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Nouveau-né de mère diabétique / Issadounene Nadjate
Titre : Nouveau-né de mère diabétique Type de document : texte imprimé Auteurs : Issadounene Nadjate, Auteur ; Harfouche Amina, Auteur ; Redjaoua Dr.Fairouz, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (103 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Diabète Nouveau-né Diabète gestationnel Complication Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Le diabète est la pathologie métabolique la plus répandue dans le monde. Lorsqu’elle s’associe à la grossesse, elle est pourvoyeuse de complications maternofœtales. Le diabète gestationnel résulte probablement de l’association entre l’insulino résistance et de l’insulinocarence. Les complications néonatales incluent : l’hypoglycémie, la macrosomie, les syndromes polymalformatifs, la prématurité et le RCIU. La prise en charge du diabète maternel est essentiellement hygiéno-diététique associée à l’insuline. Le nouveau-né nécessite essentiellement une alimentation précoce, une surveillance glycémique, associées aux traitements symptomatiques et spécifiques de chaque complication.
Nous avons mené une étude rétrospective dans le service de néonatologie de Bejaia afin d’étayer l’impact du diabète maternel sur le pronostic néonatal dans ce service. Nous avons recensé 220 nouveaux nés de mère diabétique durant 03 mois représentant 28.57% des admissions. On a enregistré 4.10 % de mortalité. Le diabète gestationnel représentait 71.40%. La complication la plus notée était la prématurité (20%). L’hypoglycémie représentait 12.72%. Enfin, 6.40% de malformations ont été retrouvés. La prise en charge était essentiellement une alimentation précoce ; idéalement un allaitement maternel, une supplémentassion en glucose et une oxygénothérapie.
Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Nouveau-né de mère diabétique [texte imprimé] / Issadounene Nadjate, Auteur ; Harfouche Amina, Auteur ; Redjaoua Dr.Fairouz, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (103 f.) : ill. ; 30 cm.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Diabète Nouveau-né Diabète gestationnel Complication Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Le diabète est la pathologie métabolique la plus répandue dans le monde. Lorsqu’elle s’associe à la grossesse, elle est pourvoyeuse de complications maternofœtales. Le diabète gestationnel résulte probablement de l’association entre l’insulino résistance et de l’insulinocarence. Les complications néonatales incluent : l’hypoglycémie, la macrosomie, les syndromes polymalformatifs, la prématurité et le RCIU. La prise en charge du diabète maternel est essentiellement hygiéno-diététique associée à l’insuline. Le nouveau-né nécessite essentiellement une alimentation précoce, une surveillance glycémique, associées aux traitements symptomatiques et spécifiques de chaque complication.
Nous avons mené une étude rétrospective dans le service de néonatologie de Bejaia afin d’étayer l’impact du diabète maternel sur le pronostic néonatal dans ce service. Nous avons recensé 220 nouveaux nés de mère diabétique durant 03 mois représentant 28.57% des admissions. On a enregistré 4.10 % de mortalité. Le diabète gestationnel représentait 71.40%. La complication la plus notée était la prématurité (20%). L’hypoglycémie représentait 12.72%. Enfin, 6.40% de malformations ont été retrouvés. La prise en charge était essentiellement une alimentation précoce ; idéalement un allaitement maternel, une supplémentassion en glucose et une oxygénothérapie.
Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M56/2023 M56/2023 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt
Titre : Nouveau-né de mère diabétique Type de document : document électronique Auteurs : Issadounene Nadjate, Auteur ; Harfouche Amina, Auteur ; Redjaoua Dr.Fairouz, Directeur de thèse Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1,83 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Diabète Nouveau-né Diabète gestationnel Complication Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Le diabète est la pathologie métabolique la plus répandue dans le monde. Lorsqu’elle s’associe à la grossesse, elle est pourvoyeuse de complications maternofœtales. Le diabète gestationnel résulte probablement de l’association entre l’insulino résistance et de l’insulinocarence. Les complications néonatales incluent : l’hypoglycémie, la macrosomie, les syndromes polymalformatifs, la prématurité et le RCIU. La prise en charge du diabète maternel est essentiellement hygiéno-diététique associée à l’insuline. Le nouveau-né nécessite essentiellement une alimentation précoce, une surveillance glycémique, associées aux traitements symptomatiques et spécifiques de chaque complication.
Nous avons mené une étude rétrospective dans le service de néonatologie de Bejaia afin d’étayer l’impact du diabète maternel sur le pronostic néonatal dans ce service. Nous avons recensé 220 nouveaux nés de mère diabétique durant 03 mois représentant 28.57% des admissions. On a enregistré 4.10 % de mortalité. Le diabète gestationnel représentait 71.40%. La complication la plus notée était la prématurité (20%). L’hypoglycémie représentait 12.72%. Enfin, 6.40% de malformations ont été retrouvés. La prise en charge était essentiellement une alimentation précoce ; idéalement un allaitement maternel, une supplémentassion en glucose et une oxygénothérapie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Nouveau-né de mère diabétique [document électronique] / Issadounene Nadjate, Auteur ; Harfouche Amina, Auteur ; Redjaoua Dr.Fairouz, Directeur de thèse . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1,83 Mo : ill. ; Pdf.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Diabète Nouveau-né Diabète gestationnel Complication Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Le diabète est la pathologie métabolique la plus répandue dans le monde. Lorsqu’elle s’associe à la grossesse, elle est pourvoyeuse de complications maternofœtales. Le diabète gestationnel résulte probablement de l’association entre l’insulino résistance et de l’insulinocarence. Les complications néonatales incluent : l’hypoglycémie, la macrosomie, les syndromes polymalformatifs, la prématurité et le RCIU. La prise en charge du diabète maternel est essentiellement hygiéno-diététique associée à l’insuline. Le nouveau-né nécessite essentiellement une alimentation précoce, une surveillance glycémique, associées aux traitements symptomatiques et spécifiques de chaque complication.
Nous avons mené une étude rétrospective dans le service de néonatologie de Bejaia afin d’étayer l’impact du diabète maternel sur le pronostic néonatal dans ce service. Nous avons recensé 220 nouveaux nés de mère diabétique durant 03 mois représentant 28.57% des admissions. On a enregistré 4.10 % de mortalité. Le diabète gestationnel représentait 71.40%. La complication la plus notée était la prématurité (20%). L’hypoglycémie représentait 12.72%. Enfin, 6.40% de malformations ont été retrouvés. La prise en charge était essentiellement une alimentation précoce ; idéalement un allaitement maternel, une supplémentassion en glucose et une oxygénothérapie.Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM56/2023 CDM56/2023 Mémoire Electonique Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt Documents numériques
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Nouveau né de mère diabétiqueURLDétresse respiratoire chez le nouveau-né / Kebbiche Mira
Titre : Détresse respiratoire chez le nouveau-né Type de document : texte imprimé Auteurs : Kebbiche Mira, Auteur ; Ouar Thiziri, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Mazri Dr.S., Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 1 vol. (111 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Détresse respiratoire néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Nous avons réalisé une étude rétrospective et prospective portant sur 206 cas de détresse respiratoire néonatale confirmée ou suspecte, hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaïa entre le 01 décembre 2022 et le 28 février 2023. La fréquence d’hospitalisation pour la détresse respiratoire néonatale est de 30,11 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 2,21. Le délai d’apparition de la détresse respiratoire est majoritaire dans le premières 24 heures de vie avec une fréquence de 56,79 %. La détresse respiratoire néonatale reste fréquente chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 52,91 % ont présenté au moins un FDR, dont les plus fréquents sont les facteurs de risque infectieux (la RPM supérieure à 18 heures, l’exposition à la chorioamniotite), l’hypertension artérielle maternelle et le diabète gestationnel avec des proportions respectivement de 27,66 %, 12,13 % et 13,10 %.La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominé par la polypnée. La cyanose, l’allongement du TRC, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position .La radiographie thoracique avec sonde nasogastrique en place était réalisée systématiquement chez tous les nouveau nés à l’exception d’un seul cas. L’échographie cardiaque n’a été réalisée que dans 4,85 % des cas à la recherche de malformations cardiaques responsable de la détresse respiratoire. La FNS et la CRP étaient pratiquées obligatoirement chez tous les nouveau nés. Chez la plupart des nouveau nés l’hémoculture n’a pas été faite sauf chez 14,56 % des cas dont 30 % sont revenues positives, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. La PL par ailleurs était faite chez 20,87 % des cas, alors que celle-ci dans la majorité des cas n’avait aucune indication et seulement une PL était positive. La cause la plus fréquente de la détresse respiratoire néonatale est l’infection pulmonaire avec une fréquence de 64,07 %, puis viennent les autres causes comme la tachypnée transitoire, la MMH avec des proportions respectivement de 15,53 %, 5,33 %, il y a eu 3 cas de détresse respiratoire dus au pneumothorax, un seul cas d’atrésie de l'œsophage et un autre syndrome de Pierre Robin. Sans oublier les autres causes cardiaques, métabolique, et les asphyxies néonatales qui représentent 9,22 % des cas. Concernant la prise en charge, 88 % de la population est mise sous oxygénothérapie dont 67 % avec des lunettes, 13 % ont bénéficié d’une CPAP nasale et seulement 1 % de la population a reçu de l’oxygénothérapie avec l’Enceinte de Hood, l’intubation a était réaliser chez 7 % des cas. L’antibiothérapie a été administrer chez 66,50 % des cas. L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi totalité des cas soit dans 84 % de la population. Le diagnostic de la détresse respiratoire repose essentiellement sur l’inspection du nouveau-né à la recherche de trois symptômes principaux : la cyanose, la tachypnée et les signes de rétraction. Les examens paracliniques permettent le diagnostic étiologique. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Détresse respiratoire chez le nouveau-né [texte imprimé] / Kebbiche Mira, Auteur ; Ouar Thiziri, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Mazri Dr.S., Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 1 vol. (111 f.) : ill. ; 30 cm.
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Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Détresse respiratoire néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Nous avons réalisé une étude rétrospective et prospective portant sur 206 cas de détresse respiratoire néonatale confirmée ou suspecte, hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaïa entre le 01 décembre 2022 et le 28 février 2023. La fréquence d’hospitalisation pour la détresse respiratoire néonatale est de 30,11 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 2,21. Le délai d’apparition de la détresse respiratoire est majoritaire dans le premières 24 heures de vie avec une fréquence de 56,79 %. La détresse respiratoire néonatale reste fréquente chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 52,91 % ont présenté au moins un FDR, dont les plus fréquents sont les facteurs de risque infectieux (la RPM supérieure à 18 heures, l’exposition à la chorioamniotite), l’hypertension artérielle maternelle et le diabète gestationnel avec des proportions respectivement de 27,66 %, 12,13 % et 13,10 %.La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominé par la polypnée. La cyanose, l’allongement du TRC, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position .La radiographie thoracique avec sonde nasogastrique en place était réalisée systématiquement chez tous les nouveau nés à l’exception d’un seul cas. L’échographie cardiaque n’a été réalisée que dans 4,85 % des cas à la recherche de malformations cardiaques responsable de la détresse respiratoire. La FNS et la CRP étaient pratiquées obligatoirement chez tous les nouveau nés. Chez la plupart des nouveau nés l’hémoculture n’a pas été faite sauf chez 14,56 % des cas dont 30 % sont revenues positives, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. La PL par ailleurs était faite chez 20,87 % des cas, alors que celle-ci dans la majorité des cas n’avait aucune indication et seulement une PL était positive. La cause la plus fréquente de la détresse respiratoire néonatale est l’infection pulmonaire avec une fréquence de 64,07 %, puis viennent les autres causes comme la tachypnée transitoire, la MMH avec des proportions respectivement de 15,53 %, 5,33 %, il y a eu 3 cas de détresse respiratoire dus au pneumothorax, un seul cas d’atrésie de l'œsophage et un autre syndrome de Pierre Robin. Sans oublier les autres causes cardiaques, métabolique, et les asphyxies néonatales qui représentent 9,22 % des cas. Concernant la prise en charge, 88 % de la population est mise sous oxygénothérapie dont 67 % avec des lunettes, 13 % ont bénéficié d’une CPAP nasale et seulement 1 % de la population a reçu de l’oxygénothérapie avec l’Enceinte de Hood, l’intubation a était réaliser chez 7 % des cas. L’antibiothérapie a été administrer chez 66,50 % des cas. L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi totalité des cas soit dans 84 % de la population. Le diagnostic de la détresse respiratoire repose essentiellement sur l’inspection du nouveau-né à la recherche de trois symptômes principaux : la cyanose, la tachypnée et les signes de rétraction. Les examens paracliniques permettent le diagnostic étiologique. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M40/2023 M40/2023 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt
Titre : Détresse respiratoire chez le nouveau-né Type de document : document électronique Auteurs : Kebbiche Mira, Auteur ; Ouar Thiziri, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Mazri Dr.S., Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2023 Importance : 5,33 Mo Présentation : ill. Format : Note générale : Annexes
Bibliogr.Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Détresse respiratoire néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Nous avons réalisé une étude rétrospective et prospective portant sur 206 cas de détresse respiratoire néonatale confirmée ou suspecte, hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaïa entre le 01 décembre 2022 et le 28 février 2023. La fréquence d’hospitalisation pour la détresse respiratoire néonatale est de 30,11 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 2,21. Le délai d’apparition de la détresse respiratoire est majoritaire dans le premières 24 heures de vie avec une fréquence de 56,79 %. La détresse respiratoire néonatale reste fréquente chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 52,91 % ont présenté au moins un FDR, dont les plus fréquents sont les facteurs de risque infectieux (la RPM supérieure à 18 heures, l’exposition à la chorioamniotite), l’hypertension artérielle maternelle et le diabète gestationnel avec des proportions respectivement de 27,66 %, 12,13 % et 13,10 %.La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominé par la polypnée. La cyanose, l’allongement du TRC, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position .La radiographie thoracique avec sonde nasogastrique en place était réalisée systématiquement chez tous les nouveau nés à l’exception d’un seul cas. L’échographie cardiaque n’a été réalisée que dans 4,85 % des cas à la recherche de malformations cardiaques responsable de la détresse respiratoire. La FNS et la CRP étaient pratiquées obligatoirement chez tous les nouveau nés. Chez la plupart des nouveau nés l’hémoculture n’a pas été faite sauf chez 14,56 % des cas dont 30 % sont revenues positives, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. La PL par ailleurs était faite chez 20,87 % des cas, alors que celle-ci dans la majorité des cas n’avait aucune indication et seulement une PL était positive. La cause la plus fréquente de la détresse respiratoire néonatale est l’infection pulmonaire avec une fréquence de 64,07 %, puis viennent les autres causes comme la tachypnée transitoire, la MMH avec des proportions respectivement de 15,53 %, 5,33 %, il y a eu 3 cas de détresse respiratoire dus au pneumothorax, un seul cas d’atrésie de l'œsophage et un autre syndrome de Pierre Robin. Sans oublier les autres causes cardiaques, métabolique, et les asphyxies néonatales qui représentent 9,22 % des cas. Concernant la prise en charge, 88 % de la population est mise sous oxygénothérapie dont 67 % avec des lunettes, 13 % ont bénéficié d’une CPAP nasale et seulement 1 % de la population a reçu de l’oxygénothérapie avec l’Enceinte de Hood, l’intubation a était réaliser chez 7 % des cas. L’antibiothérapie a été administrer chez 66,50 % des cas. L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi totalité des cas soit dans 84 % de la population. Le diagnostic de la détresse respiratoire repose essentiellement sur l’inspection du nouveau-né à la recherche de trois symptômes principaux : la cyanose, la tachypnée et les signes de rétraction. Les examens paracliniques permettent le diagnostic étiologique. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Détresse respiratoire chez le nouveau-né [document électronique] / Kebbiche Mira, Auteur ; Ouar Thiziri, Auteur ; Ahmane Pr.Hassina, Directeur de thèse ; Mazri Dr.S., Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2023 . - 5,33 Mo : ill. ; Pdf.
Annexes
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Détresse respiratoire néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Nous avons réalisé une étude rétrospective et prospective portant sur 206 cas de détresse respiratoire néonatale confirmée ou suspecte, hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaïa entre le 01 décembre 2022 et le 28 février 2023. La fréquence d’hospitalisation pour la détresse respiratoire néonatale est de 30,11 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 2,21. Le délai d’apparition de la détresse respiratoire est majoritaire dans le premières 24 heures de vie avec une fréquence de 56,79 %. La détresse respiratoire néonatale reste fréquente chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 52,91 % ont présenté au moins un FDR, dont les plus fréquents sont les facteurs de risque infectieux (la RPM supérieure à 18 heures, l’exposition à la chorioamniotite), l’hypertension artérielle maternelle et le diabète gestationnel avec des proportions respectivement de 27,66 %, 12,13 % et 13,10 %.La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominé par la polypnée. La cyanose, l’allongement du TRC, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position .La radiographie thoracique avec sonde nasogastrique en place était réalisée systématiquement chez tous les nouveau nés à l’exception d’un seul cas. L’échographie cardiaque n’a été réalisée que dans 4,85 % des cas à la recherche de malformations cardiaques responsable de la détresse respiratoire. La FNS et la CRP étaient pratiquées obligatoirement chez tous les nouveau nés. Chez la plupart des nouveau nés l’hémoculture n’a pas été faite sauf chez 14,56 % des cas dont 30 % sont revenues positives, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. La PL par ailleurs était faite chez 20,87 % des cas, alors que celle-ci dans la majorité des cas n’avait aucune indication et seulement une PL était positive. La cause la plus fréquente de la détresse respiratoire néonatale est l’infection pulmonaire avec une fréquence de 64,07 %, puis viennent les autres causes comme la tachypnée transitoire, la MMH avec des proportions respectivement de 15,53 %, 5,33 %, il y a eu 3 cas de détresse respiratoire dus au pneumothorax, un seul cas d’atrésie de l'œsophage et un autre syndrome de Pierre Robin. Sans oublier les autres causes cardiaques, métabolique, et les asphyxies néonatales qui représentent 9,22 % des cas. Concernant la prise en charge, 88 % de la population est mise sous oxygénothérapie dont 67 % avec des lunettes, 13 % ont bénéficié d’une CPAP nasale et seulement 1 % de la population a reçu de l’oxygénothérapie avec l’Enceinte de Hood, l’intubation a était réaliser chez 7 % des cas. L’antibiothérapie a été administrer chez 66,50 % des cas. L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi totalité des cas soit dans 84 % de la population. Le diagnostic de la détresse respiratoire repose essentiellement sur l’inspection du nouveau-né à la recherche de trois symptômes principaux : la cyanose, la tachypnée et les signes de rétraction. Les examens paracliniques permettent le diagnostic étiologique. Note de contenu : Mémoire de fin de cycle en vue de l'obtention du diplôme de docteur en médecine Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité CDM40/2023 CDM40/2023 Mémoire Electonique Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt Documents numériques
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Détresse respiratoire chez le nouveau-néURLLes infections néonatales bactériennes précoces chez le nouveau-né / Berkane Nadia
Titre : Les infections néonatales bactériennes précoces chez le nouveau-né Type de document : texte imprimé Auteurs : Berkane Nadia, Auteur ; Brahimi Melissa, Auteur ; Pr. Hassina, Ahmane, Directeur de thèse ; Dr. Malika, Chayoub, Autre Editeur : Béjaia : Faculté de médecine Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (166 f.) Présentation : ill. Format : 30 cm Note générale : Bibliogr.
Langues : Français Catégories : Santé Mots-clés : Infections bactériennes Infection néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les infections bactériennes materno-fœtales demeurent un problème préoccupant la santé publique dans les pays en sous-développement. Les germes les plus fréquemment retrouvés sont les germes de la période néonatale à savoir : le streptocoque B, E.coli et la Listeria monocytogenes. Le but de notre étude est d’établir une vue d’ensemble sur ces IMF, leur incidence au sein du CHU de Béjaia et de proposer un protocole de PEC afin d’éviter l’ant ibiothérapie abusive.
Nous avons réalisé une étude rétrospective portant sur 70 cas d’INBP confirmée ou suspecte,hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaia entre le 1 janvier 2021 et le 31 mars 2021.
Les paramètres étudiés sont l’âge, le sexe, la symptomatologie en plus des circonstances de découverte, les examens complémentaires (Hémoculture /PL/ Radiographie du thorax), les examens biologiques dont la FNS et la CRP, la prise en charge thérapeutique et l’évolution.
La fréquence d’hospitalisation pour l’INBP est de 13.15 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 1,33. La tranche d’âge à l’admission entre 0 et 6 heures est majoritaire avec une fréquence de 40%. Les INBP restent fréquentes chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 78.57 % avait en moin un FDR et 21.43 % n’ont présenté aucun FDR, dont les plus fréquents sont l’exposit ion à la chorioamniotite et la RPM supérieure à 18 heures, avec des
proportions respectivement de 28.6 %, 22.9%. La combinaison la plus fréquente était
chorioamniotite avec RPM > 18 heures avec un pourcentage de 5.7%.51.4% des nouveau-nés étaient initialement symptomatiques. La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominée par la détresse respiratoire. L’ictère, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position. La NFS et la CRP étaient pratiquées systématiquement chez tous les nouveau-nés. L’hémoculture n’a été réalisée que dans 10 % des cas,elle a une importance primordiale dans le diagnostic des infections néonatales, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. Parmi les hémocultures faites 2 reviennent positive respectivement au BGN oxyda tif et staphylocoque à coagulase négative. La PL par ailleurs était faite chez 8,6 % des cas,et aucun germe n’a peut-être isolée, ce qui confirme que la méningite a une faible incidence en période néonatale. Concernant la conduite du traitement, 94 % de la populat ion est mise d’emblée sous antibiotique. Une bithérapie type Ampicilline et Gentamycine est administrée chez 72,9 % et une trithérapie à base d’Ampicilline, Gentamycine et Céfotaxime est administrée chez 4,3 %.Cependant, nous avons remarqué que la durée du traitement intraveineux n`a pas été respectée.L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi-totalité des cas.
Notre étude attire l’attention sur l’intérêt de la réalisation des Hémocultures et PL afin de diagnostiquer les IMF et sur l’intérêt du dépistage maternel du portage vaginal du streptocoque B afin de diminuer l’incidence des IMF.
Le diagnostic de l’infection néonatale repose sur des arguments anamnestiques, cliniques,biologiques et bactériologiques. L’ant ibiothérapie constitue la clef de la prise en charge, la prévention fait appel à la surveillance rigoureuse des grossesses ainsi que la médicalisation des accouchements.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Les infections néonatales bactériennes précoces chez le nouveau-né [texte imprimé] / Berkane Nadia, Auteur ; Brahimi Melissa, Auteur ; Pr. Hassina, Ahmane, Directeur de thèse ; Dr. Malika, Chayoub, Autre . - Béjaia : Faculté de médecine, 2022 . - 1 vol. (166 f.) : ill. ; 30 cm.
Bibliogr.
Langues : Français
Catégories : Santé Mots-clés : Infections bactériennes Infection néonatale Nouveau-né Index. décimale : 618.92 Pédiatrie Résumé : Les infections bactériennes materno-fœtales demeurent un problème préoccupant la santé publique dans les pays en sous-développement. Les germes les plus fréquemment retrouvés sont les germes de la période néonatale à savoir : le streptocoque B, E.coli et la Listeria monocytogenes. Le but de notre étude est d’établir une vue d’ensemble sur ces IMF, leur incidence au sein du CHU de Béjaia et de proposer un protocole de PEC afin d’éviter l’ant ibiothérapie abusive.
Nous avons réalisé une étude rétrospective portant sur 70 cas d’INBP confirmée ou suspecte,hospitalisés au sein du service de pédiatrie du CHU de Bejaia entre le 1 janvier 2021 et le 31 mars 2021.
Les paramètres étudiés sont l’âge, le sexe, la symptomatologie en plus des circonstances de découverte, les examens complémentaires (Hémoculture /PL/ Radiographie du thorax), les examens biologiques dont la FNS et la CRP, la prise en charge thérapeutique et l’évolution.
La fréquence d’hospitalisation pour l’INBP est de 13.15 %. Le sexe masculin avait une prédominance nette avec un sexe ratio de 1,33. La tranche d’âge à l’admission entre 0 et 6 heures est majoritaire avec une fréquence de 40%. Les INBP restent fréquentes chez les nouveau-nés avec facteurs de risque, 78.57 % avait en moin un FDR et 21.43 % n’ont présenté aucun FDR, dont les plus fréquents sont l’exposit ion à la chorioamniotite et la RPM supérieure à 18 heures, avec des
proportions respectivement de 28.6 %, 22.9%. La combinaison la plus fréquente était
chorioamniotite avec RPM > 18 heures avec un pourcentage de 5.7%.51.4% des nouveau-nés étaient initialement symptomatiques. La symptomatologie clinique est variée et diffère d’un nouveau-né à un autre, elle est dominée par la détresse respiratoire. L’ictère, l’instabilité thermique et les signes neurologiques viennent en seconde position. La NFS et la CRP étaient pratiquées systématiquement chez tous les nouveau-nés. L’hémoculture n’a été réalisée que dans 10 % des cas,elle a une importance primordiale dans le diagnostic des infections néonatales, son utilisation doit être plus systématique avant le début du traitement vu le risque important de septicémie qui existe chez le nouveau-né. Parmi les hémocultures faites 2 reviennent positive respectivement au BGN oxyda tif et staphylocoque à coagulase négative. La PL par ailleurs était faite chez 8,6 % des cas,et aucun germe n’a peut-être isolée, ce qui confirme que la méningite a une faible incidence en période néonatale. Concernant la conduite du traitement, 94 % de la populat ion est mise d’emblée sous antibiotique. Une bithérapie type Ampicilline et Gentamycine est administrée chez 72,9 % et une trithérapie à base d’Ampicilline, Gentamycine et Céfotaxime est administrée chez 4,3 %.Cependant, nous avons remarqué que la durée du traitement intraveineux n`a pas été respectée.L’évolution a été jugée cliniquement favorable dans la quasi-totalité des cas.
Notre étude attire l’attention sur l’intérêt de la réalisation des Hémocultures et PL afin de diagnostiquer les IMF et sur l’intérêt du dépistage maternel du portage vaginal du streptocoque B afin de diminuer l’incidence des IMF.
Le diagnostic de l’infection néonatale repose sur des arguments anamnestiques, cliniques,biologiques et bactériologiques. L’ant ibiothérapie constitue la clef de la prise en charge, la prévention fait appel à la surveillance rigoureuse des grossesses ainsi que la médicalisation des accouchements.Note de contenu : Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention de Diplôme de docteur en sciences médicales Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M46/2022 M46/2022 Mémoire Salle de consultation sur place Pédiatrie Exclu du prêt PermalinkRéanimation du nouveau-né en salle de naissance au sein de la clinique mère-enfant CHU de Bejaia / Amara Nesrine
PermalinkRéanimation du nouveau-né en salle de naissance au sein de la clinique mère-enfant CHU de Bejaia / Amara Nesrine
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PermalinkEtude épidémiologique de la prématurité au niveau du CHU de Béjaia / Hanout Hassiba
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