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Dans, « Créativité, au(c)torisation et dialogisme : le mémoire de master MEEF1, miroir de l’expérience psychique ? », Catherine Delarue-Breton expose l’importance de la créativité ainsi que du dialogisme -par extension l’au(c)torisation- dans l’entrée dans la recherche scientifique. En effet, elle réactualise le pradigme de l’auteur et de l’auctorialité dans l’élaboration du mémoire de master.
En nous appuyant sur les analyses de Catherine Delarue-Breton ainsi que sur les travaux en linguistique d’Alain Rabatel, le présent travail s'attardera sur l’analyse des avant-projets de mémoire de fin d’études des étudiants de master et cela pour tenter de démontrer les facteurs auctoriaux qui se dégagent à travers ce genre si particulier.
Cette étude a deux objectifs. Premièrement, définir la question de l’auteur du point de vue de l’écriture dite scientifique, en d’autres termes nous allons corroborer la vision de l’auteur, selon Delarue-Breton, mais également creusé la question de l’autre sous un autre autre angle.
Deuxièmement, bien que les études en littératie universitaire fleurissent ces dernières années, l'importance donnée à l’auctorialité dans ce milieu demeure maigre. Notre projet est donc d’enrichir ce sujet tout en s’inscrivant dans la suite de ces travaux, il est question dans ce mémoire de discuter la notion de l’auctorailité ainsi que les facteurs qui pourraient nous indiquer de l’auctorisation chez les étudiants de master de langue et littérature française. |
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