La temporalité romanesque autofictionnelle dans « la femme qui pleure » de VIKTOR LAZLO

Abstract

La femme qui pleure de viktor lazlo est le premier roman de cet auteur il se compose de150 pages, qui parle d une femme, enfermée dans un institue psychiatrique se raconte à elle-même sa jeunesse en Martinique ; les quelques hommes qu’elle a crue aimer. Ce n’est qua la fin du roman, a lavant dernière page que nous apprenons pourquoi elle attend son procès. Pas facilement comme lecture, il faut parfois lire entre les lignes pour comprendre, néanmoins beau style d’écriture, histoire qui pourrait se dérouler en réalité. Viktor Lazlo est une chanteuse, comédienne, et aussi romancière. La femme qui pleure, son premier roman publié en 2010, a reçu le prix Charles Brisset. En 2012 elle a publié également aux éditions Albin Michel « My name is billIe Holiday » La temporalité romanesque autofictionnel est le titre de ce mémoire réalisé, cette étude est basée sur le temps romanesque, sur l’ordre temporelle, le rythme du récit tous en abordant les biographies des personnes les plus proches a elle, son père, son fils et son amant en le faisant en deux chapitres le premier qui est intitulé : analepse : détoure biographique et le second : la pause : description. L’étude est faite en consultant Gerard genette qui est née le 07/07/1930 dans le 20 -ème arrondissement de Paris et mort le 11/05/2018 à lnry-sur- Seine, est un critique littéraire et théoricien de la littérature française ; l’un des fondateurs de la narratologie, il est considéré comme l’un des principaux critiques littéraires français