Abstract:
Ce mémoire a exploré le vocabulaire de la guerre et de la violence dans la presse
écrite, en se concentrant sur les génocides à Gaza à travers les analyses de *Le Jour* et *Le
Monde*. Nous avons démontré que le choix des mots, qu’il s’agisse de termes militaires ou
de descriptions émotionnelles, joue un rôle essentiel dans la perception des événements par le
public. Les désignations des victimes et les références au contexte géopolitique révèlent des
narrations divergentes qui influencent les opinions et les émotions. Ainsi, cette étude souligne
l'importance d'une approche critique du langage médiatique, qui façonne non seulement la
compréhension des conflits, mais également la mémoire collective face à la violence.