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Ce travail a porté sur la biodégradation de colorants azoïques, notamment le rouge Congo et le jaune
réactif par des souches d’actinobactéries (A54 , A53, A112, A9, A98, A64*, A64, A5, A7, A23, A18, A30,
A150, A27, A65 ) et de moisissures ( SB1,SB2, SB3, SB4, SB6, SB7), isolées à partir d’ effluents textiles
et de sol .Ce test a été réalisé sur un milieu minimum additionné de colorants , et les cultures ont été incubées
à 30°C pendant 14 jours pour les actinobactéries et à 28°C pendant 8 jours pour les moisissures. Ensuite une
lecture des absorbances a été effectuée afin de déterminer le pourcentage de décoloration.
Un test qualitatif sur milieux de culture solide a été également réalisé pour les souches d’actinobactéries
par l’ensemencement de ces dernières sur milieu minimum additionné de colorants. Une lecture a été faite
après 3,7, et 14 jours d’incubation à 30°C. La capacité des moisissures à synthétiser les nanoparticules
d’argent a été également evaluée sur milieu CDC.
Les résultats obtenus ont révélé l,’pptitude de ces microorganismes à dégrader c,es colorants témoignant
ainsi de l’importance de leur utilisation comme agents de bioremédiation des effluents textiles suite à leur
résistance à la toxicité de ces molécules.
Des résultats négatifs on été observé pour le test de synthèse des nanoparticules, , il serait , donc,
nécessaire de cribler d’autres souches pour cette activité.
Mots clé : colorants azoïques, biodégradation, Bioremédiation, criblage, nanoparticules, effluents textiles,
actinobactéries, moisissures. |
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