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L’infection urinaire reste souvent la plus fréquente des infections après les infections de l’appareil
respiratoire. Ce travail a entamé l’étude de différents résultats réalisée sur 133 ECBU a l’EPH les frères
Maghlaoui de Mila et sur 585 ECBU au laboratoire privé de Dr Zarat a Kherrata, et l’enquête effectuée sur
568 ECBU a l’EPH deMila, et sur 940 au laboratoire privé de Kheratta ont montré que l’IU touche 19,55%
(stage) à 19,2 % (enquête) a Mila et 14,68 % (stage) à 17,44 % (enquête) a Kherrata du nombre total des
patients. Le diagnostic d’IU a été confirmé par l’ECBU et les bandelettes réactives. Les micro-organismes
impliqués dans les IU sont les Grams négatifs et les Grams positifs ainsi que par certains champignons avec
un prédominante d’E. Coli (34,61 %) à (44,95 %) à Mila et (50 %) à (54,87 %) à Kherrata. Le sexe
féminin étant le plus touché par les IU avec un taux de (57,69 %) à (71,56 %) à Mila et de (71,76 %) à
(83,54 %) a Kherrata. Cette fréquente varie en fonction de l’âge, les enfants moins de 12 ans sont plus
touchés dans les deux laboratoires avec un taux de (50 %) a Mila et (71,76 %) a kherrata cependant
l’enquête a kherrata révélé que la tranche d’âge la plus touché est celle de 26-39 avec un taux de 41,46 %.
Les micro-organismes des deux laboratoires développent une résistance aux déférentes familles des antibiotiques, qui pose un problème majeur de santé publique. |
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