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Dans le rapport que nous avons élaboré; la recherche à été principalement orientée sur
l’étude de cinq plantes locales (Rosmarinus officinalis, Myrtus communis, Juniperus
communis, Arbutus unedo et Globularia alypum). L’objectif recherché est l’extraction des
composés phénoliques en utilisant trois solvants (acétone 70%, éthanol 70%, méthanol
70%) ; ce qui nous donne d’une part un état comparatif des teneurs en composés phénoliques
des extraits des feuilles des cinq plantes et d’autre part entre les trois solvants, ainsi que
l’évaluation de leurs activités antioxydantes ( activité antiradicalaire « radical
DPPH », Inhibition de la peroxydation de l’acide linoléique).
L’extrait du Myrtus communis à l’acétone se caractérise par la plus grande teneur en
phénols totaux solubles (176.02 mg EAG/ g), la plus faible teneur a été obtenue pour les
extraits méthanoliques du Rosmarinus officinalis et du Globularia alypum (20,11, 22,07 mg
EAG/g) ainsi que l’extrait éthanolique du Juniperus communis (27,53 mg EAG/ g).
L’inhibition de la peroxydation de l’acide linoléique varie fortement (51,77 à 96,6%) d’un
extrait à un autre, la plus faible est enregistrée chez Rosmarinus officinalis (51,77%) extraits à
l’acétone. Concernant l’activité antiradicalaire, globalement c’est les extraits du Myrtus
communis qui manifestent une grande activité que l’extrait correspondant des autres plantes. |
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