chirurgicale efficace, réalisable et bénéfique pour l’enfant. Elle offre une bonne qualité de vie postopératoire et présente moins de complications. Dans notre service, cette approche « mini-invasive » a complètement modifié l’approche chirurgicale des uro-néphropathies pédiatriques.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Néphrectomie sous cœlioscopie chez l'enfant au service de chirurgie pédiatrique du CHU de Bejaia : (à propos de 19 cas) [document électronique] / Djeha Manel, Auteur ; Hamdi Melissa Manel, Auteur ; Dr. Lounis, Boudiaf, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2024 . - 4,78 Mo : ill. ; Pdf.
Annexes.Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Enfant Néphrectomie Coelioscopie Rein muet Transpéritonéale Rétropéritonéale Mini invasive Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : La néphrectomie cœlioscopique est une technique mini-invasive qui désigne l’ablation chirurgicale d’un rein à l’aide d’un laparoscope. C’est une décision thérapeutique de dernier recours devant un rein non fonctionnelle et symptomatique. On distingue 2 types de néphrectomie : Totale et partielle. Avec deux voie d’abord possible transpéritonéale et rétropéritonéale.
Il s’agit d’une étude rétrospective menée au service de chirurgie infantile du CHU de Bejaia incluant 19 enfants ayant bénéficié d’une néphrectomie par cœlioscopie totale ou partielle entre janvier 2019 et avril 2021. L’objectif de ce travail est de rapporter l’expérience du service de chirurgie infantile du CHU de Bejaia. Et d’analyser les résultats de la néphrectomie lararoscopique en termes de faisabilité et de morbidité.
19 enfants ont été opérés. L’âge moyen des patients était de 4,8 ans (58mois) et le sex-ratio de 0,35 avec une prédominance féminine. le côté le plus opéré été le côté gauche (63,2%). Le diagnostic était suspecté en anténatal dans 31,5 % des cas. Chez 5.3% la découverte a été fortuite en postnatal, 63.2% des enfants été symptomatique, le maitre symptôme était l’infection urinaire chez 84.2%, suivi par les douleurs type lombaires ou abdominales chroniques (42.1%). Les troubles urinaires ont été retrouvés chez 26.3% des patients. La fonction rénale était correcte chez tous les malades, l’ECBU est revenu positif chez 1 patients dont les germes isolés étaient Escherichia coli. L’imagerie comportait l’échographie et la scintigraphie rénale réalisées chez tous nos patients, une cystographie chez 12 patients (63.2%), une UIV chez 5 patients (26.3%), une TDM chez 03 patients (15.8%). Les pathologies ayant nécessité une néphrectomie étaient dominées par duplication pyélo- urétérale à 42,1% suivie par le reflux vésico-urétéral à 36,8% puis le syndrome de la jonction pyélo-urétérale à 10,5%. La dysplasie rénale multikystique et le méga-uretère primitif été les moins fréquents avec un pourcentage chacun de 5,3%. La voie d’abord utilisée chez tous les patients était la voie transpéritonéale. Parmi les néphrectomies réalisées, 57,9 % étaient totales et 42,1 % étaient partielles (urétéro-néphrectomies partielles). La durée moyenne de l’intervention était de 2h30min (150min) avec des extrêmes de 1h40min à
4h (100min - 240min). Aucune complication peropératoire n’a été enregistrée. Et aucune conversion vers la voie ouverte n’a été nécessaire. La durée moyenne d’hospitalisation était de 3 jours avec des extrêmes allant de 1 à 8 jours. Les suites opératoires étaient simples pour tous les patients, avec un taux global de complications de 21,1 %. Tous les patients ont été suivis régulièrement, avec un recul moyen de 30 mois. ils ont bénéficié tous d'une échographie, tandis que la scintigraphie a été réalisée uniquement dans deux cas. Le taux global de succès était de 90%.
Cette expérience avec la néphrectomie cœlioscopique a révélé qu’elle est une intervention chirurgicale efficace, réalisable et bénéfique pour l’enfant. Elle offre une bonne qualité de vie postopératoire et présente moins de complications. Dans notre service, cette approche « mini-invasive » a complètement modifié l’approche chirurgicale des uro-néphropathies pédiatriques.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
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